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POLITICS

Africa: A tragic continent // Afrique : Un continent tragique




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Africa initiative, including sending U.S. troops to Liberia, will amount to more than a hill of beans is whistling Dixie. Maybe it’s overly pessimistic, but most of Africa is a continent without much hope for its people.” More than a decade has passed since that assessment, and little has changed to suggest a more optimistic outlook. Now Ebola threatens the very existence of the West African nations Liberia, Sierra Leone and Guinea. Moreover, the deadly disease is likely to spread to neighboring nations.

Each year, The Wall Street Journal and The Heritage Foundation publish an “Index of Economic Freedom,” which measures economic liberty around the world. Mauritius is the only one of the 48 countries in sub-Saharan Africa to rank among the 10 freest economies in the world. Botswana is the second-freest African country, followed by Cape Verde. South Africa used to be near the top but has since declined. Of the other sub-Saharan countries, 11 are rated as “repressed” and 26 are “mostly unfree.” Eight of the world’s 20 least free economies are in Africa’s sub-Saharan region.

Poverty is not a cause but a result of Africa’s problems. What African countries need the West cannot provide.

They need personal liberty. That means a political system in which there are guarantees of private property rights, free markets, honest government and the rule of law. Africa’s poverty is, for the most part, self-inflicted. Some people might disagree because their college professors taught them that the legacy of colonialism explains Third World poverty. That’s nonsense. Canada was a colony. So were Australia, New Zealand and Hong Kong. In fact, the richest country in the world, the United States, was once a colony. By contrast, Third World countries such as Ethiopia, Liberia, Nepal and Bhutan were never colonies, yet they are home to some of the world’s poorest people.

There’s no complete explanation for why some countries are affluent while others are poor, but there are some leads. Rank countries according to whether they are closer to being a free market economy or whether they’re closer to having a socialist or planned economy.

Then rank countries by per capita income. Doing so, we will find a general, though not perfect, pattern whereby those having a larger measure of economic freedom find their citizens enjoying a higher standard of living.

Also, if we ranked countries according to how Freedom House or Amnesty International rates human rights protections, we’d find that citizens of freer market economies enjoy a greater measure of human rights protections. You can bet the rent money that the correlation among free markets, wealth and human rights protections is not coincidental.

With but few exceptions, most African countries are worse off now than they were during colonialism, both in terms of standard of living and in terms of human rights protections. Once a food-exporting country, Zimbabwe recently stood near the brink of starvation. Sierra Leone is rich in minerals — especially diamonds — has highly fertile land and is the best port site in West Africa, but it has declined into a state of utter despair. Africa is the world’s most natural-resources-rich continent. It has 50 percent of the world’s gold, most of the world’s diamonds and chromium, 90 percent of the cobalt, 40 percent of the world’s potential hydroelectric power, 65 percent of the manganese, and millions of acres of untilled farmland, as well as other natural resources. Before independence, every African country was self-sufficient in food production; today many depend on imports, and others stand at the brink of famine.

Though there’s a strong case for us to help with the Ebola crisis, the worst thing Westerners could do to Africa would be to send more foreign aid. Foreign aid provides the financial resources that enable Africa’s grossly corrupt and incompetent regimes to buy military equipment, pay off cronies and continue to oppress their people. It also provides resources for the leaders to live lavishly and set up “retirement” accounts in foreign banks.

— Walter E. Williams is a professor of economics at George Mason University.

FRENCH VERSION

Initiative de l’Afrique, incluant l’envoi de troupes américaines au Liberia, s’élèvera à plus d’une colline de haricots siffle Dixie. C’est peut-être trop pessimiste, mais presque toute l’Afrique est un continent sans beaucoup d’espoir pour son peuple. » Plus d’une décennie s’est écoulée depuis que l’évaluation, et peu a changé afin de proposer une vision plus optimiste. Ebola menace l’existence même des nations ouest-africaines au Libéria, Sierra Leone et la Guinée. En outre, cette maladie mortelle est susceptible de s’étendre aux pays voisins.

