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November 7, 2024
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“The Sankarist Quite” As Michel Kafando Named As The Interim Transition President Of Burkina Faso //« Le sankariste tout à fait » comme Michel KafanDo Nommé Comme Le Président De Transition Intérimaire Du Burkina Faso

Diplomat Michel Kafando has been chosen as Burkina Faso’s interim president, officials in the West African country announced Monday, and he will head the country until 2015.

Kafando, one of four candidates, was selected after several hours of negotiation.

“The consensus candidate is Michel Kafando,” said Ignace Sandwidi, a representative of the Catholic Church, which was involved in the discussions to find a new leader.

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Kafando, 72, served as the country’s ambassador to the United Nations from 1998 to 2011. Previously, he was Burkina Faso’s foreign affairs minister between 1981 and 1982.

Kafando was preferred to the other candidates, who included journalist Cherif Sy and sociologist and ex-minister Josephine Ouedraogo. He was selected by a committee of 23 officials.

Kafando’s appointment will now have to be ratified by the Constitutional Council.

It comes ahead of a deadline imposed by the African Union, which instructed Burkina Faso to establish interim institutions and pick an interim president by Monday or face sanctions.

Elections are scheduled to be held in November next year, returning the country to civilian rule after long-time ruler Blaise Compaore was ousted in October.

Political and military leaders in Burkina Faso have chosen a former foreign minister, Michel Kafando, to be the country’s interim president.

The move follows the signing of a charter on Sunday mapping out a year-long transition to elections.

Mr Kafando was one of four possible candidates for the post, including two journalists and an academic.

The army took power after President Blaise Compaore was forced to resign on 31 October during mass protests.

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Lt Col Isaac Zida, who declared himself head of the West African state, has pledged to hand over power to a civilian authority.

The transitional charter will see an interim legislative chamber and a transitional leader installed until elections are organised next year.

Mr Kafando, 72, was chosen by a special panel composed of religious, military, political, civil and traditional leaders.

Negotiations in the capital Ouagadougou continued into the early hours of Monday morning.

Reaction to Mr Kafando’s appointment has been lukewarm among the youth who were instrumental in ousting Mr Compaore.

The retired diplomat had been Mr Compaore’s voice at the UN for 13 years, and had been quiet throughout the rowdy debate over the constitutional amendment, which sought to extend Mr Compaore’s 27-year rule. More significantly, he was the army’s candidate.

All this leaves many with the feeling that they have been sold short with Mr Kafando’s appointment. Many youths would have preferred Josephine Ouedraogo. She served in the government of Thomas Sankara, the post-independence leader whose mysterious killing opened the way for Mr Compaore to seize power in 1987.

She refused to have anything to do with Mr Compaore’s regime and picking a “Sankarist” would have signalled a return to the revolutionary values promoted in Burkina Faso before Mr Compaore’s ascent to power.

But people are unlikely to rally against Mr Kafando’s appointment, as the Transition Charter imposes tight controls on his powers

Burkina Faso’s army-appointed leader, Lt Col Isaac Zida, has pledged to hand power to a civilian authority
Mr Kafando’s first task will be to name a prime minister who will appoint a 25-member government.

Mr Kafando, a former foreign minister and previously Burkina Faso’s ambassador to the United Nations, will be barred from standing at the next election.

International bodies have threatened sanctions unless civilian rule is restored in Burkina Faso.

Col Zida’s attempts to suspend the constitution and crack down on dissent sparked fresh unrest late last month.

In a communique on Saturday, Col Zida said the constitution was back in force in order to “allow the start of the establishment of a civilian transition”.

Mr Compaore first seized power in a coup in 1987 and went on to win four disputed elections.

Tens of thousands of people protested in Ouagadougou in October against moves to allow him to extend his rule.

FRENCH VERSION

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Diplomate Michel Kafando a été choisi comme Président par intérim du Burkina Faso,responsables dans le pays ouestafricain ont annoncé lundi, et il sera à la tête du paysjusqu’en 2015.

Kafando, un des quatre candidats, a été choisi après plusieurs heures de négociation.

« Le candidat de consensus Michel Kafando, » explique Ignace Sandwidi, unreprésentant de l’Eglise catholique, qui a été impliqué dans les discussions pourtrouver un nouveau leader.

