Farmers in Rwamagana till land. Rwanda’s digital land administration has helped solve many land problems. (File)
This was one of the recommendations from a study conducted by Land Policy Initiative (LPI), established in 2006 as a joint initiative of African Union (AU), the East African Community (EAC), and African Development Bank (AfDB).
The study aimed at generating knowledge on adequate land administration systems that can help ensure citizens’ land rights.
Findings from the study were made public at a meeting in Kigali on Thursday.
The study that covered all the 54 African states, found that all states were at different stages of streamlining land administration but added that the situation was still wanting.
Frank Byamugisha, a consultant in land agriculture who headed the study team, said some countries had done better than others in terms of land administration.
“Rwanda in the last 10 years has done a lot to improve land administration, especially through its land registration programme. Other African countries should emulate this and improve land administration,” he said.
Antonia Pedro, the Director of Economic Commission for Africa at the United Nations, said Africa is greatly endowed with natural resources and can position itself as the world’s bread basket.
He, however, said that the continent’s land administration services are largely inefficient, slow and costly and lack transparency which hinders socio-economic development. He said that only 10 per cent of Africa’s land is titled.
Byamugisha said that at least 30 per cent of cases in African courts are related to land, adding that such disputes render land unusable until they are solved.
Eng. Didier Giscard Sagashya, the deputy director general for land and mapping at Rwanda Natural Resources Authority (RNRA), said that about 80 per cent of the country’s land is titled.
He said Rwanda’s digital land administration system makes it easier to establish land ownership, usage, size and transfer of ownership.
He said what is left is to sensitise people about the need to register any land transfer to ensure land information is actualised.
He said during this year’s Land Week, RNRA staff reached 150 sectors urging people to register information on selling, offering and inheritance of land.
Sagashya said the activity will resume in February 2015.
Land has been a bone of contention in families.
“We are mulling over approaches to help Rwandans deal with land issues appropriately,” he said.
Rwanda was chosen as appropriate host of the workshop thanks to its achievements in land administration and management, according to organisers.
The study was in line with LPI’s five-year Strategic Plan and Road Map (2012-2016) prepared to implement the EU Declaration on Land Challenges in Africa.
FRENCH VERSION
Nouvel élan pour l’aider à réaliser la couverture maladieuniverselle
Ce fut l’une des recommandations d’une étude menée par LandPolicy Initiative (LPI), créé en 2006 une initiative conjointe del’Union africaine (UA), l’Afrique orientale (CAO) et la Banqueafricaine de développement (Bad).
L’étude visait à produire des connaissances sur les systèmesd’administration de terre adéquate qui peut aider à garantir lesdroits fonciers des citoyens.
Résultats de l’étude ont été rendus publics lors d’une réunion àKigali jeudi.
L’étude qui a couvert tous les 54 États africains, a révélé que tous les États étaient à des stades différents de rationaliserl’administration des biens fonciers, mais a ajouté que la situationétait toujours à désirer.
Frank Byamugisha, un consultant dans l’agriculture, qui a dirigél’équipe de l’étude, a déclaré que certains pays avaient fait mieuxque d’autres en ce qui concerne l’administration des biensfonciers.
“Au Rwanda au cours des 10 dernières années a fait beaucouppour améliorer l’administration des biens fonciers, notamment par le biais de son programme d’enregistrement de terre. Autres paysd’Afrique devraient imiter cela et améliorer l’administration desbiens fonciers,”dit-il.
Antonia Pedro, le directeur de la Commission économique pourl’Afrique à l’ONU, a déclaré l’Afrique est largement dotée deressources naturelles et peut se positionner comme le grenier àblé du monde.
Il, cependant, a dit que les services d’administration des terres du continent sont en grande partie inefficace, lent et coûteux etmanquent de transparence qui entrave le développementéconomique. Il a dit que 10 % seulement des terres de l’Afriques’intitule.
Byamugisha a déclaré qu’au moins 30 % des cas dans lestribunaux africains est lié à la pour Terre, en ajoutant que cesdifférends rendent inutilisable terres jusqu’à ce qu’ils sont résolus.
Fr. Didier Giscard Sagashya, le sous-directeur général pour la terreet cartographie de l’autorité des ressources naturelles au Rwanda(RNRA), a déclaré que 80 % environ de la superficie du pays estintitulé.
Système d’administration des terres numériques du Rwanda lerend plus facile d’établir la propriété foncière, de son utilisation, detaille et de transfert de propriété, dit-il.
Il a dit ce qui reste est de sensibiliser les gens au sujet de lanécessité d’enregistrer n’importe quel transfert de terres afind’assurer l’information sur les terres est actualisée.
Il a dit au cours de la semaine de terre de cette année, lepersonnel RNRA atteint 150 secteurs exhortant les gens às’inscrire les informations sur la vente, ce qui permet et d’héritagedes terres.
Sagashya dit que l’activité reprendra en février 2015.
Terre a été une pomme de discorde dans les familles.
« Nous sommes ressassant d’approches pour aider les rwandais àtraiter de façon appropriée avec les questions foncières, » dit-il.
Rwanda a été choisi comme hôte approprié de l’atelier grâce à sesréalisations dans l’administration des biens fonciers et gestion,selon les organisateurs.
L’étude a été conformément au Plan stratégique quinquennal deLPI et feuille de route (2012-2016) prêt à appliquer la déclarationde l’Union européenne sur les défis de la terre en Afrique.
