By Jeremy Gaunt
The chances of Greece being forced out of the euro zone have risen, but a compromise agreement between Athens and its European partners is still possible, Greek media and investment banks said on Tuesday.
They said all eyes were now on the European Central Bank, which must decide on Wednesday whether to extend Emergency Liquidity Assistance (ELA) funds to Greek banks to keep them in cash while the crisis unfolds.
“Hard ultimatum from the EU, 96 hours until an agreement or an accident,” ran the headline of Greek daily Eleftheros Typos.
It was referring to the end-of-the-week deadline set by Dutch Finance Minister Jeroen Dijsselbloem, chairman of the group of euro zone finance ministers, for Athens to request an extension to its bailout or run out of assistance.
Talks in Brussels between Greece and the rest of Dijsselbloem’s Eurogroup broke down on Monday when Athens rejected a proposal to request a six-month extension of its international bailout package as “unacceptable”.
Investment bank Barclays said this had raised the risk that Greece would leave the euro zone and raised the prospect that the new leftist government of Prime Minister Alexis Tsipras would eventually have to call a referendum on whether to accept a deal with strings or ditch the euro.
Chris Scicluna of Daiwa Capital Markets said the failure raised the risk that no deal will be reached by the end of the month, when the current bailout ends, making for a “disorderly conclusion.”
“But all is not lost and we see no need for panic just yet,” he said in a note.
US stock futures and many share markets in Asia retreated after the talks broke down. The euro wavered and German government bond yields fell to near record lows on Tuesday as investors sought shelter in top-rated assets.
The chief executive officer of one of Greece’s top four banks said late on Monday that he expected deposit outflows to speed up as a result of the impasse.
Outflows have been running at around 500 million euros a day, which prompted the ECB to agree an increase in its ELA funding last week, running until Wednesday.
“If the Greek authorities do not take up the Eurogroup’s offer this week, ELA would likely be shut down,” Barclay’s said.
“This likely would precipitate the need to set up capital controls to avoid capital flight out of Greece, and Greek banks likely would have to introduce limits to cash withdrawals.”
Greek newspapers put the blame for Monday’s impasse squarely on the Eurogroup, saying it had been a case of “nekranastasis”, a resurrection from the dead of a proposal that Greece had already rejected.
Tsipras’ government has said it will not accept anything that requires it to sign up to an extension of the current European Union/International Monetary Fund bailout because of the austerity strings that come with it.
Greek media also made much of reports that Greek Finance Minister Yanis Varoufakis had been prepared to sign a separate plan offered by Economics Commissioner Pierre Moscovici, although EU officials say no such plan was presented.
“Yielding to (German Finance Minister Wolfgang) Schaeuble and circumventing Moscovici’s draft, which Athens was ready to sign, the Eurogroup blackmails Greece with an extension,” daily Efimerida Ton Syntakton said.
Reuters
FRENCH VERSION
Ils ont dit que tous les yeux étaient maintenant sur la Banquecentrale européenne, qui doit décider mercredi si, d’étendre leFonds d’aide d’urgence de la liquidité (ELA) aux banquesgrecques pour les garder en espèces alors que la crise se déroule.
« Dur ultimatum de l’UE, 96 heures jusqu’à un accord ou d’unaccident, » titrait du quotidien grec Eleftheros Typos.
Il faisait allusion à l’échéance de fin-de-la-semaine fixée par leministre des Finances néerlandais Jeroen Dijsselbloem, Présidentdu groupe des ministres des Finances zone euro, à Athènes pourdemander une prolongation de son plan de sauvetage ou demanquer d’assistance.
Entretiens à Bruxelles entre la Grèce et le reste de l’Eurogroupede Dijsselbloem est tombé en panne lundi, quand Athènes a rejeté une proposition visant à demander une prolongation desix mois de son plan de sauvetage international de « inacceptable ».
Banque d’investissement Barclays dit cela a soulevé le risque quela Grèce devrait quitter la zone euro et a soulevé la perspectiveque le gouvernement de la nouvelle gauche du premier ministreAlexis Tsipras aurait finalement d’appeler à un référendum surl’opportunité d’accepter un accord avec cordes ou d’un fossé del’euro.
Chris Scicluna de Daiwa Capital Markets, a déclaré l’échecaugmentait les risques pas une affaire devant être atteint avant lafin du mois, lorsque le plan de sauvetage actuelle se termine,pour une « conclusion désordonnée ».
« Mais tout n’est pas perdu et nous ne voyons aucun besoin depaniquer tout de suite, » dit-il dans une note.
US stock futures et de nombreux marchés d’actions en Asie s’est retiré après que les négociations ont été rompues. L’euro a hésitéet rendement des obligations allemandes gouvernement est tombé presque creux record mardi, car les investisseurs ont cherché refuge dans les actifs cotés.
Le premier dirigeant de l’une des premières quatre banques de laGrèce, a déclaré tard lundi qu’il s’attendait à des sorties de dépôtpour accélérer à la suite de l’impasse.
Sorties ont été diffusées à environ 500 millions d’euros par jour,ce qui a incité la BCE à accepter une augmentation de ses ELAfinancement la semaine dernière, en allant jusqu’au mercredi.
« Si les autorités grecques ne prennent pas cette semaine l’offrede l’Eurogroupe, ELA serait probablement fermée, » dit de Barclay.
« Cela précipiterait probablement la nécessité de mettre en placedes contrôles de capitaux pour éviter la fuite des capitaux horsde Grèce et les banques grecques probables aurait d’introduiredes limites aux retraits d’espèces. »
Journaux grecs mettent carrément la responsabilité de l’impassede lundi sur l’Eurogroupe, en disant : il avait été un cas de « nekranastasis », une résurrection d’entre les morts d’uneproposition que la Grèce avait déjà rejeté.
Gouvernement des Tsipras a dit que ne pas accepter tout ce quil’oblige à inscrire une extension de l’actuel plan de sauvetageUE/FMI à cause des chaînes d’austérité qui l’accompagnent.
Médias grecs ont également fait une grande partie des rapportsque le ministre grec des Finances Yanis Varoufakis avaient étédisposés à signer un plan distinct offert par économiecommissaire Pierre Moscovici, bien que les fonctionnaires de l’UEdisent qu’aucun tel plan a été présenté.
« Cédant à Schäuble (ministre allemand des finances Wolfgang)et contourner le projet de Moscovici, dont Athènes était prêt àsigner, l’Eurogroupe chantages Grèce avec une extension, »quotidienne Efimerida Ton Syntakton dit.
Reuters