United Nations peacekeepers and the Congolese military are preparing to launch operations against the Rwandan Hutu rebel group, the FDLR, based in the eastern Democratic Republic of Congo.
On Wednesday, U.N. Secretary-General Ban Ki-moon spoke by telephone with DRC President Joseph Kabila. Ban’s spokesman said the secretary-general reiterated that the FDLR has failed to deliver on its promise to disarm by a January 2 deadline and called for “decisive action” against the group. Ban welcomed Kabila’s assurance that his government is ready to take action with U.N. assistance.
A senior U.N. official said Wednesday that the U.N. mission – known by its acronym MONUSCO – and the Congolese government will sign a document “very soon” authorizing the operation.
“With the end of the deadline on Friday,” the official said, “the emphasis now clearly, and the expectation of the [U.N.] Security Council is clearly, that military action has to start.”
The official, who requested anonymity, told a small group of reporters that the operation would likely “take months.” The rebels number only about 1,500 but live with their families in the bush among other civilians making it difficult to target them.
The FDLR includes among its ranks Rwandan Hutu militants who took part in that country’s 1994 genocide against the Tutsis, as well as a large number of Congolese fighters. The group holds a significant amount of territory in the mineral-rich eastern Kivus and is responsible for attacks and abuses on civilians.
On Monday, U.N.-backed Congolese troops took control of several bases that belonged to the Burundian rebel group FNL in South Kivu province. The U.N. official said that operation “was clearly always intended to be a pre-cursor operation” to a wider anti-FDLR offensive.
The official said that the U.N. has started an intensive communications campaign to urge rebels to surrender and is working with humanitarian partners to assist civilians who may become displaced by the military operation.
The U.N. has a 20,000-strong force in Congo, which includes an “Intervention Brigade” tasked with neutralizing armed groups. In 2013, the Congolese army backed by Intervention Brigade units succeeded in defeating another armed group, the M23.
FRENCH VERSION
Mercredi, parle de Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’ONU partéléphone avec le Président de RDC Joseph Kabila. Porte-parolede Ban, a déclaré que le Secrétaire général a réitéré que les FDLR aéchoué à tenir sa promesse de désarmer avant une date limite le2 janvier et appelé à « une action décisive » contre le groupe.Assurance de Kabila s’est félicité que son gouvernement est prêt àprendre des mesures avec l’aide de l’ONU de l’interdiction.
Un haut fonctionnaire de l’ONU, a déclaré mercredi que la missionde l’ONU – également connu sous son acronyme MONUSCO – etle gouvernement congolais signera un document « très bientôt »autorisant l’opération.
“Avec la fin de l’échéance vendredi,” a dit l’officiel, “l’accentmaintenant clairement et l’attente de le [ONU] Conseil de sécuritéest clairement, que l’action militaire doit commencer.”
Le responsable, qui a demandé l’anonymat, a déclaré à un petitgroupe de journalistes que l’opération risquait de « prendre desmois ». Les rebelles numéro qu’environ 1 500, mais vivent avecleurs familles dans la brousse entre autres civils rend difficile de lescibler.
Les FDLR compte parmi ses rangs des militants Hutus rwandaisayant participé au génocide de 1994 de ce pays contre les Tutsis,ainsi qu’un grand nombre de combattants congolais. Le groupedétient une quantité significative de territoire dans les Kivus estriche en minéraux et est responsable des attentats et desexactions contre les civils.
Lundi, soutenu par l’ONU des troupes congolaises a pris lecontrôle de plusieurs bases qui appartenaient au groupe rebelleburundais FNL dans la province du Sud-Kivu. Le fonctionnaire del’ONU dit qu’opération “clairement toujours devait être uneopération pré-curseur” une offensive anti-FDLR plus large.
Le fonctionnaire a déclaré que l’ONU a commencé une campagnede communication intensive afin d’inciter les rebelles à se rendreet travaille en collaboration avec des partenaires humanitairespour aider les civils qui peuvent devenir déplacées par l’opérationmilitaire.
L’ONU a une force de 20 000 hommes au Congo, qui comprendune « Brigade d’Intervention » chargé de neutraliser les groupesarmés. En 2013, l’armée congolaise, appuyée par des unités de laBrigade d’Intervention a réussi à vaincre un autre groupe armé, leM23.
