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UN Accuses S. Sudan Rebels of Human Rights Abuses // Nations Unies Accuse Rebelles S. Soudan De Violations Des Droits De L’homme




South Sudanese opposition forces killed at least 11 civilians and rape others in what amounted to war crimes, the United Nations mission in South Sudan (UNMISS) said in a new report.

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South Sudanese rebels pictured in Jonglei state on 31 January 2014 (Photo: Reuters/Goran Tomasevic)

“This report is a timely reminder of the fighting that has continued in Unity, Upper Nile and Jonglei states in spite of the Cessation of Hostilities Agreement that both warring parties signed nearly a year ago,” said Ellen Margrethe Loej, the head of UNMISS in a report extended to Sudan Tribune on Friday.

Released by the UN human rights division, the report details several abuses allegedly committed by opposition forced in Bentiu, Unity state last October.

UNMISS human rights officers reportedly received testimonies from multiple sources alleging opposition forces abducted and raped female residents after government troops withdrew from some parts of the city on 29 October.

“I strongly condemn the targeting of unarmed civilians in the ongoing fighting and call on both parties to the conflict to act with restraints,” said Loej.

A list of 14 female names was compiled by the UN as evidence of those allegedly kidnapped by opposition forces during their five-hour occupation of Bentiu.

Two women and a six-month old baby were reportedly among those killed by opposition forces near a Catholic church in the Dere neighborhood of Bentiu.

“Reports of such gross human rights abuses are all too common in the current conflict and involve all sides,” observes the report.

“[Opposition] forces committed gross human rights abuses and serious violations of international humanitarian law which may amount to war crimes,” it adds.

Meanwhile, the UN human rights officers reportedly conducted 21 interviews with victims, witnesses and other sources in the aftermath of the 29 October attack by opposition forces on the Unity state capital and the adjacent town of Rubkona.

Bentiu has changed hands several times between the opposition and government forces since fighting broke out due to political disputes in the country a year ago.

The human right team of the world body also visited the opposition-controlled town of Nhialdiu on 24 November to investigate allegations against the rebels.

However, local authorities allied with the armed opposition denied accusations that the latter targeted civilians. The deceased, they say, were crossfire victims.

They further claimed women who left Bentiu had accompanied opposition forces of their own mainly followed their husbands who had joined the armed opposition.

Sudan Tribune could not easily reach the armed opposition members for a comment.

(ST)

FRENCH VERSION

Les forces d’opposition sud soudanaise tué au moins 11 civils et leviol d’autres dans ce qui s’est élevés à des crimes de guerre, lamission des Nations Unies dans le Soudan du Sud (MINUSS) selonun nouveau rapport.

“Ce rapport est un rappel opportun des combats qui s’estpoursuivie dans l’unité, du Haut-Nil et Jonglei États en dépit del’accord de Cessation des hostilités que les deux partiesbelligérantes signé près d’un an auparavant,” a déclaré EllenMargrethe Loej, la tête de MINUSS dans un rapport étendu àSudan Tribune vendredi.

Publié par la division des droits de l’homme de l’ONU, le rapportdétaille plusieurs violations qui auraient été commises paropposition contraint à Bentiu, état de l’unité en octobre dernier.

MINUSS spécialistes des droits de l’homme aurait reçu destémoignages de sources multiples, alléguant des forcesd’opposition ont enlevé et violé des résidantes après que lestroupes gouvernementales se retirent de certaines parties de laville le 29 octobre.

« Je condamne fermement le ciblage de civils non armés dans lapoursuite des combats et l’appel aux deux parties au conflit à agiravec retenue, » a déclaré Loej.

 

Une liste de 14 noms féminins a été compilée par l’ONU commepreuve de ceux qui auraient été enlevés par les forces del’opposition pendant leur occupation de cinq heures de Bentiu.

 

Deux femmes et un bébé de six – mois, auraient été parmi ceux qui sont tués par les forces de l’opposition près d’une églisecatholique dans le quartier de Dere de Bentiu.

 

« Rapports de tels brute droits de l’homme abus sont troprépandues dans le conflit actuel et impliquent toutes les parties, »observe le rapport.

 

“[L’opposition] forces de violations graves du droit internationalhumanitaire qui peut équivaloir à des crimes de guerre etviolations flagrantes des droits de l’homme commises”, il ajoute.

 

Pendant ce temps, les spécialistes des droits de l’homme des Nations Unies aurait été interrogé 21 avec les victimes, detémoins et d’autres sources à la suite de l’attentat du 29 octobrepar les forces de l’opposition sur la capitale de l’état de l’unité etde la ville adjacente de Rubkona.

 

Bentiu a changé de mains plusieurs fois entre l’opposition et lesforces gouvernementales depuis que les combats ont éclaté en raison de conflits politiques dans le pays il y a un an.

 

La bonne équipe humaine de l’organisme mondial a égalementvisité la ville de Nhialdiu, contrôlées par l’opposition le 24novembre pour enquêter sur les allégations contre les rebelles.

 

Toutefois, les autorités locales allient avec l’opposition armée a niéles accusations que celui-ci visé des civils. Défunt, disent-ils, ont été victimes de crossfire.

 

Ils ont réclamé davantage les femmes qui ont quitté Bentiuavaient des forces d’opposition accompagnés de leur propre suiviprincipalement leurs maris qui avaient rejoint l’opposition armée.

 

Sudan Tribune n’a pas pu facilement atteindre les membres del’opposition armée pour un commentaire.

 

(ST)




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