Chaque année, le Wall Street Journal et The Heritage Foundation publient un « Index of Economic Freedom, » qui mesure la liberté économique dans le monde entier. Maurice est le seul des 48 pays en Afrique subsaharienne pour se classer parmi les 10 économies plus libres dans le monde. Le Botswana est le pays africain de seconde-plus libres, suivi du Cap-vert. Afrique du Sud était près du sommet, mais elle diminue depuis. De l’autres pays subsahariens, 11 sont notés comme « réprimé » et 26 sont pour la plupart “libres”. Huit des 20 économies de libre le moins du monde sont dans la région subsaharienne de l’Afrique.

La pauvreté n’est pas une cause mais la conséquence de problèmes de l’Afrique. Quels pays africains ont besoin de l’Occident ne peut pas fournir.

Ils ont besoin de liberté personnelle. Cela signifie un système politique dans lequel il y a des garanties des droits de propriété privée, des marchés libres, gouvernement honnête et la primauté du droit. La pauvreté de l’Afrique est, pour l’essentiel, auto-infligées. Certaines personnes pourraient être en désaccord parce que leurs professeurs de collège leur a appris que l’héritage du colonialisme explique la pauvreté du tiers-monde. C’est un non-sens. Canada était une colonie. Ainsi, étaient l’Australie, la Nouvelle-Zélande et Hong Kong. En fait, le pays le plus riche du monde, aux États-Unis, était autrefois une colonie. En revanche, les pays du tiers monde tels que l’Ethiopie, le Libéria, Népal et Bhoutan n’ont jamais étaient colonies, pourtant, ils sont certains des gens les plus pauvres du monde.

Il n’y a aucune explication complète pour pourquoi certains pays sont riches, tandis que d’autres sont pauvres, mais il y a quelques pistes. Classement des pays selon qu’ils sont plus proches d’être une économie de marché ou qu’ils soient plus près d’avoir un socialiste ou prévu de l’économie.

Puis classer les pays selon le revenu par habitant. Ce faisant, nous trouverons un général, bien qu’imparfaite, motif par lequel ceux qui ont une plus grande mesure de la liberté économique trouvent leurs citoyens bénéficiant d’un meilleur niveau de vie.

Aussi, si nous nous sommes classés pays selon comment Freedom House ou Amnesty International tarifs des protections des droits de l’homme, nous constaterions que citoyens des économies de marché plus libres profiter d’une plus grande mesure de protection des droits humains. Vous pouvez parier le loyer de l’argent que la corrélation entre les protections de marchés, de richesse et de droits de l’homme libres n’est pas une coïncidence.

Avec, mais peu d’exceptions près, la plupart des pays africains sont pires maintenant qu’ils l’étaient pendant le colonialisme, en termes de niveau de vie, tant en termes de protection des droits humains. Une fois un pays exportateur de produits alimentaires, Zimbabwe récemment se trouvait près du bord de la famine. Sierra Leone est riche en minéraux–les diamants en particulier–a terre très fertile et est le meilleur site de port en Afrique de l’Ouest, mais il a diminué dans un état de désespoir absolu. L’Afrique est le continent du monde plus naturel-riches en ressources. Il a 50 pour cent d’or, la plupart de la production diamants de mondiale du monde et de chrome, 90 pour cent de la cobalt, 40 % du potentiel hydroélectrique du monde, 65 pour cent de la manganèse et des millions d’hectares de terres agricoles cultivées, mais aussi d’autres ressources naturelles. Avant l’indépendance, tous les pays africains était autosuffisant dans la production alimentaire ; aujourd’hui, beaucoup dépendant des importations, et d’autres s’élèvent à bord de la famine.

Bien qu’il y a des arguments solides pour nous aider avec la crise de l’Ebola, la pire chose Qu’occidentaux pourraient faire à l’Afrique serait d’envoyer davantage d’aide étrangère. Aide à l’étranger fournit les ressources financières qui permettent grossièrement régimes corrompus et incompétents de l’Afrique acheter de l’équipement militaire, éponger les copains et continuer à opprimer leur peuple. Il fournit également des ressources pour les dirigeants à vivre richement et configurer les comptes de la « retraite » dans des banques étrangères.

— Walter E. Williams est professeur d’économie à l’Université George Mason.




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