Girl Says Father Gave Her To Boko Haram // Fille dit père donna à Boko Haram

“When I was told I would have to die to enter paradise, that I would have to explode a bomb and die, I said I cannot do it,” she said.

When they threatened to kill her, she allowed them to strap her into a vest primed with explosives, saying: “I was afraid to be buried alive.”

Two other girls detonated their bombs at Kano’s textile market on December 10. Police said the attack killed four people and wounded seven, including the girl.

The West African nation’s home-grown Boko Haram group attracted

international condemnation when its fighters kidnapped 276 schoolgirls from a boarding school in northeast Chibok town in April. Dozens escaped but 219 remain missing.

Thousands of people have been killed and 1.6 million driven from their homes in the 5-year-old uprising to create an Islamic state in Nigeria, Africa’s most populous nation of 160 million people divided between mainly Muslims in the north and Christians in the south.

Police Superintendent Adenrele Shinaba said the girl was arrested in the hospital with a leg wound. A taxi driver took her to the hospital, and she said she left her suicide vest on the seat. The driver alerted police.

Shinaba said she will remain in custody while investigations continue. He said they had been unable to find her father, who the girl said belongs to Boko Haram.

FRENCH VERSION

A 13-year-old, dit son père donna aux extrémistes de BokoHaram et qu’elle a été arrêtée après avoir refusé de faire exploserune bombe de suicide dans la deuxième plus grande ville au nordde Kano, Nigéria.

Nigeria a subi de nombreux attentats-suicide ces derniers mois,réalisée par les jeunes filles et jeunes femmes. Qui a fait craindreque les insurgés utilisent les filles enlevées.

La jeune fille lors d’une conférence de presse mercredi soir qu’ellea vu beaucoup de gens sont enterrés vivants dans le camp deBoko Haram, où son père l’a emmenée dans l’état de Bauchi, à l’est de Kano.

Elle dit que ses ravisseurs a demandé si elle voulait aller au paradiset, quand elle a dit oui, a expliqué qu’elle devra être un attentat–suicide.

« Quand on m’a dit que je dois mourir pour entrer dans leparadis, que j’aurais à faire exploser une bombe et mourir, je l’aidit que je ne peux pas le faire », dit-elle.

Quand ils ont menacé de la tuer, elle leur a permis de lui attacherdans un gilet avec explosifs, disant: « J’avais peur d’être enterrévivant ».

Deux autres filles ont fait exploser leurs bombes au marché textilede Kano le 10 décembre. L’attaque a tué quatre personnes etblessé sept, dont la fille a indiqué la police.

Groupe de Boko Haram cultivés de la nation ouest–africaine a attiré

Des milliers de personnes ont été tuées et 1,6 millions chasséesde leurs foyers dans le soulèvement de 5 ans pour créer un Étatislamique au Nigeria, nation la plus populeuse de l’Afrique de 160millions de personnes réparties entre principalement lesmusulmans dans le Nord et chrétiens du Sud.

Commissaire de police Adenrele Shinaba, a déclaré que la jeune fille a été arrêtée à l’hôpital avec une plaie de la jambe. Unchauffeur de taxi l’a emmenée à l’hôpital, et elle a dit qu’elle aquitté son gilet de suicide sur le siège. Le pilote a alerté la police.

Shinaba a dit qu’elle restera en détention alors que les enquêtescontinuent. Il a dit qu’ils n’avaient pu retrouver son père, qui lajeune fille dit appartient à Boko Haram.