South Sudan’s cabinet on Friday postponed elections and extended President Salva Kiir’s powers for two years, the information minister said, apparently sinking a peace agreement aimed to end 14 months of war.
“We have passed a resolution extending the tenure of the president and the parliament, including all elected positions,” Information Minister Michael Makuei told AFP, after the decision was taken by the government’s council of ministers to postpone elections until July 9, 2017.
That goes against a deal struck between Kiir and rebel chief Riek Machar earlier this month, in which they agreed to set up a transitional unity government in the bitterly divided nation to run for 30 months from July 9.
With the latest ceasefire is in tatters, diplomats say frustration is mounting that neither side is taking the peace efforts seriously to end a war in which tens of thousands have been slaughtered. The United Nations warn that 2.5 million people are on the brink of famine.
However, Makeui said the term extension “would give us a chance to negotiate without pressure.”
Elections in the bitterly divided nation had been due before July 9 — the end of the parliament and president’s mandate under a provisional constitution — but they were opposed by international donors and civil society groups who said it would be impossible to hold the vote in a nation riven by war.
Fighting broke out in December 2013 when Kiir accused Machar of attempting a coup, setting off a cycle of retaliatory killings across the country.
Over half the country’s 12 million people need aid, according to the UN, which is also sheltering some 100,000 civilians trapped inside camps ringed with barbed wire, too terrified to venture out for fear of being killed.
The resolution must still be passed by parliament, but that now comprises almost entirely of lawmakers loyal to Kiir, with those loyal to Machar fighting or in exile.
Kiir and members of parliament were elected in April 2010, one year before the country split from former civil war enemies in north Sudan. Elections have never been held in South Sudan as an independent country.
(AFP)
FRENCH VERSION
« Nous avons passé une résolution prorogeant le mandat duPrésident et du Parlement, y compris les postes tous élus, »ministre de l’Information Michael Makuei déclaré à l’AFP, aprèsque la décision a été prise par le Conseil du gouvernement pourrepousser les élections jusqu’au 9 juillet 2017.
Qui va à l’encontre d’un accord conclu entre Kiir et le rebelle chefRiek Machar plus tôt ce mois-ci, dans laquelle ils ont convenu demettre en place un gouvernement d’Union nationale transitoiredans la nation amèrement divisée à fonctionner pendant 30 mois à compter du 9 juillet.
Avec le dernier cessez-le-feu est en lambeaux, diplomates disentfrustration Monte qu’aucun des deux camps prend au sérieux lesefforts de paix pour mettre fin à une guerre dans laquelle des dizaines de milliers ont été abattus. L’ONU avertissent que 2,5millions de personnes sont sur le bord de la famine.
Cependant, Makeui dit la prolongation de la durée « nousdonnerait une chance de négocier sans pression. »
Élections dans le pays amèrement divisé avaient été dues avant le9 juillet—la fin du Parlement et le mandat du Président en vertud’une constitution provisoire—mais ils se sont opposés par lesdonateurs internationaux et les groupes de la société civile qui a dit qu’il serait impossibles d’organiser le vote dans un paysdéchiré par la guerre.
Combats ont éclaté en décembre 2013 quand Kiir accusé Machard’une tentative de coup d’État, déclenchant un cycle dereprésailles homicides dans tout le pays.
Plus de la moitié 12 millions d’habitants du pays ont besoind’aide, selon l’ONU, qui est également mise à l’abri quelque 100000 civils pris au piège à l’intérieur de camps entourés de fil defer barbelé, trop terrifiée s’aventurer par crainte d’être tué.
La résolution doit encore être votée par le Parlement, mais que lemoment est composé presque entièrement de législateurs fidèlesà Kiir, avec ceux fidèles à Machar combats ou en exil.
Kiir et membres du Parlement ont été élus en avril 2010, un anavant que le pays s’est séparée de l’ancienne guerre civileennemis dans le nord du Soudan. Élections n’ont jamais eu lieuau Sud-Soudan comme un pays indépendant.
(AFP)