Laura Barton Earlier this year, I went to the Grammys in Los Angeles – I expected it to be ostentatious and debauched, but instead it was eight soul-numbing hours in an over-lit arena, watching Pink perform a curiously unerotic trapeze act while dressed in three and a half sequins and a marabou feather. I mention this because since the Grammys, whenever someone mentions award shows, a small part of me crumples. So when I learned that this week’s review car, the redesigned Peugeot 308, was named winner of the European Car of the Year 2014 at the 84th Geneva Motor Show, I inwardly winced and shook my head, and imagined a ceremony in which it performed a risqué duet with Robin Thicke, wearing little more than a leotard and a prayer. Thankfully, the Peugeot 308 is considerably more understated than that. It’s a five-door hatchback that’s compact but with ample boot space. It’s not the most splendiferous car to behold, and there’s certainly no marabou feathering, but I rather like its quiet composure. 
I take it out on the tiles to toast its Motor Show win, past the fancy hotels and the kind of spangly nightspots frequented by award-winning celebrities. It is not as glamorous as I had hoped: swarms of bright-voiced young women drift into the road, burly young men squabble with rickshaw drivers and paparazzi clutter the pavements. Slightly embarrassed, I direct my gaze inside the car. The dashboard stares back, steady and sphinx-like. As with the Peugeot 208, the 308 has a small steering wheel, so you’re looking over it, not through it, to see the dials, and it has a central, easily navigable touchscreen control instead of the traditional scrabble of buttons. There’s an elegance and a simplicity to its layout that extends to the rest of the interior, and rather puts me in mind of the bathroom of a luxury hotel: fuss-free, and finely considered. It’s also a refined drive, smooth and quiet and responsive, making elegant work of the rowdy streets. And later, out on more open road, it appears to have more power than you might anticipate, enjoying its six-speed gearbox and overtaking with no strain. Quibbles: that steering wheel has a flimsiness that means you tend to regard it the way the surly student appraises the substitute teacher: as if it might never quite be in control of proceedings. I’m also not fond of the modern penchant for accessing the heating controls via the touchscreen – it feels fiddly and remote, somehow. All that boot space had to catch up with the Peugeot somewhere, and it’s in the back seats, which would become very slender little knee-crushing ledges were the front seats carrying taller passengers. But this is perhaps less of a family car than other hatchbacks – it’s a bit more grown up than that. We nudge on past lovers’ tiffs and raucous singalongs. The pubs are emptying now, the revellers making their way to bus stops and nightclub dance floors, and as we sit at the lights a hen party straggles past us in a cacophony of whistles and cheers. The Peugeot seems out of place here; too sober, too reserved. But this pleases me: in a world of ritz and flashiness, sometimes subtlety wins out. FRENCH VERSION 
Plus tôt cette année, je suis allé au Grammy Awards à Los Angeles-je m’attendais à être ostentatoire et débauchées, mais au lieu de cela, il était huit heures de distraction âme dans une arène trop éclairé, je regarde rose à accomplir un acte curieusement unerotic trapèze tandis que vêtus de paillettes de trois ans et demi et une plume de marabout. Je mentionne cela parce que depuis les Grammys, chaque fois que quelqu’un mentionne prix présente, une petite partie de moi se froisse. Alors quand j’ai appris que la voiture de contrôle de cette semaine, la nouvelle Peugeot 308, a été nommée lauréat de la voiture européenne de l’année 2014 à la 84e salon de l’automobile de Genève, j’ai intérieurement a fait la grimace et secouai la tête et imaginé une cérémonie où il a effectué un risqué en duo avec Robin Thicke, porte guère plus qu’un justaucorps et une prière. Heureusement, la Peugeot 308 est beaucoup plus sobre que celle. C’est une cinq portes à hayon qui est compact, mais avec un grand coffre. Il n’est pas la voiture plus superbes à voir et il n’y a certainement aucun marabout mise en drapeau, mais j’aime assez son sang-froid tranquille. Je suppose que sur les tuiles pour griller sa victoire Motor Show, devant les hôtels de luxe et le genre de spangly boîtes de nuit fréquenté par des célébrités primé. Il n’est pas aussi glamour que j’espérais : essaims de vives voix jeunes femmes dérivent vers la route, Bohus jeunes hommes se chamailler avec les conducteurs de pousse-pousse et paparazzi encombre les trottoirs. Un peu gêné, je dirige mon regard à l’intérieur de la voiture. Les regards de tableau de bord arrière, régulier et énigmatiques. Comme avec la Peugeot 208, la 308 a un petit volant, alors que vous cherchez sur elle, pas à travers elle, de voir les cadrans, et il a un contrôle tactile central, facilement navigable au lieu du scrabble traditionnel des boutons. Il y a une élégance et une simplicité de sa mise en page qui s’étend au reste de l’intérieur et me met plutôt à l’esprit de la salle de bain d’un hôtel de luxe : tracas et finement pris en compte. C’est aussi un lecteur raffiné, lisse et calme et réactif, faire un travail élégant de la rue bruyante. Et plus tard, dehors sur la route plus ouverte, il semble avoir plus de pouvoir que vous pourriez anticiper, profitant de sa boîte à six vitesses et de rattrapage avec aucune souche. Arguties : ce volant a une fragilité qui signifie que vous avez tendance à considérer la façon dont l’élève hargneux évalue la suppléante : comme s’il ne serait jamais tout à fait dans le contrôle de la procédure. Je ne suis pas friand du penchant modern permettant d’accéder à des commandes de chauffage via l’écran tactile – c’est fastidieux et distant, en quelque sorte. Tout ce que démarrage espace rattraper la Peugeot quelque part, et c’est dans les sièges arrière, qui allait devenir très minces petit genou-écrasement corniches étaient les sièges passagers taller. Mais c’est peut-être moins d’une voiture familiale que les autres berlines – c’est un peu plus grandi que cela. Nous déplacer sur ancien lovers’ TIFF et chansons rauque. Les pubs sont vident, les fêtards faisant leur chemin aux arrêts de bus et les pistes de danse discothèque et comme nous asseoir au feu une partie de la poule straggles passé nous dans une cacophonie de sifflets et d’applaudissements. La Peugeot semble hors de propos ici ; trop sobre, trop réservé. Mais cela me plaît : dans un monde de ritz et clinquant, parfois subtilité l’emporte.
style=”display:inline-block;width:728px;height:90px” data-ad-client=”ca-pub-3299921071151129″ data-ad-slot=”2102069697″>
