Indonesia’s top rescue official says authorities believe the missing AirAsia jet is likely at “bottom of the sea.”
By Michael Pearson, CNN
A Malaysia-based airliner vanishes over the waters of a Southeast Asia ocean. There’s no distress call, no wreckage, nothing but water and questions.
So far, the story of AirAsia Flight QZ8501 sounds remarkably similar to that of Malaysia Airlines MH370, which remains missing nearly 10 months after it disappeared from radar screens on a flight between Kuala Lumpur, Malaysia, and Beijing.
But it isn’t, analysts say.
Here are four ways the two incidents appear to differ:
1. There’s not anywhere near as much intrigue.
“In this case you had normal communications with the pilot, a line of weather that appeared to be pretty difficult, severe, and he was asking to climb as high as he could to get out of it,” said Peter Goelz, an aviation expert and former National Transportation Safety Board official.
What is a black box anyway?
When MH370 disappeared, the plane’s identifying transponders appeared to be intentionally shut off, its pilots stopped making radio transmissions and the airliner made a mysterious turn before possibly traveling for hours until all traces vanished.
AirAsia CEO: We are ‘very devastated’
Former pilot: Thunderstorms pose risks
Families of Flight 8501 wait for news
AirAsia flight goes missing
Concerns over hijackings and terror permeated that case, but so far they haven’t come up in the AirAsia case.
2. The water is much shallower and a commonly used shipping channel, making wreckage easier to find.
The area where MH370 is believed to have gone down features extraordinarily deep water. It’s also relatively mysterious — the seabed had never been charted in some places, making getting a fix on the plane’s pingers very difficult.
In the AirAsia case, if the plane went down in the water, it likely rests in no more than a few hundred feet of heavily traveled ocean, making the task of locating and recovering it much simpler, analysts say.
3. Airlines and governments have learned a lot since MH370.
In the hours after the Malaysia Airlines jetliner vanished in March, confusion reigned. When officials spoke at all, the information was often contradictory or confusing, and families of passengers and crew complained about how they were treated.
In this case, both government and airline officials appear to be striking a more appropriate tone.
Families of AirAsia flight passengers given support through the ‘nightmare’
AirAsia CEO Tony Fernandes tweeted that his “only thought” was the passengers and crew and pledged to do “whatever we can.”
Malaysian Transport Minister Hishammuddin Hussein also tweeted his support: “I will be there with you,” he said.
And the search appears to be getting off to a more efficient start. Indonesian officials quickly posted a search plan, indicating ships from its navy, as well as assets from Malaysia, Singapore and Australia, were being called to help.
CNN’s Will Ripley said the way Fernandes is handling the crisis is notable.
“What he’s doing is something that Malaysia Airlines did not do in the initial hours, the initial days and weeks, which is being very transparent, acknowledging this is a terrible situation,” Ripley said.
Goelz agreed.
“In this case, it appears as though the airline and the authorities are in sync, and they really are putting the families first, which is the way to do it.”
4. We almost certainly won’t be searching for this plane in 10 months.
With a more precise fix on where the plane was when it lost contact, a smaller search area and shallower seas, the airliner almost certainly will be much easier to find, said Steven Wallace, former director of the Federal Aviation Administration’s Office of Accident Investigations.
It’s “very unlikely that we’re going to see anything remotely close to what we saw with Malaysia 370,” he said.
“It will not surprise me if this airplane is found in the next 12 hours of daylight, because they know to a fairly high degree of certainty where it was, the water is 150 feet deep as opposed to 10- or 20,000 feet deep in the Indian Ocean.”
FRENCH VERSION
Une avion de ligne axée sur la Malaisie s’évanouit sur les eauxd’un océan d’Asie du sud-est. Il n’y a aucun appel de détresse,aucune épave, rien mais l’eau et questions.
Jusqu’ici, l’histoire d’AirAsia vol QZ8501 sonne remarquablementsimilaire à celle de MH370 de Malaysia Airlines, qui est toujoursporté disparu près de 10 mois après qu’il a disparu des écrans deradar sur un vol entre Kuala Lumpur (Malaisie) et Beijing.
