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Anti-Islamist Essebsi Leads Tunisia Presidential Vote // Essebsi anti-islamiste conduit Tunisie Vote présidentiel




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The head of Tunisia’s anti-Islamist Nidaa Tounes party, Beji Caid Essebsi, leads the country’s presidential election with 39.46 percent of votes, six percentage points ahead of incumbent Moncef Marzouki, results showed Tuesday.
Because there was no outright winner, a second round of voting will now be held, with the date depending on any appeals, the head of the ISIE elections body Chafik Sarsar told reporters.
Marzouki secured 33.43 percent of votes cast in an election European Union observers on Tuesday called “pluralist and transparent”.
Leftwing figurehead Hamma Hammami came third with 7.82 percent, followed by London-based Islamist entrepreneur Hechmi Hamdi (5.75 percent) and wealthy businessman and football club president Slim Riahi (5.55 percent).
Sunday’s election was the first time Tunisians had voted freely for their head of state since independence from France in 1956.
The North African nation that sparked the Arab Spring had known just two presidents – “father of independence” Habib Bourguiba and Zine El Abidine Ben Ali, who was forced to flee on January 14, 2011 by a popular uprising.
Marzouki was elected president at the end of 2011 by the National Constituent Assembly under a coalition deal with the then ruling Islamist Ennahda party, which came second in a parliamentary election last month behind Nidaa Tounes.
Annemie Neyts-Uytterbroeck, who headed the EU observer mission in Sunday’s presidential election, described any irregularities as “minor”.
“The exercise of freedom of expression and assembly was guaranteed,” she said.
The contest for the expected runoff had begun even before the first round result became official on Tuesday.
Wasting no time in relaunching the battle after Sunday’s vote, Essebsi called Marzouki the candidate of “jihadist Salafists”, to which his rival countered by calling for “a debate on policies… not (a campaign of) insults”.
The election is a milestone for Tunisia, where the ouster of long-time strongman Ben Ali set off a chain of revolts that saw several Arab dictators toppled by citizens demanding democratic reform.
US Secretary of State John Kerry hailed Sunday’s vote as an “historic moment” in Tunisia’s transition to democracy, and pledged Washington’s support.
His French counterpart, Laurent Fabius, called for Tunisia’s transition towards building new institutions to remain “inclusive and democratic”.
Tunisian leaders pride themselves on the fact the country has been spared the bloodshed that has ravaged other Arab Spring states such as Libya and Yemen.
Despite fears of disruption by the militants, polling on Sunday passed off peacefully.
But the runoff is set to be polarising, with Marzouki’s camp portraying him as the last line of defence against a return to the autocratic ways of the old regime, and Essebsi deriding him as an Islamist pawn.
Marzouki in a speech urged “all democratic forces” to back him against Essebsi, who served under both Ben Ali and Bourguiba.
“I am now calling on all democratic forces… alongside whom I have campaigned for the past 30 years for a real democracy, for a break with the past, for a genuine civil society and for a separation of powers,” he said.
Marzouki argues that only he can preserve the gains of the uprising, while his critics say he hijacked the spirit of the revolution by allying himself with moderate Islamists Ennahda in 2011.
Ennahda rule was marred by a surge of radical Islamism and the assassination of two leftist politicians by jihadist suspects.
Essebsi insisted on Monday that only he could defend Tunisia against the threat of Islamist extremism. “The people who voted for Marzouki were the Islamists… that is to say Ennahda members… but also the jihadist Salafists,” he told French radio station RMC. If Essebsi wins he will still have to form a coalition government, even with Ennahda, because Nidaa Tounes fell short of securing an absolute majority in October.

