The United Nations special envoy to the Sahel region said on Monday talks to resolve a crisis in Libya had stalled and warned several countries in the region risked being destabilized unless it was resolved quickly.
Hiroute Gebre Selassie said instability in the Sahel, the arid region south of the Sahara desert, had worsened due to the fragile state of regional governments and expansion of militant groups.
Libya has two governments competing for legitimacy since a group called Libya Dawn seized Tripoli in August, forcing the internationally recognised Prime Minister, Abdullah Al Thinni, to the eastern city of Tobruk, spurring fears of a civil war for control of the country’s vast oil reserves.
A second round of UN-sponsored peace talks was due to open this week, though Thinni has vowed to retake Tripoli by force.
“In Libya, the political process is stagnant and the clashes between the different factions continue,” Selassie said at an African security forum in Dakar.
“If the crisis in Libya is not resolved quickly then numerous countries in the region will be destabilised.” She said persistent indications of Islamic State of Iraq and Syria (ISIS) training camps being set up in Libya was especially worrying.
French Defence Minister Jean-Yves Le Drian, whose country has deployed some 3,200 troops in the Sahel for counter-insurgency operations, said that militants had managed to regroup in southern Libya and equip themselves with weapons.
A French-led operation in January 2013 destroyed an Al Qaeda-linked enclave in northern Mali, but scattered extremist cells still carry out attacks against Malian troops and UN peacekeepers.
On Sunday inurgents clashed with pro-government forces for the second consecutive day as they pressed an advance on a key oil region in eastern Libya.
Separately, at least 17 Fajr Libya militiamen were killed in an air strike by pro-government forces near the Ras Jedir border crossing with Tunisia. A news agency linked to the group quoted Islamist commander Tareq Shanina as saying his men “advanced toward Al-Sidra” and were coming under air attack from pro-government forces.
FRENCH VERSION
L’envoyé spécial des Nations Unies pour la région du Sahel a direle lundi des pourparlers pour résoudre une crise en Libye avaitdécroché et a mis en garde de plusieurs pays de la région risquéd’être déstabilisée, sauf s’il a été résolu rapidement.
Hiroute Gebre Selassie dit instabilité au Sahel, la région aride au sud du désert du Sahara, s’est aggravée en raison de la fragilitédes gouvernements régionaux et l’expansion des groupesmilitants.
La Libye a deux gouvernements disputent la légitimité puisqu’ungroupe appelé Libye Dawn pris Tripoli en août, forçant laPrimature internationalement reconnues, Abdullah Al Thinni, à laville orientale de Tobrouk, stimulant les craintes d’une guerre civilepour le contrôle de la vaste oléoducs se réserve.
Une deuxième série de pourparlers de paix parrainé par l’ONUdevait ouvrir cette semaine, bien que Thinni a promis dereprendre Tripoli par la force.
« En Libye, le processus politique est stagnant et lesaffrontements entre les différentes factions continuent, » Selassiea déclaré lors d’un forum de sécurité en Afrique à Dakar.
« Si la crise en Libye n’est pas résolue rapidement puis nombreuxpays de la région seront être déstabilisés. » Elle dit des indicationspersistantes de l’Etat islamique d’Irak et la Syrie (ISIS) campsd’entraînement mis en place en Libye est particulièrementpréoccupant.
Français défense ministre Jean-Yves Le Drian, dont le pays adéployé quelque 3 200 hommes dans le Sahel pour les opérationsde lutte contre l’insurrection, a déclaré que les militants avaientréussi à se regrouper en Libye méridionale et se doter d’armes.
Une opération en janvier 2013 Français détruit une enclave liée àAl-Qaïda dans le nord du Mali, mais épars de cellules extrémistesencore mener des attaques contre les troupes maliennes et descasques bleus.
Le dimanche inurgents se sont heurtés aux forces favorables augouvernement pour la deuxième journée consécutive comme ils ont pressé une avance sur une région pétrolière clé dans l’estlibyen.
Séparément, au moins 17 Fajr Libye miliciens ont été tués dansune frappe aérienne par les forces pro-gouvernementales près duposte frontalier de Ras Jedir avec la Tunisie. Une Agence de presseliée au groupe cité islamiste commandant Tareq Shanina que seshommes « avancée vers Al-Sidra » et venaient sous attaqueaérienne des forces favorables au gouvernement.