Mais ce n’est pas, estiment les analystes.
Voici quatre façons que les deux incidents semblent différer :
M17
Quand MH370 a disparu, transpondeurs identification de l’avionsemblaient être intentionnellement éteint, ses pilotes, cessés defaire des transmissions radio et l’avion fait un virage mystérieuxavant de peut-être voyager pendant des heures jusqu’à ce quetoute trace disparu.
CEO d’AirAsia : nous sommes « très dévastées »
Ancien pilote : orages présentent des risques
Familles de vol 8501 attendent de nouvelles
Vol AirAsia est porté disparu
Les préoccupations concernant les détournements d’avions et deterreur imprégné de cette affaire, mais jusqu’à présent ils n’ont pas arriver dans le cas de AirAsia.
2. l’eau est beaucoup moins profond et un chenal de navigationcouramment utilisés, facilitant l’épave à trouver.
La zone où le MH370 est censé ont baissé d’eauextraordinairement profonde caractéristiques. Il est égalementrelativement mystérieux—les fonds marins n’avaient jamais ététracée dans certains endroits, faisant monter un correctif surémetteurs d’ultrasons de l’avion très difficile.
Dans le cas d’AirAsia, si l’avion est descendu dans l’eau, il reposeprobablement dans pas plus de quelques centaines de pieds del’océan fortement fréquentée, ce qui rend la tâche de localisationet de récupération il est beaucoup plus simple, estiment lesanalystes.
3. les compagnies et les gouvernements ont beaucoup apprisdepuis MH370.
Dans les heures après que le jetliner de Malaysia Airlines disparuen mars, la confusion régnait. Lorsque les fonctionnaires ont parlédu tout, l’information était souvent contradictoires ou confus, etfamilles des passagers et l’équipage se sont plaints de commentils ont été traités.
Dans ce cas, les fonctionnaires gouvernementaux et compagnies aériennes semblent être frappant un ton plus approprié.Famillesdes passagers de vol AirAsia apportés un soutien à travers le « cauchemar »
AirAsia PDG Tony Fernandes tweeté que sa « pensée unique » a été les passagers et l’équipage et se sont engagés à faire « tout ce que nous pouvons. »
Le ministre malaisien des transports Hishammuddin Hussein aaussi tweeté son soutien: « Je serai là avec vous, » dit-il.
Et la recherche semble être descendant à un démarrage plusefficace. Des responsables indonésiens postés rapidement un plande recherche, indiquant les navires de sa marine, ainsi que lesactifs de la Malaisie, Singapour et l’Australie, ont été appelés àaider.
CNN Will Ripley dit la façon que Fernandes est gestion de la criseest remarquable.
« Ce qu’elle fait est quelque chose que Malaysia Airlines n’a pasfait dans les premières heures, les premiers jours et semaines, quiest d’être très transparent, reconnaissant ceci est une situationterrible », a déclaré Ripley.
Goelz a accepté.
« Dans ce cas, il semble que la compagnie aérienne et les autoritéssont synchronisées, et ils ont vraiment mettent les familles tout d’abord, qui est la façon de le faire. »
4. nous certainement ne sera pas la recherche pour cet avion dans10 mois.
Grâce à une correction plus précise sur où l’avion était quand il aperdu contact, une plus petite zone de recherche et les mers peu profondes, l’avion de ligne sera presque certainement beaucoupplus facile à trouver, a déclaré Steven Wallace, ancien directeur debureau d’enquêtes sur de la Federal Aviation Administration lesaccidents.
Il est “très peu probable que nous allons voir de quoi que ce soit à distance à proximité de ce que nous avons vu avec la Malaisie370″, dit-il.
« Il ne m’étonnera pas si cet avion se trouve dans les 12 heuresde lumière du jour, parce qu’ils savent à un degré assez élevé decertitude où il était, l’eau est de 150 pieds de profondeur au lieude 10 ou 20 000 pieds profondément dans l’océan Indien. »
