By Dan Mitchell
Several months ago, I put forth a two-question challenge for our left-wing friends.
Since they relentlessly insist that we can have bigger government, higher taxes, more regulation, and added intervention without any negative impact on economic performance, I asked them to identify a single country that became rich following their policies.
And because I’m such a nice guy, I even gave them an extra option. If they couldn’t find a nation that become prosperous with statist policies, they also could successfully respond to my challenge by picking out a big-government jurisdiction that is out-performing a similar country with free markets and small government.
So what’s been the response? Zip. Nada. Zilch. Nothing.
Not that we should be surprised. After all, the rich nations of the western world all became prosperous back in the 1800s and early 1900s when the burden of government was tiny, smaller even than the public sector in Hong Kong today.
And what about the second part of the challenge? Well, our leftist friends have no answers to that query either.
But our side has lots of counter-examples. I’ve put together several comparisons of relatively pro-market jurisdictions and relatively statist jurisdictions. And when making these comparisons, I’ve used several decades of data to avoid the risk of misleading results caused by cherry-picking favorable or unfavorable years.
In every single case, the places with smaller government and free marketsgenerate much stronger economic performance. And that translates into higher living standards.
Now we’re going to add to our list of comparisons, and we’re going to travel to Africa.
Botswana is one of the most pro-market nations in sub-Saharan Africa. It’s still a long way from being Hong Kong, but you can see from the Economic Freedom of the World data that it’s been a steady performer, averaging more than 7 out of 10 this century.
Indeed, only Rwanda ranks higher for economic freedom in the region, but that’s the result of pro-growth reforms in the past few years, so we’ll have to wait a while (assuming the reforms are durable) before having useful data.
And speaking of comparisons, let’s now look at what’s happened to per-capita GDP in Botswana as well as the data for the countries in the region that get the worst scores from Economic Freedom of the World.
As you can see, Botswana (the thick blue line) used to be among the very poorest nations in the region, but over time its per-capita economic output has easily surpassed the countries that have followed statist policies.
These numbers are adjusted for inflation, so the key takeaway is that per-capita economic output is now almost 10 times higher in Botswana than it was in the mid-1960s.
Most of the other nations, by contrast, have suffered from declining real incomes. In other words, the price of statism is very high, particularly for the less fortunate in society.
But there is a sliver of good news (in addition to the Botswana data). If you look carefully, you’ll see that the overall numbers for Africa (thin blue line) have noticeably improved since the late 1990s. Which underscores the importance of promoting business investment in the region, as explained recently by Marian Tupy.
P.S. I rarely comment on foreign policy, but I confess that my jaw dropped when I saw that an Obama Administration official said that a jobs program was key to defeating ISIS.
I thought about recycling some of the evidence showing that government efforts to create jobs are a miserable failure, but then I saw two cartoons that are too funny not to share.
Our first contribution is from Glenn McCoy.
And here’s a gem from Michael Ramirez.
You can see why Ramirez won the political cartoonist contest.
FRENCH VERSION
Puisque sans relâche, ils insistent pour que nous pouvons avoirplus grand gouvernement, des impôts plus élevés, plus deréglementation et d’intervention ajoutée sans impact négatif surles performances économiques, je leur ai demandé d’identifier unseul pays qui sont devenus riche, suivant leurs politiques.
Et parce que je suis un gars sympa, je leur donne même uneoption supplémentaire. S’ils ne pouvaient pas trouver une nationqui deviennent prospères avec politiques étatistes, elles aussipourraient répondre avec succès à mon défi de cueillette d’unecompétence de grand-gouvernement qui out-effectue un payssemblable à des marchés libres et petit gouvernement.
Alors, quelle a été la réponse ? Fermeture par zip. Nada. Zilch.Rien.
Non pas que nous devrions être surpris. Après tout, les paysriches du monde occidental tout est devenu prospères au XIXe siècle et début du XXe siècle, lorsque le fardeau dugouvernement était minuscule, plus petite encore que le secteurpublic à Hong Kong aujourd’hui.
Et que dire de la deuxième partie du défi ? Eh bien, nos amisgauchistes n’ont aucune réponse à cette requête non plus.
Mais notre côté a beaucoup de contre-exemples. J’ai mis enplace plusieurs comparaisons des juridictions relativementfavorables au marché et relativement juridictions étatiste. Etquand faire ces comparaisons, j’ai utilisé plusieurs décennies dedonnées afin d’éviter le risque de résultats trompeurs causée parpicorage des années favorables ou défavorables.
Dans chaque cas, les lieux avec le plus petit gouvernement etmarchés libres génèrent beaucoup plus forte de la performanceéconomique. Et qui se traduit par des niveaux de vie plus élevés.
Maintenant, nous allons ajouter à notre liste de comparaisons, eton va se rendre en Afrique.
Le Botswana est un des pays plus favorables au marché enAfrique subsaharienne. Il est encore loin d’être à Hong Kong,mais vous pouvez le voir sur la liberté économique des donnéesmondiale qu’il a été interprète régulier, avec une moyenne deplus de 7 sur 10 ce siècle.
Et en parlant de comparaisons, penchons-nous maintenant sur ce qui s’est passé au PIB par habitant au Botswana, mais aussi lesdonnées pour les pays de la région qui obtiennent les piresscores de la liberté économique du monde.
Comme vous pouvez le voir, le Botswana (la ligne bleue épaisse)utilisé pour être parmi les nations les plus pauvres de la région,mais au fil du temps la production économique par habitant afacilement dépassé les pays qui ont suivi des politiques étatistes.
Ces chiffres sont corrigés de l’inflation, donc clé à retenir est quehabitant économique la sortie est maintenant presque 10 foissupérieur au Botswana qu’il était dans les années 1960.
La plupart des autres nations, en revanche, ont souffert de labaisse des revenus réels. En d’autres termes, le prix de l’étatismeest très élevé, particulièrement pour les plus démunis dans lasociété.
Mais il y a un petit morceau de bonnes nouvelles (outre lesdonnées du Botswana). Si vous regardez attentivement, vous verrez que les chiffres globaux pour l’Afrique (fine ligne bleue) sesont sensiblement améliorées depuis la fin des années 1990. Quisouligne l’importance de promouvoir les investissements desentreprises dans la région, comme l’a récemment expliquéMarian Tupy.
P.S. j’ai rarement de commentaire sur la politique étrangère, maisj’avoue que ma bouche bée quand j’ai vu qu’un fonctionnaire del’Administration Obama a dit qu’un programme de travaux a étéclé pour vaincre ISIS.
J’ai pensé sur le recyclage de certains éléments de preuvemontrant que les efforts du gouvernement pour créer desemplois sont un échec lamentable, mais puis j’ai vu deux dessins animés qui sont trop drôle ne pas à partager.
Notre premiere contribution provient de Glenn McCoy.