The Executive Director of the United Nations Population Fund is encouraging family planning in Nigeria to manage the country’s population growth.
Babatunde Osotimehin told The Associated Press that allowing women to decide when to have children would benefit Nigeria’s economy.
He was responding to a U.N. report released Tuesday that highlights the economic benefits of shifting from high fertility to low fertility rates.
Nigeria featured as a case study in the “The Power of 1.8 billion: Adolescents, Youth and the Transformation of the Future.” The report claims Nigeria could benefit significantly from what is called a demographic dividend, which can occur when a county’s working age population is larger than the dependent, younger population.
“A slight decline in fertility would raise output per capita by 5.6 percent at a horizon of 20 years and by 11.9 percent at a horizon of 50 years,” says the report.
Nigeria should commit to policies that encourage family planning which is still relatively low in Nigeria due to cultural and religious beliefs, said Abiodun Baiyewu, the country director of Global Rights.
Nigeria’s population of 170 million people is expected to double in 22 years and surpass that of the U.S. by 2050 according to U.N. projections.
FRENCH VERSION
Le directeur exécutif du Fonds de Population des Nations Unies est encourageant la planification familiale au Nigeria pour gérer la croissance démographique du pays.
Babatunde Osotimehin a déclaré à l’Associated Press que permettre aux femmes de décider du moment d’avoir des enfants bénéficieraient économie du Nigeria.
Il réagissait à un rapport de l’ONU publié mardi, qui met en évidence les avantages économiques de passer du taux de fécondité élevé au taux de fécondité faible.
Nigéria présenté comme une étude de cas dans la “la puissance de 1,8 milliards : la Transformation de l’avenir, les jeunes et les Adolescents. » Le rapport prétend que Nigéria pourrait bénéficier considérablement de ce qu’on appelle un dividende démographique, ce qui peut se produire lorsque la population d’âge actif d’un comté est supérieure à la population dépendante, plus jeune.
« Une légère baisse de la fécondité soulèverait sortie par habitant de 5,6 pour cent à un horizon de 20 ans et de 11,9 % à un horizon de 50 ans, » dit le rapport.
Nigeria devrait s’engager à des politiques qui encouragent la planification familiale qui est encore relativement faible au Nigeria en raison de croyances culturelles et religieuses, a déclaré Abiodun Baiyewu, directeur de Global Rights.
Population du Nigéria de 170 millions de personnes devrait doubler en 22 ans et dépasser celle des États-Unis d’ici 2050, selon les projections de l’ONU.
