A MONUSCO attack helicopter provides aerial protection for a convoy carrying FDLR ex-combatants from Kanyabayonga transit camp, Democratic Republic of the Congo (DRC). Photo: MONUSCO/Force
He said the Mission would work with regional and international stakeholders including the Southern African Development Community (SADC) and the International Conference on the Great Lakes Region (ICGLR), which established the deadline for the FDLR’s surrender, as well as with national partners.
“The Congolese Army will play an essential role in operations against the FDLR. The UN Mission and the Congolese Army have developed a joint military plan for operations against the FDLR,” said UN spokesperson Stéphane Dujarric at a press briefing in New York.
“Shaping operations have already commenced. MONUSCO has pre-positioned its troops and enablers to support offensive operations against the FDLR in keeping with its mandate,” he added.
Earlier today, MONUSCO chief Martin Kobler updated the Security Council via video-conference on the FDLR and on the general security situation in the country, reporting the arrest of the Force de Résistance Patriotique de l’Ituri (FRPI) leader, Cobra Matata in Délé, on 2 January.
He also pointed to support given by MONUSCO to the Congolese Army during an attack against Ugandan Allied Democratic Forces rebels in North Kivu on 3 January, which killed five rebels and captured two others.
The six-month grace period for the full and unconditional surrender of the FDLR expired Friday. At that time, the UN and its partners urged that “all necessary measures” be taken to disarm the rebels, who have had a “long history of heinous crimes” in the DRC.
In a news release issued Friday, a team of international envoys that included Mr. Kobler and the UN Special Envoy for the Great Lakes Said Djinnit noted with concern that the FDLR has not met this deadline.
“Instead, the FDLR has used this six-month grace period to continue to commit human rights abuses against innocent people in eastern DRC, recruit combatants, and champion its illegitimate political agenda,” said the news release.
“Ending the threat of the FDLR is not just a DRC responsibility; it is a regional and international responsibility. We all have a deep commitment to ensuring accountability for those responsible for war crimes, crimes against humanity, and genocide,” the release continued.
FRENCH VERSION
Il a dit que la Mission travaillerait avec les intervenants régionauxet internationaux, y compris la communauté de développementde l’Afrique australe (SADC) et la Conférence internationale sur larégion des grands lacs (CEPGL), qui fixait la date limite de remisedes FDLR, ainsi qu’avec des partenaires nationaux.
“L’armée congolaise jouera un rôle essentiel dans les opérationscontre les FDLR. La Mission de l’ONU et l’armée congolaise ontmis au point un plan militaire conjoint pour les opérations contreles FDLR,”a déclaré le porte-parole de l’ONU Stéphane Dujarriclors d’une conférence de presse à New York.
“Les opérations de mise en forme ont déjà commencé.MONUSCO a prépositionné ses troupes et les facilitateurs pourprendre en charge des opérations offensives contre les FDLRconformément à son mandat,”a-t-il ajouté.
Plus tôt aujourd’hui, MONUSCO chef Martin Kobler mis à jour leConseil de sécurité par vidéo-conférence sur les FDLR et sur lasituation de sécurité générale dans le pays, avoir signalél’arrestation du leader Force de Résistance Patriotique de l’Ituri(FRPI) de, Cobra Matata dans Délé, le 2 janvier.
Il précise également à l’appui donné par la MONUSCO à l’arméecongolaise lors d’une attaque contre les rebelles ougandais AlliedDemocratic Forces au Nord-Kivu, le 3 janvier, qui a tué cinqrebelles et deux autres capturés.
Le délai de grâce de six mois pour la reddition complète etinconditionnelle des FDLR a expiré vendredi. A cette époque,l’ONU et ses partenaires a demandé instamment que « toutes lesmesures nécessaires » être prises pour désarmer les rebelles, quiont eu une « longue histoire de crimes odieux » en RDC.
Dans un communiqué publié vendredi, une équipe d’émissairesinternationaux qui comprenait M. Kobler et l’envoyé spécial del’ONU pour les grands lacs Saïd Djinnit a noté avec préoccupationque les FDLR n’a pas respecté ce délai.
“Mettre fin à la menace des FDLR n’est pas seulement uneresponsabilité de la RDC ; C’est une responsabilité régionale etinternationale. Nous avons tous un profond engagement à rendredes comptes aux personnes responsables de crimes de guerre,crimes contre l’humanité et génocide,”a poursuivi le communiqué.
