South African Paralympian star sprinter Oscar Pistorius was sentenced to five years in prison Tuesday for the killing of his girlfriend last year, as his sensational trial reached a climax.
Pistorius, who had vomited and wept at times during the trial, stood stock-still in the dock as he was sentenced, veins bulging in his forehead and his jaw muscles clenched.
“Count one, culpable homicide: the sentence imposed is five years,” judge Thokozile Masipa said.
Pistorius, 27, was also given a three-year suspended sentence on a separate gun offence conviction.
Masipa said she wanted to find a balance between retribution, deterrence and rehabilitation, dismissing defence claims that the disabled athlete would face particular suffering in prison.
“It would be a sad day for this country if an impression were to be created that there was one law for the poor and disadvantaged and another for the rich and famous,” said Masipa.
She also weighed his ability to cope with incarceration given his physical disability.
“Yes the accused is vulnerable, but he also has excellent coping skills,” she said.
Discussing the gravity of Pistorius’s crime, the judge said he had been responsible of “gross negligence”.
“Using a lethal weapon, a loaded firearm, the accused fired not one, but four shots into the door,” said Masipa.
“The toilet was a small cubicle and there was no room for escape for the person behind the door,” she said.
The double amputee sprinter was acquitted of the more serious charge of murder over Reeva Steenkamp’s death on Valentine’s Day last year.
The prosecution has called for 10 years in jail. The defence pleaded for house arrest and community service.
Pistorius testified that he shot Steenkamp, a 29-year-old law graduate and model, four times through a locked bathroom door at his upmarket Pretoria home after he mistakenly believed she was an intruder.
His lawyers, arguing that Pistorius would be more vulnerable than most in prison because of his disability, had argued against jail time, and called instead for the equivalent of house arrest and community service.
Prosecutor Gerrie Nel said such a sentence would be “shockingly inappropriate” and could cause South Africans to lose faith in their legal system.
– ‘More equal than others’ –
The trial has drawn international attention and media gathered outside the courthouse shortly after dawn to get into position for the star runner’s entrance and the arrival of friends and families on both sides of the case who have attended the long trial.
A man dressed in prison orange draped himself in chains, holding a sign saying: “Are certain offenders more equal than other offenders before the law?”
Before the sentence was pronounced, legal experts had been divided on which way judge Masipa would swing.
“There is a strong argument to be made for certainly a period of direct imprisonment,” said William Booth, a criminal lawyer based in Cape Town. “You do have to send a message to the public.”
The athlete made history by becoming the first Paralympian to compete against able-bodied athletes at the 2012 London Olympics, inspiring millions with his story.
But during his trial the prosecution painted a darker picture of the one-time sports star, presenting a dangerously volatile young man with a penchant for guns, beautiful women and fast cars.
With the conviction and sentence, Pistorius has lost his glittering sports career, lucrative contracts and – above all – his hero status, tarnished forever.
FRENCH VERSION
UTH africaine athlète paralympique sprinter étoiles Oscar Pistorius a été condamné à cinq ans de prison mardi pour le meurtre de sa petite amie de l’an dernier, que son procès retentissant a atteint un point culminant.
Pistorius, qui avait vomi et pleuré à certains moments au cours du procès, était immobile dans le dock comme il a été condamné, veines saillantes sur son front et ses muscles de la mâchoire crispée.
“Compte-ci, homicide coupable: la peine imposée est de cinq ans», a déclaré le juge Thokozile Masipa.
Pistorius, 27 ans, a également été condamné à une peine avec sursis de trois ans sur une déclaration de culpabilité par infraction des armes à feu séparé.
Masipa dit qu’elle voulait trouver un équilibre entre la rétribution, la dissuasion et la réhabilitation, qui a rejeté les revendications de la défense que l’athlète handicapé serait confronté particulier la souffrance en prison.
«Ce serait un triste jour pour ce pays si l’impression était créée qu’il y avait une loi pour les pauvres et les défavorisés et un autre pour les riches et célèbres», a déclaré Masipa.
Elle a également pesé sa capacité à faire face à l’incarcération donné son handicap physique.
“Oui l’accusé est vulnérable, mais il a également d’excellentes capacités d’adaptation», dit-elle.
Discutant de la gravité du crime de Pistorius, le juge a dit qu’il avait été chargé de “négligence grave”.
«Utilisation d’une arme mortelle, une arme à feu chargée, l’accusé tiré non pas un, mais quatre coups de feu dans la porte», a déclaré Masipa.
“Les toilettes étaient une petite cabine et il n’y avait pas de place pour l’évasion de la personne derrière la porte,” dit-elle.
Le double sprinter amputé a été acquitté de l’accusation plus grave de assassiner sur la mort de Reeva Steenkamp sur Saint Valentin de l’année dernière.
L’accusation a demandé 10 ans de prison. La défense a plaidé la détention à domicile et les services communautaires.
Pistorius a témoigné qu’il avait tiré Steenkamp, un diplômé en droit de 29 ans, et le modèle, quatre fois par une porte de salle de bain haut de gamme verrouillé à son domicile de Pretoria après avoir cru à tort qu’elle était un intrus.
Ses avocats, faisant valoir que Pistorius serait plus vulnérable que la plupart en prison à cause de son handicap, avaient plaidé contre une peine de prison, et a appelé à la place de l’équivalent de la détention à domicile et les services communautaires.
Procureur Gerrie Nel a dit une telle phrase serait “scandaleusement inappropriée” et pourrait causer des Sud-Africains à perdre confiance dans leur système juridique.
– «Plus égaux que d’autres» –
Le procès a attiré l’attention des médias se sont rassemblés devant le palais de justice internationale, peu après l’aube pour se mettre en position pour l’entrée de la roue de la star et l’arrivée d’amis et les familles des deux côtés de l’affaire qui ont assisté à la longue épreuve.
Un homme habillé en orange de la prison se drape dans les chaînes, qui tient une pancarte disant: «Est-ce certains délinquants plus égaux que les autres délinquants devant la loi”
Avant que la sentence a été prononcée, les experts juridiques ont été divisés sur quel chemin juge Masipa se balançait.
“Il est un argument fort à faire pour certainement une période d’emprisonnement directe”, a déclaré William Booth, un avocat en droit criminel basé au Cap. “Vous ne devez envoyer un message au public.”
L’athlète a fait l’histoire en devenant le premier athlète paralympique à concourir contre des athlètes valides lors des Jeux olympiques de Londres en 2012, inspirant des millions avec son histoire.
Mais au cours de son procès, l’accusation a peint un tableau sombre de la seule fois star du sport, la présentation d’un jeune homme dangereusement volatile avec un penchant pour les armes, les belles femmes et les voitures rapides.
Avec la condamnation et la peine, Pistorius a perdu sa carrière sportive étincelants, des contrats lucratifs et – surtout – son statut de héros, ternie à jamais
