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November 7, 2024
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STOCK MARKET

Stockbrokers Sue State Over Capital Gains Tax // Courtiers En Valeurs Mobilières Sue L’État Sur L’impôt Sur Les Plus-values




 

Attorney General Githu Muigai

Attorney General Githu Muigai

BY KAMAU MUTHONI

Stockbrokers have moved to court to challenge the implementation of the new capital tax law. The brokers, in a suit filed under a certificate of urgency through Kenya Association of Stock Brokers, claim that the re-introduction of the new capital gains tax (CGT) demanded from investors is unrealistic and will lead to paying taxes twice.

The association through lawyer Kiragu Kimani says having CGT after a three-decade freeze has brought uncertainty on how to deal with taxes accrued after sale of shares and thus creating a difficult scenario for both the stock brokers and investors. “The Finance Act introduced a new rate of taxing capital gains without repealing the previous rate.

The Kenyan taxpayers now run the risk of being subjected to two different rates of taxation for the same tax. I verily believe that the growth of the Nairobi Security Exchange has been attributed to the suspension of Capital Gains Taxes,” Kimani said

He argued that relying on the eighth schedule, drafted in the 1970s, has resulted in laws that cannot be enforced in securities exchange today. Kimani said trade volumes at the Nairobi Securities Exchange (NSE) have dropped by more than 70 per cent since the re-introduction of CGT this year, adding no other factors would have been attributed to the decline in trade in the market other than the new law.

The law now introduced in the Finance Act 2014 had been suspended in 1985 to encourage sales of securities and investment in the real estate sector. The brokers argue that there is conflict in law that in one section requires stockbrokers to deduct capital gains tax at the rate of 7.5 per cent, and says the dealers should retain five per cent of investor’s net gains from share sales in another. Income tax filing See Also: Investors’ dilemma over capital gains tax

The stockbrokers argue that it is unclear whether CGT is a final tax, meaning that it ought to be remitted at the end of each transaction, or it is regular tax which is supposed to be assessed by the tax payer and paid at the end of the year along with personal income tax filing. In the case where Attorney General Githu Muigai and Kenya Revenue Authority are respondents, the stockbrokers argue that they were never consulted as Parliament was enacting the law.

“By introducing CGT and not affording the members any say on its introduction, the National Assembly enacted the Finance Act in a manner that is lacking openness and accountability,” The association’s CEO Wilson Njoroge said in his affidavit. He said the new tax regime has introduced paper work that would draw NSE back in terms of development as it has automated its transactions.

FRENCH VERSION

Procureur général Githu Muigai courtiers en valeurs mobilièresont déménagé en Cour pour contester la mise en œuvre de lanouvelle loi de l’impôt sur le capital. Les courtiers, dans unepoursuite déposée en vertu d’un certificat d’urgence par le biaisde Kenya Association of Stock Brokers, affirment que laréintroduction de l’impôt sur les plus-values nouvelle (CGT) a exigé des investisseurs est irréaliste et conduiront à payer deux fois les taxes.

 

L’association par l’avocat Kiragu Kimani dit avoir CGT après qu’ungel de trois décennies a amené l’incertitude sur la façon de traiterles taxes accumulés après la vente d’actions et créant ainsi unscénario difficile pour les investisseurs et les courtiers en valeursmobilières. “La Loi de finances introduit un nouveau tauxd’imposition des plus-values sans abrogeant l’ancien taux.

 

Les contribuables du Kenya risquent maintenant d’être soumise àdeux différents taux d’imposition de la taxe. Je crois en vérité quela croissance de l’échange de sécurité de Nairobi a été attribuéeà la suspension de l’impôt sur les Gains de Capital,”Kimani a dit

 

Il a fait valoir qu’en se fondant sur l’annexe huitième, rédigé dansles années 1970, a entraîné des lois qui ne peuvent êtreexécutées en bourse aujourd’hui. Kimani dit le volume deséchanges à Nairobi Securities Exchange (SNG) ont diminué deplus de 70 % depuis la réintroduction de la CGT cette année,n’ajout d’aucun autre facteur serait ont été attribuée à la baissedans le commerce dans le marché autre que la nouvelle loi.

 

La loi introduite maintenant dans le 2014 de loi de finances avaitété suspendue en 1985 pour encourager les ventes de valeurs mobilières et investissement dans le secteur de l’immobilier. Lescourtiers font valoir qu’il y a conflit de droit qui, dans une sectionnécessite des courtiers en valeurs mobilières à déduire l’impôt sur les plus-values au taux de 7,5 % et a écrit que lesconcessionnaires devraient conserver cinq pour cent des gainsnets de l’investisseur provenant de la vente de parts dans un autre. Impôt sur le revenu de dépôt voir aussi : dilemmed’investisseurs au cours de l’impôt sur les plus-values

 

Les courtiers en valeurs mobilières font valoir qu’on ne sait pas sila CGT est un impôt, ce qui signifie qu’il devrait être remis à la finde chaque transaction, ou c’est un impôt régulier qui est censéêtre évaluée par le contribuable et payé à la fin de l’année ainsi que de la production de l’impôt sur le revenu des particuliers.Dans le cas le procureur général Githu Muigai et KenyaRevenue Authority sont répondants, les courtiers en valeurs mobilières font valoir qu’ils n’étaient jamais consultés que leParlement était promulguer la Loi.

 

“En introduisant la CGT et n’offrant ne pas les membres de toutdire sur son introduction, l’Assemblée nationale a adopté la Loide finances, d’une manière qui manque de transparence etreddition de comptes,” de CEO Wilson Njoroge, a déclaré dansson affidavit de l’association. Il a dit que le nouveau régime fiscala introduit la paperasse qui attire NSE retour en termes dedéveloppement tel qu’il a automatisé ses transactions.




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