FRENCHVERSION

Le chef du groupe de Nidaa Tounes anti-islamiste de la Tunisie, Beji Caid Essebsi,conduit à l’élection présidentielle avec 39,46 % des voix, six points de pourcentagedevant titulaires Moncef Marzouki, est ressorti mardi.
Parce qu’il y n’avait aucun vainqueur, un second tour de scrutin auront lieu, avec ladate selon n’importe quel appel, le responsable de l’organisme d’élections ISIE ChafikSarsar a déclaré aux journalistes.
Marzouki sécurisé 33,43 % des votes exprimés dans un observateurs de l’Unioneuropéenne mardi dite « pluraliste et transparente ».
Figure de proue de gauche Hamma Hammami est arrivé troisième avec 7,82 %, suivipar l’entrepreneur islamiste basé à Londres Hechmi Hamdi (5,75 %) et le football et leriche homme d’affaires club Président Slim Riahi (5,55 %).
Élection de dimanche était que les premiers tunisiens de temps avaient voté librementpour leur chef de l’Etat depuis l’indépendance de la France en 1956.
La nation d’Afrique du Nord qui a déclenché le printemps arabe a connu que deuxprésidents « père de l’indépendance » Habib Bourguiba et Zine El Abidine Ben Ali,qui fut contraint de fuir le 14 janvier 2011 par un soulèvement populaire.
Marzouki a été élu Président à la fin de 2011 par l’Assemblée nationale constituante,en vertu d’un accord de coalition avec puis parti islamiste Ennahda, qui est arrivésecond lors d’une élection parlementaire le mois dernier derrière Nidaa Tounes.
Annemie Neyts-Uytterbroeck, qui a dirigé la mission d’observation de l’UE à l’électionprésidentielle de dimanche, a décrit des irrégularités « mineures ».
« L’exercice de la liberté d’expression et de réunion est garantie, » dit-elle.
Le concours pour l’eaux de ruissellement attendue avait commencé avant même quele premier résultat rond est devenue officiel mardi.
Sans perdre de temps lorsqu’il a relancé la bataille après le vote de dimanche, Essebsiappelé Marzouki candidat de « jihadistes salafistes », à qui son rival a répliqué enappelant à “un débat sur les politiques… pas (campagne de) insultes“.
L’élection est une étape importante pour la Tunisie, l’éviction de longue datestrongman que Ben Ali a défini une série de révoltes qui a vu plusieurs dictateursarabes renversée par citoyens exigeant des réformes démocratiques.
États-Unis Secrétaire d’État John Kerry a salué le vote de dimanche comme un «moment historique » dans la transition de la Tunisie vers la démocratie et a promisl’appui de Washington.
Son homologue Français, Laurent Fabius, a appelé à la transition de la Tunisie versl’édification de nouvelles institutions de rester « inclusive et démocratique ».
Les dirigeants tunisiens sont fiers du fait le pays a été épargné aux effusions de sangqui a ravagé les autres États de printemps arabe comme la Libye et l’Yémen.
Malgré les craintes d’une perturbation par les militants, les bureaux de vote dimancheest paisiblement.
Mais le ruissellement est défini pour être polarisant, avec le camp de Marzoukidépeignant la dernière ligne de défense contre un retour à la façon autocratique del’ancien régime et Essebsi moquant de lui comme un pion de l’islamiste.
Marzouki lors d’un discours a exhorté « toutes les forces démocratiques » à lui deretour contre Essebsi, qui a servi sous Ben Ali et de Bourguiba.
« Je suis maintenant appelle toutes les forces démocratiques aux côtés de qui j’ai fait campagne depuis 30 ans pour une vraie démocratie, pour une rupture avec le passé,pour une véritable société civile et une séparation des pouvoirs, » dit-il.
Marzouki affirme que seulement il peut préserver les gains de l’insurrection, tandis que ses détracteurs disent qu’il a détourné l’esprit de la révolution en s’alliant avecEnnahda d’islamistes modérés en 2011.
Règle d’Ennahda a été marquée par une montée de l’islamisme radical et l’assassinatde deux politiciens gauchistes par suspects djihadiste.
Essebsi a insisté lundi qu’il pourrait seulement défendre Tunisie contre la menace del’extrémisme islamiste. « Les gens qui ont voté pour Marzouki étaient les islamistes…c’est à dire les membres Ennahda mais aussi les djihadistes salafistes, » il a dit lastation RMC de radio Français. Si Essebsi gagne il aura encore à former ungouvernement de coalition, même avec Ennahda, car Nidaa Tounes en deçà desécurisation d’une majorité absolue en octobre.




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