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Chris Yelland, electricity pundit and managing director of EE Publishers, said he believed there need to be more – not fewer – planned blackouts in the coming months. This is because Eskom admitted that over the low-demand holiday season, it had 8000MW of unplanned outages and only 5000MW of planned outages.
Yelland said this figure, which meant that a third of the country’s 40000MW grid was out of action, was unacceptable.
“It needs to be reversed,” Yelland said. “Planned outages need to be increased if we are going to get the unplanned numbers down.”
Yelland said there was no doubt that a new round of blackouts were on the way.
But Eskom spokesman Andrew Etzinger was reluctant to provide a definite answer on this point, saying this week that the possibility of power cuts depended on whether the open cycle gas turbines could keep adding 2000MW of power a day to the stuttering grid.
Etzinger said supply probably wouldn’t be too tight this month as demand was unlikely to reach its peak.
But much of February and March have been designated code red as industry’s power requirements rise.
The two massive turbine plants in the Western Cape cost around R2-billion a month to run – an unsustainable amount for the power utility to keep shelling out – but the power cuts depend largely on how long these turbines can run.
Last month the Minister of Public Enterprises, Lynne Brown, said extra money for diesel could be raised through bonds with state guarantees. But it is unclear how much appetite global bond markets will have for this debt.
Another complication is that the turbines are only designed to run for about three hours a day, but they have been whipped into 12-hour stints in recent months, ploughing through 140 million litres of diesel in November alone.
If these turbines collapse under heavy use, the country risks being plunged into darkness.
Last month Eskom said it would repaircrumbling coal-fired power stations around the country, but it is unclear how much work has been done over the festive season.
Etzinger said a “wide variety of maintenance had been carried out”, but provided no update on the status of Medupi’s now infamous Unit 6 .
Construction of the unit has been delayed numerous times – a problem because the new plants at Medupi and Kusile were meant to add 9600MW to the grid and were touted as the solution to the power shortage.
But last month the Sunday Times reported that almost 13000 workers left the Medupi construction site outside Lephalale in Limpopo to go on their annual holiday – despite the fact that the power station was so far behind schedule.
Eskom’s manager on the site, Roman Crookes, said: “You can’t force a person to work.
“It is very difficult to keep people here.”
But the exodus will have a material impact on the speed at which the rest of the plant can be completed. Medupi is already over two years late and more than R40-billion over budget.
Crookes said a core team of about 150 people were to stay on to try to meet the new January 15 deadline for the commissioning of Unit 6, the first unit expected to come into operation.
However, three senior engineering contractors at the site said that Unit 6 would not be ready before Easter.
The men, who agreed to talk to the Sunday Times if they were not identified, said Unit 6 was a “disaster”
Desperate measure have been taken to avoid the scenario that led to the 11 days of rolling blackouts in November and December.
Energy Minister Tina Joemat-Pettersson said last month a war room would be established, which will be tested when South Africans start going back to work from tomorrow.
Replying to questions about customers, Etzinger said that call centres had stayed open and technicians had been dispatched to problem areas around the country on all of the holidays this season.
FRENCH VERSION
Eskom travailleurs dévorez les déjeuners de puissance « gratuit »milliards E1.4 Eskom travailleurs dévorez E1.4 milliards déjeunersde puissance « libre »
Chris Yelland, pundit électricité et directeur général de EE éditeurs,estime qu’il faut que plus – pas moins – coupures de courantprévues dans les prochains mois. C’est parce qu’Eskom a admisque, au cours de la période des fêtes de faible demande, il avait8000MW des pannes non planifiées et seule 5000MW desinterruptions planifiées.
Yelland dit ce chiffre, ce qui signifie qu’un tiers de la grille de40000MW du pays était hors de combat, est inacceptable.
« Il doit être inversée », a déclaré Yelland. « Prévu de pannes ilfallait être augmentée si nous allons obtenir les numéros non planifiées vers le bas ».
