Oil producer Ghana could struggle to pursue its plans to build schools, roads and hospitals if global oil prices fall further.
Global oil price fall could hurt Ghana infrastructure plans.
This is according to President John Mahama in comments emailed to Reuters on Tuesday.
Petroleum exports from Ghana’s offshore Jubilee field are a big source of government revenue. As in other economies heavily dependent on oil income, the near halving of benchmark crude prices since June has undermined even conservative budget assumptions.
Ghana, which exports roughly 105,000 barrels of oil per day, had already begun talks with the International Monetary Fund in August on how to steady its economy after rapid development and surging government spending drove up inflation.
Mahama, whose post comes up for election in 2016, told his advisory council the oil price fall could further imperil government development plans.
“If it continues low, it will affect us on the revenue side in respect of how much money comes into the annual budget funding amount which we use for capital expenditure under the budget,” Mahama said on Monday.
Ghana has a stabilisation fund to back up budget financing if oil revenue falls short of forecasts, but the government needs parliamentary approval to draw on the fund.
The government projected in its 2015 budget it would earn 4.2 billion cedis (1.3 billion US dollars) in oil revenues, or 3.1 per cent of gross domestic product.
Ghana also imports oil but the National Petroleum Authority is reluctant to lower pump prices, saying it would use any savings to offset debt owed to bulk suppliers.
FRENCH VERSION
Baisse des prix mondiaux du pétrole pourrait blesser des plansd’infrastructure de Ghana.
Les exportations de pétrole du champ de Jubilee au large du Ghana sont une grande source de recettes publiques. Comme dans d’autres économies fortement tributaires des revenus dupétrole, la moitié proche de benchmark des prix du brut depuisjuin a sapé les hypothèses budgétaires même conservateur.
Ghana, qui exporte environ 105 000 barils de pétrole par jour,avait déjà commencé des pourparlers avec le Fonds monétaireInternational en août sur la façon de stabiliser son économieaprès un développement rapide et houleuse a conduit l’inflationsur les dépenses du gouvernement.
Mahama, dont le poste est en place pour l’élection en 2016, a déclaré son Conseil consultatif la chute de prix du pétrole plus loinpourrait mettre en péril les plans de développement degouvernement.
Manel “Si elle se poursuit à la basse, il nous affectera sur le voletrecettes, en ce qui concerne la quantité d’argent est livré dans lebudget annuel, montant que nous utilisons pour les dépenses enimmobilisations au titre du budget de financement,” a déclarélundi.
Le Ghana possède un fonds de stabilisation pour sauvegarder definancement budgétaire, si les revenus pétroliers en deçà desprévisions, mais le gouvernement a besoin de l’approbationparlementaire pour dessiner sur le fonds.
Le gouvernement prévu dans son budget de 2015, il obtiendrait4,2 milliards de cedis (1,3 milliards de dollars) en recettespétrolières, ou 3,1 % du produit intérieur brut.
Ghana importe également de l’huile, mais l’autorité nationale depétrole est réticente à baisser les prix à la pompe, disant qu’ilutiliserait toute économie pour compenser la dette due à nue,fournisseurs.