Kafando, 72, a servi comme ambassadeur du pays à l’ONU de 1998 à 2011.Auparavant, il était ministre des affaires étrangères du Burkina Faso entre 1981 et1982.

Kafando a été préféré aux autres candidats, qui inclus le journaliste Cherif Sy etsociologue et ex-ministre Josephine Ouedraogo. Il a été sélectionné par un Comité de23 fonctionnaires.

Nomination de kafando devront désormais être ratifiée par le Conseil constitutionnel.

Il s’agit avant une date limite imposée par l’Union africaine, qui a chargé le BurkinaFaso à mettre en place les institutions provisoires et choisissez un présidentintérimaire par lundi ou font face à des sanctions.

Élections sont prévues qui se tiendra en novembre prochain, le pays de retour vers ungouvernement civil après que le dirigeant de longue date Blaise Compaore a étéévincé en octobre.

Les dirigeants politiques et militaires au Burkina Faso ont choisi un ancien ministre desaffaires étrangères, Michel Kafando, à être Président par intérim du pays.

Le déménagement fait suite à la signature d’une Charte sur la cartographie dudimanche sur une transition de long de l’année d’élections.

M. Kafando a été un des quatre candidats possibles au poste, y compris les deuxjournalistes et un universitaire.

L’armée a pris le pouvoir après que le président Blaise Compaoré a été contraint dedémissionner le 31 octobre lors de manifestations de masse.

Lt Col Isaac Zida, qui se déclare chef de l’Etat de l’Afrique de l’Ouest, s’est engagé àcéder le pouvoir à une autorité civile.

Gens ont applaudi dans la Charte de transition a été signée le dimanche

La Charte de transition verra une chambre législative provisoire et un leader detransition installé jusqu’à ce que les élections sont organisées l’année prochaine.

M. Kafando, 72, a été choisi par un jury spécial composé de religieux, militaires, lesdirigeants politiques, civiles et traditionnelles.

Négociations dans la capitale Ouagadougou se sont poursuivies dans les premièresheures du lundi matin.

Réaction à la nomination de M. Kafando a été tiède chez les jeunes qui ont contribuéà l’éviction de M. Compaoré.

L’ancien diplomate était la voix de M. Compaoré à l’ONU depuis 13 ans et avait étécalme pendant tout le débat tapageur sur l’amendement constitutionnel, qui a cherché à étendre la règle de 27 ans de M. Compaoré. Plus important encore, il étaitcandidat de l’armée.

Tout cela laisse beaucoup avec le sentiment qu’ils ont été vendus à découvert avec lanomination de M. Kafando. Beaucoup de jeunes aurait préféré Josephine Ouedraogo.Elle a servi dans le gouvernement de Thomas Sankara, le leader de l’indépendancedont meurtre mystérieux ouvrait la voie à M. Compaoré s’emparer du pouvoir en1987.

Elle a refusé d’avoir quelque chose à voir avec le régime de M. Compaoré et choisir un« sankariste » serait ont marqué un retour aux valeurs révolutionnaires promu auBurkina Faso avant l’ascension de M. Compaoré au pouvoir.

Mais les gens sont peu susceptibles de rallier contre la nomination de M. Kafando,comme la Charte de Transition impose un contrôle serré sur ses pouvoirs

Chef d’armée-nommé du Burkina Faso, Lt Col Isaac Zida, a promis de remettre depouvoir à une autorité civile

Première tâche de M. Kafando sera de nommer un premier ministre qui nommera ungouvernement de 25 membres.

M. Kafando, un ancien ministre des affaires étrangères et, auparavant, l’Ambassadeurdu Burkina Faso auprès des Nations Unies, sera exclu de se présenter à la prochaineélection.

Organismes internationaux ont menacé des sanctions, à moins que le gouvernementcivil est restauré au Burkina Faso.

Tentatives de col Zida de suspendre la constitution et de réprimer la dissidence a suscité une agitation douce fin du mois dernier.

Dans un communiqué samedi, Col Zida dit la constitution revient en force afin de“permettre le début de la mise en place d’une transition civile”.

M. Compaore tout d’abord pris le pouvoir par un coup d’État en 1987 et a continuépour gagner quatre scrutin contesté.

Des dizaines de milliers de personnes ont protesté à Ouagadougou en octobre contrese déplace pour lui permettre d’étendre sa domination.

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