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Tanzania joins Africa’s Great GDP Revision //Tanzanie se joint à la grande révision de PIB de l’Afrique




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By : Katrina Manson @ FT

Tanzania has become the third east African country in as many months to discover the size of its economy is bigger than previously thought, benefiting from a surge of investment from gas explorers.

Tanzania joins neighbours Kenya and Uganda in their hefty upward revisions. Statisticians say the new estimate for the size of the economy in the country of 51m people is $41bn, 32 per cent more than previously estimated and the highest revision leading the east African pack, followed by Kenya (which rose 25 per cent at the end of September) and Uganda (13 per cent, also this month).

Together, the trio’s economies, which have a combined population of 84m people, are $24bn larger than previously thought – the equivalent of an extra $285 per person.

But no Tanzanian’s pocket will feel $285 fuller following the revision, which comes thanks to a statistical exercise. The country remains largely agrarian and poverty levels are high. Nevertheless, the exercise reveals the impact of the country’s prodigious gas discoveries as well as an explosion in mobile phone services – including a step-up in money transfer services – that finance minister Saada Mkuya referred to on Friday as an “ongoing… revolution”.

The economic upswing is a boost that may attract investors to a post-socialist country whose status as donor darling has finally come unstuck. In past months, Tanzania has been subsumed by a mounting corruption scandal over energy deals in a country that experiences frequent blackouts that severely hold back productive output.

Parliamentarians late this year determined that officials approved $122m in illegal payments of public funds to a private energy company last year. Donors froze nearly $500m in aid payments in the light of the scandal that has, this week, elicited the resignation of Attorney General Frederick Werema.

It is another blight ahead of elections expected next October, when president Jakaya Kikwete is due to stand down at a moment the country finds itself in flux – the constitution and the relationship between the mainland and archipelago Zanzibar is also under the microscope, in part because of the prospect of gas windfalls and how to divvy up the potential spoils.

The country, which has been growing at an average of 7 per cent for the past decade, has previously relied on gold exports for sustained growth, but gas offers a more significant boost.

Even so, international gas companies are yet to reach decision point on whether to build multi-billion-dollar gas facilities after finding more than 53tn cubic feet of gas. Although the earliest they could start to export gas is 2020, the impact on the economy is already felt in extensive imports to facilitate exploration drilling, as well as establishing offices and housing, operations and support services.

Following the revision, annual growth remains almost constant, at 7.3 per cent for last year. The revisions follow a decision by the National Bureau of Statistics to update its base year for determining GDP calculations to 2007, from an earlier baseline of 2001.

FRENCH VERSION

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La Tanzanie est devenue le pays troisième en Afrique orientale enautant de mois pour découvrir que la taille de son économie estplus grande qu’on ne le pensait, bénéficiant d’une hausse del’investissement des explorateurs de gaz.

 

Voisins de jointures Tanzanie au Kenya et en Ouganda dans leurrévision à la hausse très lourde. Statisticiens dire que la nouvelleestimation de la taille de l’économie dans le pays de 51 millions depersonnes est de $41bn, 32 % de plus que prévu et la plus forterévision en tête du peloton en Afrique de l’est, suivie du Kenya(qui est passée de 25 % à la fin de septembre) et en Ouganda (13pour cent, également ce mois-ci).

 

Ensemble, les économies du trio, qui ont une population de 84 millions d’habitants, sont de $24bn plus grande qu’on ne lepensait l’équivalent d’un appoint de 285 $ par personne.

 

Mais poche d’aucun tanzanien se sentira plus complète suite à larévision, qui vient grâce à un exercice statistique de 285 $. Lepays demeure en grande partie agraire et les niveaux de pauvretésont élevés. Néanmoins, l’exercice révèle l’impact des découvertesprodigieuses de gaz du pays, mais aussi une explosion desservices de téléphonie mobile y compris un step-up dans lesservices de transfert d’argent qui financent le ministre SaadaMkuya dénommé le vendredi comme un “en cours… révolution“.

 

L’essor économique est un coup de pouce qui peut attirer lesinvestisseurs dans un pays post-socialistes darling donateurs dontle statut a enfin se décoller. Au cours des derniers mois, Tanzaniea été subsumée par un scandale de corruption de montagetranches d’énergie dans un pays qui connaît de fréquentescoupures de courant qui retiennent fortement productive sortieen.

 

Parlementaires vers la fin de cette année a déterminé que lesfonctionnaires ont approuvé 122m $ en paiements illégaux defonds publics à une entreprise du secteur énergétique l’an dernier.Bailleurs de fonds ont gelé près de 500 millions de dollars enpaiements de l’aide à la lumière du scandale qui a, cette semaine,a provoqué la démission du Procureur général Frederick Werema.

 

C’est un autre fléau avant les élections prévu octobre prochain,lorsque le Président que Jakaya Kikwete est due à monter vers lebas à un moment que se trouve le pays en mutationlaconstitution et la relation entre le continent et l’archipel deZanzibar est également sous le microscope, en partie en raison dela perspective d’une manne de gaz et comment divvy le potentielse gâte.

 

Le pays, qui a progressé en moyenne de 7 % ces dix dernièresannées, a déjà confié sur les exportations d’or pour une croissancesoutenue, mais les gaz offre une poussée plus importante.

 

Malgré cela, les compagnies gazières internationales sont encorepour atteindre le point de décision sur l’opportunité de construiredes installations de gaz de plusieurs milliards de dollars après laconclusion de plus de 53tn pieds cubes de gaz. Bien que plus tôtqu’ils pourraient commencer à exporter le gaz est 2020, l’impactsur l’économie est déjà ressenti dans une vaste importations afinde faciliter le forage d’exploration, ainsi que d’établir des bureauxet des logements, des opérations et des services de soutien.

 

Après la révision, la croissance annuelle reste pratiquementinchangé, à 7,3 % pour l’année dernière. Les révisions suivent àune décision par le Bureau National des statistiques à jour sonannée de référence pour la détermination de calcul du PIB pour2007, par rapport à une référence antérieure de 2001.




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