Yelland dit il n’y n’avait aucun doute qu’une nouvelle série decoupures de courant étaient sur le chemin.
Mais le porte-parole d’Eskom Andrew Etzinger était peu disposé àfournir une réponse définitive sur ce point, affirmant cettesemaine que la possibilité de coupures d’électricité dépend desavoir si les turbines à gaz cycle ouvert pourrait continuer àajouter 2000 MW de puissance par jour à la grille de bégaiement.
Etzinger dit l’approvisionnement ne serait probablement tropserré ce mois-ci que la demande avait peu de chances d’atteindreson apogée.
Mais une grande partie de février et mars ont été désignés coderouge hausse des exigences de l’industrie électrique.
Les deux turbines massives dans le Western Cape coûtent environR2 milliards de dollars par mois à courir – un montantinsoutenable pour le service public d’électricité pour garderécosser dehors – mais la puissance coupes dépendentprincipalement de combien de temps ces turbines peuventexécuter.
Le mois dernier le ministre des entreprises publiques, LynneBrown, a déclaré l’argent supplémentaire pour le diesel pourraitêtre soulevée par le biais de liaisons avec des garanties de l’État.Mais on ne sait pas combien appétit les marchés obligatairesmondiaux auront pour cette dette.
Une autre complication est que les turbines sont seulementconçus pour fonctionner pendant environ trois heures que parjour, mais ils ont été fouettée en périodes de 12 heures au cours des derniers mois, labourage par 140 millions de litres de dieselen novembre seulement.
Si ces turbines crouler sous une utilisation intensive, le pays risqueétant plongé dans l’obscurité.
Le mois dernier, Eskom a dit il serait repaircrumbling au charbondes centrales électriques dans tout le pays, mais on ne sait pascombien de travail a été fait au cours de la période des fêtes.
Etzinger a dit une « grande variété de maintenance avait étéeffectuée », mais ne fourni aucune mise à jour sur l’état de Medupi désormais tristement célèbre unité 6.
Construction de l’unité a été retardée à maintes reprises – unproblème parce que les nouvelles centrales à Medupi et Kusilevisaient à ajouter 9600MW à la grille et ont été présentés commela solution à la pénurie d’énergie.
Mais le mois dernier le Sunday Times a rapporté que presque13000 ouvriers a quitté le chantier de construction de Medupiextérieur Lephalale dans Limpopo d’aller sur leurs vacancesannuelles – malgré le fait que la centrale a été jusqu’à présent prisdu retard.
Gestionnaire de Eskom sur le site, Roman Crookes, dit: « vous ne peut pas forcer une personne à travailler.
« Il est très difficile de garder les gens ici. »
Mais l’exode aura une incidence sur la vitesse à laquelle le reste dela plante peut être complété. Medupi est déjà plus de deux ans deretard et plus de R40-milliards sur le budget.
Crookes a dit une équipe d’environ 150 personnes devaient resterpour essayer de répondre à la nouvelle date limite le 15 janvierpour la mise en service de l’unité 6, la première unité devraitentrer en opération.
Toutefois, trois entrepreneurs de génie seniors sur le site dit quel’unité 6 ne serait pas prête avant Pâques.
Les hommes, qui ont accepté de parler pour le Sunday Times, s’ilsn’étaient pas identifiés, a déclaré Qu’unité 6 était une « catastrophe »
Mesure désespérée ont été prises pour éviter le scénario qui a conduit à des 11 jours de roulage des pannes d’électricité ennovembre et décembre.
Ministre de l’énergie Tina Joemat-Pettersson, a déclaré le moisdernier qu’une salle guerre serait établie, qui sera testé quandsud-africains commencent à retourner au travail dès demain.
Répondant aux questions sur le client, Etzinger dit que les centresd’appels étaient restés ouverts et techniciens avaient été envoyésà des secteurs dans tout le pays sur l’ensemble de la période desfêtes cette saison.
