Grief among the more than 16,000 children orphaned by the Ebola outbreak in West Africa runs deep, but most of them have been taken in by families thanks to the bonds of kinship that has proven stronger than stigma and fear associated with the disease, the UN Children’s Fund (UNICEF) said on Friday.
Andrew Brooks, speaking to reporters in Geneva on behalf of UNICEF by phone from Dakar, Senegal, said some families had taken in three to seven children, and only around 500 of the 16,600 children had had to be placed in mass care centres.
Of the latter, Brooks said 80 percent of the children had been reunified with their extended families.
“Resilience of families, communities, relatives to take in the children had been impressive,”said Brooks. “Credit should be given to communities, as they had truly rallied to help out, and to Governments for taking a strong stand on supporting family not institutional care.”
“There were fears that stigma around Ebola would isolate the orphaned children, which would mean there would be thousands of abandoned children, but that has, luckily, not materialized,” he continued, adding: “The stigma and the fear has not completely disappeared, but the bonds of kinship and traditional relations has proven to be stronger, which was why families had taken kids in.”
He said UNICEF was providing cash support, material assistance, psycho-social support, and referring families for food assistance.
“The reopening of schools in Guinea – and planned re-openings in Liberia and Sierra Leone – has been particularly important, as it will help children adjust and return to some normalcy and routine,” according to Brooks.
In other Ebola-related developments, the UN World Health Organization (WHO) reported that 22,525 people had now been affected by the disease, with deaths reaching 9,004.
In addition to reporting the first weekly increase in cases for the three hardest hit countries in 2015, WHO also warned that as the wet season approaches, there is an urgent need to end the outbreak in as wide an area as possible, especially in remote areas that will become more difficult to access.
The International Monetary Fund (IMF), meanwhile, said it will provide grants totalling some $100 million to be used as debt relief to the three countries worst hit by the Ebola epidemic. Guinea, Liberia, and Sierra Leone will use the funds to cover the cost of servicing their debt.
These grants come in addition to $130 million in emergency assistance the IMF disbursed in September under an existing loan program, as well as about $160 million in additional loans to the three countries proposed for IMF Executive Board approval later this month, according to a press release issued by the organization Thursday.
Photo: UNICEF/Mark Naftalin
FRENCH VERSION
Andrew Brooks, s’adressant aux journalistes à Genève, au nom del’UNICEF, par téléphone depuis Dakar, Sénégal, dit certainesfamilles avaient pris chez les enfants de trois à sept, et seulementenviron 500 des 16 600 enfants devaient être placés dans descentres de soins de masse.
De ce dernier, Brooks a dit 80 % des enfants avaient été réunifiésavec leur famille élargie.
« La résilience des familles, les communautés, les membres de lafamille à prendre chez les enfants avait été impressionnant, » a déclaré Brooks. « Crédit conviendrait aux communautés, commeils avaient rallié véritablement pour aider dehors et auxgouvernements d’avoir pris une position ferme sur le soutienfamilial non institutionnel. »
“Il était à craindre que la stigmatisation autour d’Ebola isoleraitles enfants orphelins, qui signifient il y aurait des milliersd’enfants abandonnés, mais qui n’a, heureusement, pasconcrétisé,” a-t-il poursuivi, ajoutant: « la stigmatisation et lapeur n’a pas complètement disparu, mais les liens de parenté etles relations traditionnelles s’est avéré pour être plus fort, c’estpourquoi les familles avaient pris les enfants ».
Il a dit l’UNICEF était fournissant aide en espèces, une aidematérielle, soutien psychosocial et évoquant des familles pourune aide alimentaire.
« La réouverture des écoles en Guinée – et réouvertures planifiéesau Libéria et en Sierra Leone – a été particulièrement importante,car il aidera les enfants régler et revenir à une normalité et deroutine, » selon Brooks.
Par ailleurs liées à Ebola, l’Organisation mondiale de santé des Nations Unies (OMS) a indiqué que 22 525 personnes ontdésormais été touchés par la maladie, avec décès atteignant 9004.
En plus de signaler le premier hebdomadaire augmenter dans lescas pour les trois pays les plus durement touchés en 2015, qui aégalement averti que l’approche de la saison des pluies, il y a unbesoin urgent de mettre fin à l’épidémie dans comme un champlarge que possible, en particulier dans des régions éloignées quideviendront plus difficiles d’accès.
Le Fonds monétaire International (FMI), a dit dans le même temps, qu’il fournira des subventions totalisant environ $ 100millions pour servir d’allégement de la dette pour les trois paysles plus touché par l’épidémie d’Ebola. Guinée, Libéria et SierraLeone utilisera les fonds pour couvrir le coût du service de leurdette.
Ces subventions viennent s’ajouter à $ 130 millions en aided’urgence, le FMI a déboursé en septembre en vertu d’unprogramme de prêts existants, ainsi qu’environ $ 160 millions enprêts supplémentaires aux trois pays proposés pourl’approbation du Conseil d’administration FMI ce mois-ci, selonun communiqué de presse publié par l’organisation jeudi.
Photo : UNICEF/Mark Naftalin