The 16-year-old Kenyan girl found out she was HIV-positive and pregnant at a clinic in the Korogocho slums two years ago. She still isn’t sure how she contracted the virus — her mother died from AIDS-related complications when she was six years old, and she slept with various men after dropping out of school years ago to provide for herself and her two younger sisters.
“I have no expectations in life. All I want to do is look after my daughter (who is HIV-negative) but death is imminent … and is what I am waiting for,” said the girl, who spoke on condition of anonymity because of her age and to avoid stigma in her community.
A 16-year-old HIV-positive Kenyan girl whose mother died from AIDS-related complications, said she was with many boyfriends because life forced her into the situation. (Ben Curtis/Associated Press)
Global health organizations said Tuesday that AIDS is now the leading cause of death for adolescents in Africa, and the second leading cause of death among adolescents globally. Road accidents and injury are the number one killer of adolescents globally, said Michael Hollingdale, a UNAIDS spokesman.
About 120,000 people aged between 10-19 years died of AIDS-related illnesses in 2013, the eight international organizations said while launching a global campaign in Kenya to stem the spread among adolescents.
Adolescent girls, particularly in sub-Saharan Africa, are most affected, said the organizations which included UNAIDs, U.N. children’s fund, World Health Organization and the U.S. President’s Emergency Plan for AIDS Relief or PEPFAR, among others.
In South Africa in 2013, more than 860 girls became infected with HIV every week, compared to 170 boys, they said.
Girls are more vulnerable because of physiological factors that see them more susceptible to infection, said Dr. Lilian Otiso, director of services at LVCT Health, an NGO that deals with AIDS prevention and treatment across Kenya.
Social-economic factors that see girls having sex at younger ages than their male peers also play a major role, she said. They might date older men who can provide for them, she said. Others, such as the 16-year-old, are forced to fend for themselves at young ages and become victims of sexual exploitation, abuse and rape, Dr. Otiso said.
“I cannot know how I contracted the virus. I had many boyfriends. I was with those boyfriends because life forced me to that situation because I was looking to survive so I was forced to do so,” said the Kenyan girl.
The global campaign, called “All In” will seek to address the imbalance by encouraging strategic changes in policy and involving more young people in the effort, the organizations said.
Most of the 2.1 million adolescents living with HIV in 2013 became infected at least 10 years ago, the organizations said. Their mothers were pregnant and delivered at a time when anti-retroviral medicines that can greatly reduce the possibility of HIV transmission were not available, the organizations said.
Adolescents often don’t come forward for testing and drop out of treatment regimes because their emotional needs aren’t targeted, said Dr. Otiso.
UNAIDS said it aims to reduce HIV infections in adolescents by 75 per cent, and AIDS-related deaths by 65 per cent by 2020 by providing more counselling as well as education outreach to a targeted adolescent age-range in globally.
The girl from Korogocho said she now attends counselling classes at the LVCT center in Korogocho, which have changed her perception of HIV and AIDS.
“I used to do anything for money. Now my mindset has greatly changed. I wash clothes for people for a living,” she said.
FRENCH VERSION
“Je n’ai aucuns attentes dans la vie. Tout ce que je veux faire c’estprendre soin de ma fille (qui est séronégatif) mais la mort estimminente… et est ce que j’attends, a déclaré la jeune fille, qui a parlé sous couvert de l’anonymat en raison de son âge et d’éviterla stigmatisation dans sa communauté.
Une fille de Kenyan séropositif âgé de 16 ans dont la mère est décédé de complications liées au sida, dit elle avec beaucoup decopains parce que la vie l’a obligée à la situation. (BenCurtis/Associated Press)
Les organisations de santé mondiale, a déclaré mardi que le sidaest maintenant la principale cause de décès chez les adolescentsen Afrique, et la deuxième cause de décès chez les adolescentsdans le monde. Blessures et accidents de la route sont le tueurnuméro un des adolescents dans le monde, a déclaré MichaelHollingdale, un porte-parole de l’ONUSIDA.
Environ 120 000 personnes, âgés de 10 à 19 ans sont morts demaladies liées au sida en 2013, les huit organisationsinternationales, a déclaré lors du lancement d’une campagnemondiale au Kenya pour endiguer la propagation chez lesadolescents.
Adolescentes, en particulier en Afrique subsaharienne, sont lesplus touchés, a déclaré financer les organisations qui comprenaitl’ONUSIDA, les enfants des Nations Unies, Organisation mondialede la santé et du président américain Emergency Plan for AIDSRelief ou PEPFAR, entre autres.
En Afrique du Sud en 2013, plus de 860 filles ont contracté le VIHchaque semaine, par rapport aux 170 garçons, ils ont dit.
Les filles sont plus vulnérables à cause de facteurs physiologiquesqui les plus sensibles aux infections, voir, a déclaré le Dr LilianOtiso, directeur des services à la santé de LVCT, une ONG quis’occupe de la prévention du sida et le traitement partout auKenya.
Les facteurs sociaux-économiques que voir des filles ayant desrapports sexuels à un âge plus jeune que leurs pairs masculinsjouent également un rôle majeur, dit-elle. Elles pourraient datentdes hommes plus âgés qui peuvent fournir pour eux, dit-elle.D’autres, tels que le 16-year-old, sont obligés de se débrouillerpar eux-mêmes à un jeune âge et deviennent les victimesd’exploitation sexuelle, de violence et de viol, a déclaré le DrOtiso.
“Je ne peux pas savoir comment j’ai contracté le virus. J’ai eubeaucoup de copains. J’ai été avec ces petits amis parce que lavie m’a forcé à cette situation parce que je cherchais poursurvivre, alors j’ai été obligé de le faire,”dit la fille du Kenya.
La campagne mondiale, appelée « All In » s’efforcera de corrigerle déséquilibre en encourageant des changements stratégiquesdans la politique et en impliquant davantage de jeunes à l’effort,les organisations.
La plupart des adolescents vivant avec le VIH en 2013 2,1 millionsont été infectée au moins 10 ans, les organisations. Leurs mèresétaient enceintes et livré à un moment où les médicamentsantirétroviraux qui permettent de réduire considérablement lapossibilité de transmission du VIH n’étaient pas disponibles, lesorganisations.
Adolescents souvent ne s’avancer pour l’essai et abandonnent lesrégimes de traitement parce que leurs besoins affectifs ne sont pas ciblés, a déclaré le Dr Otiso.
L’ONUSIDA a dit qu’il vise à réduire les infections par le VIH chezles adolescents de 75 % et les décès liés au sida de 65 pour centd’ici 2020 en fournissant plus de conseils, mais aussi éducationsensibilisation à une gamme âge adolescente ciblée dans lemonde.
La fille de Korogocho dit qu’elle fréquente aujourd’hui les classescounseling au centre LVCT de Korogocho, qui ont changé saperception du VIH / sida.
“J’ai utilisé pour faire n’importe quoi pour de l’argent.Maintenant, mon état d’esprit a bien changé. Je lave desvêtements pour les gens pour gagner leur vie,”dit-elle.
