A study expected that annual contributions are likely to average $5 billion in the coming years, which equates to at least 10 per cent of the total average annual inflows to this sector.
A study by the Dubai Chamber of Commerce and Industry has revealed that Gulf entities have provided at least $30 billion of funding, at current prices, to African infrastructure over the past decade, which amounts to between seven and 10 per cent of total inflows, of which approximately $15 billion in loans and grants from Gulf development agencies and approximately $15 billion in direct investments.
The study was announced on Monday during a Press conference held at the Dubai Chamber. Prepared in collaboration with the Economist Intelligence Unit ahead of the Africa Global Business Forum on October 1 and 2, the study expected that annual contributions are likely to average $5 billion in the coming years, which equates to at least 10 per cent of the total average annual inflows to this sector.
It also revealed that Gulf funding for African infrastructure has focused on North Africa, which has received the bulk of aid (about 65 per cent of the total) and also a large share of the direct private investment (60 per cent). There has been a focus on countries such as Djibouti and Senegal.
However, there are increasingly exceptions to this rule, seen for example with the Saudi electricity company Acwa Power focusing its efforts mainly in South Africa and telecom companies exploring increasing swathes of East and West Africa. To date, there has been relatively little Gulf investment in the continent’s fast-growing economies of Angola, Ethiopia and Nigeria, which have attracted considerable infrastructure funding from Brazilian and Chinese entities, as well as in the case of Nigerian companies based in the US and Europe.
Gulf aid and investments are diversified among different infrastructure projects in Africa. According to the study, more than half of Gulf aid has gone to transport projects, mainly road building, with about 30 per cent on power (ranging from hydro-electric dams to rural electrification) and 15 per cent on water projects, but very little on telecoms infrastructure. By contrast, the telecoms sector has been the main infrastructure focus of the GCC private sector, followed by ports and, increasingly, power generation. Gulf investors have been less involved with roads and water infrastructure because of a lack of potentially-profitable projects.
Hamad Buamim, president and CEO of the Dubai Chamber, noted this study highlights key facts about the economic reality in Africa and business opportunity. And due to cultural and historical ties to Africa, GCC investors are well positioned to invest in infrastructure in Africa.
He said: “Opportunities are not limited to public and large companies, small companies are also well positioned to invest. The Dubai Chamber’s study has revealed that given the perceived risks associated with mega-projects in several African markets, smaller-scale projects have becoming increasingly more appealing, especially in the energy industry.”
“Gulf investors must take care to differentiate between the region’s many countries, rather than view them as a homogenous ‘African’ market. The Africa Global Business Forum, organised by Dubai Chamber, will further highlight the economic and investment realities and opportunities in the different African markets.
FRENCH VERSION
.Une étude s’attend à ce que les contributions annuelles sont susceptibles d’en moyenne 5 milliards de dollars les années à venir, ce qui équivaut à au moins 10 pour cent du total des flux annuels moyens à ce secteur.
Une étude menée par la Chambre de commerce et d’industrie de Dubaï a révélé que les entités du Golfe ont fourni au moins 30 milliards de dollars de financement, à prix courants, pour les infrastructures en Afrique au cours de la dernière décennie, ce qui équivaut à entre sept et 10 pour cent du total des entrées, des dont environ 15 milliards de dollars de prêts et de subventions des agences de développement du Golfe et environ 15 milliards de dollars en investissements directs.
L’étude a été annoncé lundi lors d’une conférence de presse tenue à la Chambre de Dubaï. Préparé en collaboration avec l’Economist Intelligence Unit avant le Forum d’affaires Afrique mondial le 1er Octobre et 2, l’étude s’attend à ce que les contributions annuelles sont susceptibles d’en moyenne 5 milliards de dollars les années à venir, ce qui équivaut à au moins 10 pour cent de la moyenne totale entrées annuelles dans ce secteur.
Il a également révélé que le financement du Golfe pour les infrastructures en Afrique a mis l’accent sur l’Afrique du Nord, qui a reçu la majeure partie de l’aide (environ 65 pour cent du total) et également une grande part de l’investissement privé direct (60 pour cent). Il a été l’accent sur des pays tels que Djibouti et le Sénégal.
Cependant, il ya des exceptions de plus en plus à cette règle, vu par exemple avec la compagnie d’électricité saoudienne Acwa Puissance concentrant ses efforts principalement en Afrique du Sud et les entreprises de télécommunications explorer des pans croissants de l’Est et Afrique de l’Ouest. À ce jour, il ya eu relativement peu d’investissement du Golfe dans les économies à croissance rapide du continent de l’Angola, l’Ethiopie et le Nigeria, qui ont attiré un financement de l’infrastructure considérable d’entités brésiliennes et chinoises, ainsi que dans le cas des compagnies nigérianes basé aux États-Unis et Europe.
Aide Golfe et les investissements sont diversifiés entre les différents projets d’infrastructure en Afrique. Selon l’étude, plus de la moitié de l’aide Golfe est allé à des projets de transport, bâtiment principalement routier, avec environ 30 pour cent de la puissance (allant de barrages hydro-électriques à l’électrification rurale) et 15 pour cent des projets d’eau, mais très peu sur l’infrastructure des télécommunications. En revanche, le secteur des télécommunications a fait l’objet de l’infrastructure principale du secteur privé GCC, suivi par les ports et, de plus en plus, la production d’électricité. Investisseurs du Golfe ont été moins impliqués dans les routes et les infrastructures de l’eau en raison d’un manque de projets potentiellement rentables.
Hamad Buamim, président et chef de la direction de la Chambre de Dubaï, a noté cette étude met en lumière les principaux faits concernant la réalité économique de l’Afrique et occasion d’affaires. Et en raison de liens historiques et culturels en Afrique, les investisseurs du CCG sont bien placés pour investir dans les infrastructures en Afrique.
Il a dit: «Les possibilités ne se limitent pas aux entreprises publiques et les grandes, les petites entreprises sont également bien placés pour investir. L’étude de la Chambre de Dubaï a révélé que, compte tenu des risques perçus associés à des méga-projets dans plusieurs marchés africains, des projets à plus petite échelle ont de plus en plus plus attrayante, en particulier dans le secteur de l’énergie “.
«Les investisseurs du Golfe doivent prendre soin de différencier entre de nombreux pays de la région, plutôt que de les considérer comme un marché homogène« africaine ». Le Global Business Forum Afrique, organisé par la Chambre de Dubaï, va encore mettre en évidence les réalités et les possibilités économiques et d’investissement sur les