Libya’s Supreme Court on Thursday invalidated the internationally recognised Parliament, setting the stage for deepening political chaos in the violence-wracked North African nation.
The ruling, which cannot be appealed, prompted celebratory gunfire in the capital Tripoli where Islamist-led militias have been in control since August, an AFP correspondent reported.
The Tripoli court also nullified a constitutional amendment that led to elections on June 25, thereby invalidating the polls and all decisions that resulted from them.
The internationally-supported government of Prime Minister Abdullah al-Thani is sheltering in the remote eastern town of Tobruk near the Egyptian border and has almost no control over Libya’s three main cities.
The legislature’s legal committee called an emergency meeting to review the court ruling.
“Legislators will not recognise a verdict decided under the gun,” Tobruk-based parliamentarian Issam al-Jehani wrote on Facebook.
Libyan authorities have struggled to assert control across a country awash with weapons and powerful militias that ousted longtime autocratic leader Muammar Gaddafi in a 2011 revolt.
There was no immediate response to the ruling from the administration led by Mr Thani, who was appointed Prime Minister in March by an interim Parliament that has since been dissolved.
He submitted his resignation in August, but the elected Parliament asked him to form a new government. The Supreme Court had been asked by an Islamist legislator to rule on the constitutionality of the legislature that approved Mr Thani’s government.
FRENCH VERSION
Cour suprême de Libye jeudi a annulé le Parlement reconnu au niveau international, ouvrant la voie à l’approfondissement de chaos politique dans la nation nord-africaine en proie à la violence.
La décision, qui ne peut être portée en appel, a incité les tirs festifs dans la capitale Tripoli, où les milices islamistes dirigée ont été en contrôle depuis août, un correspondant de l’AFP a rapporté.
Le Tribunal de Tripoli a également annulé un amendement constitutionnel qui a conduit aux élections le 25 juin, invalidant ainsi les sondages et toutes les décisions qui ont résulté de leur.
Le cybergouvernement sur la scène internationale du premier ministre Abdullah al-Thani est mise à l’abri dans la distance ville orientale de Tobrouk, près de la frontière égyptienne et a presque aucun contrôle sur les trois principales villes de la Libye.
Comité juridique du législateur appelé à une réunion d’urgence pour examiner la décision du Tribunal.
« Législateurs ne reconnaîtront pas un verdict décidé under the gun », basé sur Tobrouk parlementaire Issam al-Jehani a écrit sur Facebook.
Les autorités libyennes ont eu du mal à imposer un contrôle à travers un pays inondé avec des armes et des milices puissants qui a renversé le dirigeant autocratique longue date Muammar Gaddafi dans une révolte de 2011.
Il n’y n’avait aucune réponse immédiate à la décision de l’administration dirigée par M. Thani, qui a été nommé premier ministre en mars par un Parlement intérimaire qui a depuis été dissous.
Il a présenté sa démission en août, mais le Parlement élu lui a demandé de former un nouveau gouvernement. La Cour suprême a été posée par un législateur islamiste se prononcer sur la constitutionnalité de la législature qui a approuvé le gouvernement de M. Thani.