The International Monetary Fund, IMF, is forecasting that Nigeria’s growth rate would slow to about 5 percent in 2015 as falling oil prices cut revenues and spending.
In a statement by the IMF Mission Leader to Nigeria, Mr Gene Leon, the country would have to rely more on the non-oil sector which helped it grow 6.1% in the third quarter of 2014.
According to Mr Leon, the CBN’s 8% devaluation of the naira would likely boost inflation, but the effect is likely to be contained, owing to lower food prices from increased local production of staple food crops.
“Nigeria remains vulnerable to oil price volatility and global financial developments,” Gene Leon said in the statement. There are domestic risks including uncertainty ahead of February elections and security, he said.
“Capital outflows have continued and, with lower oil receipts, have led to sustained pressure on the naira.
“Despite the outlook, Nigeria could surmount its challenges, especially if a national spirit of burden sharing and rebuilding together is actively embraced.”
President Goodluck Jonathan of the ruling People’s Democratic Party (PDP) faces a united opposition of the All Progressives Congress (APC) led by former military Head of State, Muhammadu Buhari, in February 2015.
The duel has been considered the party’s stiffest challenge since it came to power at the end of Army rule in 1999
FRENCH VERSION
Dans une déclaration faite par le chef de Mission du FMI auNigéria, M. Gene Leon, le pays devra s’appuyer davantage sur lesecteur non pétrolier, qui lui a permis d’augmenter de 6,1 % autroisième trimestre de 2014.
Selon M. Leon, dévaluation de 8 % de la CBN du naira inflationprobable coup de pouce, mais l’effet est susceptible d’êtrecontenue, en raison de la baisse des prix alimentaires del’augmentation de la production locale de cultures vivrières debase.
« Nigeria demeure vulnérable à la volatilité des prix de pétrole etles évolutions financières mondiales, » Gene Leon dit dans ladéclaration. Il y a des risques domestiques, y compris incertitudeavant les élections de février et de la sécurité, dit-il.
“Les sorties de capitaux ont continué et, avec la baisse desrecettes de pétrole, ont conduit à une pression soutenue sur lenaira.
« En dépit des perspectives, Nigéria puisse surmonter ses défis,surtout si un esprit national de charge partage et reconstruireensemble est activement embrassé. »
Le Président Goodluck Jonathan du parti au pouvoir du Partidémocratique (PDP populaire) fait face à une opposition Unie dela tous les progressistes Congress (APC) dirigée par l’ancien chefd’Etat militaire, par Muhammadu Buhari, en février 2015.
Le duel a été considéré comme les plus raides défi du parti depuisson arrivée au pouvoir à la fin de la domination de l’armée en1999
