The 6th International Conference on Quality Assurance in Higher Education in Africa, held in Bujumbura, Burundi, ended on 19 September in a spirit of optimism.
Although the quality of higher education in Africa is under severe pressure, mostly due to massively increased enrolments, many developments are underway that seem to be helping the continent onto the right track.
Just last year, at the Tuning meeting in Libreville, Gabon, that preceded the 2013 General Assembly of the Association of African Universities (AAU), doubts were still voiced about whether or not small African countries needed national quality assurance agencies at all.
These doubts seem to have all but vanished today. In the face of massification and globalisation, the quality of African degrees is so severely threatened that everyone now appears to accept that quality assurance is part and parcel of modern higher education and that the development of a continental framework for quality assurance is a matter of utmost priority.
As the number of national quality assurance agencies in Africa has risen from a mere 6 in 2006 to 23 today, new initiatives are being launched to promote their further development and link them across the continent. Supporting this all, the European Union is launching a new line of support to quality assurance and accreditation in Africa.
Among a set of recommendations that will be finalised before the end of October, the Bujumbura conference urged African countries and institutions without quality assurance agencies to establish one as soon as possible. It will also recommend that a Pan-African Quality Assurance and Accreditation Framework will be made a reality soon.
Such a framework has been called for since 2008, initially as a rating mechanism proposed by the Council of African Education Ministers but later and by other actors as a quality enhancement tool.
Last year, the African Union and the EU responded to this call by commissioning a study exploring a Pan-African Quality Assurance and Accreditation Framework. An advanced draft of the study was received very well in Bujumbura.
Feedback from the Bujumbura conference will be integrated into the report, the final version of which is expected to be validated at a meeting in Addis Ababa, Ethiopia, in February 2015.
The conference drew 150 participants to Bujumbara. It was co-hosted by the African branch of the Global University Network for Innovation (GUNi-Africa), the Association of African Universities (AAU) and the University of Burundi and co-funded by the European Union.
The EU was also presented with the GUNi-Africa/AfriQAN 2014 Award for Support to Quality Assurance in Higher Education in Africa. EU Ambassador to Burundi Patrick Spirlet received the award on behalf of the EU.
FRENCH VERSION
La 6ème Conférence internationale sur l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur en Afrique, tenue à Bujumbura, au Burundi, a pris fin le 19 Septembre dans un esprit d’optimisme.
Bien que la qualité de l’enseignement supérieur en Afrique est sous forte pression, principalement en raison de l’augmentation des inscriptions massivement, de nombreux développements sont en cours qui semblent être aider le continent sur la bonne voie.
L’année dernière, lors de la réunion Tuning à Libreville, au Gabon, qui a précédé 2013 de l’Assemblée générale de l’Association des universités africaines (AUA), des doutes ont été émis au sujet encore si oui ou non les petits pays africains nécessaires agences d’assurance qualité au niveau national à tous.
Ces doutes semblent avoir presque disparu aujourd’hui. Face à la massification et la mondialisation, la qualité des diplômes africains est si gravement menacé que tout le monde semble maintenant accepter que l’assurance de la qualité fait partie intégrante de l’enseignement supérieur moderne et que le développement d’un cadre continental pour l’assurance de la qualité est une question de la plus haute priorité.
Comme le nombre d’agences d’assurance de la qualité au niveau national en Afrique a augmenté de seulement 6 en 2006 au 23 aujourd’hui, de nouvelles initiatives sont lancées pour promouvoir leur développement et de les relier à travers le continent. Soutenir tout cela, l’Union européenne lance une nouvelle ligne de soutien à l’assurance qualité et d’accréditation en Afrique.
Parmi une série de recommandations qui seront finalisées avant la fin d’Octobre, la conférence de Bujumbura a exhorté les pays africains et les institutions sans agences d’assurance qualité pour établir un dès que possible. Il recommandera également que un cadre d’assurance qualité et d’accréditation panafricaine sera bientôt une réalité.
Ce cadre a été appelé pour depuis 2008, d’abord comme un mécanisme d’évaluation proposé par le Conseil des ministres africains de l’éducation, mais plus tard, et par d’autres acteurs comme un outil d’amélioration de la qualité.
L’année dernière, l’Union africaine et l’Union européenne ont répondu à cet appel en commandant une étude explorant une panafricain d’assurance qualité et d’accréditation cadre. Un projet avancé de l’étude a été très bien reçu à Bujumbura.
Échos de la conférence de Bujumbura sera intégré dans le rapport, la version finale de ce qui devrait être validé lors d’une réunion à Addis-Abeba, en Ethiopie, en Février 2015.
La conférence a réuni 150 participants à Bujumbura. Il a été co-organisé par la branche africaine du Réseau mondial pour l’innovation de l’Université (GUNI-Afrique), l’Association des universités africaines (AUA) et l’Université du Burundi et co-financé par l’Union européenne.
L’UE a également été présenté à la GUNI-Afrique / AfriQAN 2014 Prix pour le soutien à l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur en Afrique. Ambassadeur de l’UE au Burundi Patrick Spirlet a reçu le prix au nom de l’Union européenne.
