The High-Level Expert Group Meeting was organized by Special Advisor Maged Abdelaziz in conjunction with the African Union Commission (AUC), as well as bodies such as the UN Economic Commission for Africa (ECA), the African Development Bank (AfDB), the UN Industrial Development Organization (UNIDO) and the Department of Public Information (DPI).
The event, which looked to the post-2015 development agenda and the African Union ‘Agenda 2063,’ explored how to enhance management of Africa’s extractive industries in order to fully harness their potential as important drivers for sustainable development, structural economic transformation and inclusive growth.
According to the OSAA, Africa has an abundant natural resource endowment, boasting 12 percent of the world’s oil reserves, 40 per cent of its gold and around 60 percent of its uncultivated arable land. With increasing global demand for primary resources, especially in rapidly growing emerging economies, the continent aims to continue exploiting its comparative advantage, with efforts so far seeing trade grow from $251 billion in 1996 to $1.151 trillion in 2011.
Despite strong export performance in the sector, African countries have not yet fully harnessed the full potential of their rich natural resource endowments or employed their natural resource advantages as an engine for inclusive economic growth.
Under the post-2015 agenda and the African Union Agenda 2063, revenue from natural resources, including the extractive industries, will be a key source for development financing. Both aim at achieving long-term economic growth and full and productive employment, with the AU Agenda 2063, in particular, underscoring the crucial role of industrialization, including through value addition of natural resources.
Sir Paul Collier, the co-director of the Centre for the Study of African Economies at Oxford University and author of the book, The Bottom Billion, was the keynote speaker at the event, while panellists included Ibrahim Assane Mayaki, the Chief Executive Officer of the New Partnership for Africa’s Development (NEPAD), the African Union’s development agency, and Fatima Haram Acyl, the African Union Commissioner for Trade and Industry.
FRENCH VERSION
Le groupe de haut niveau d’experts a été organisé par SpecialAdvisor Maged Abdelaziz conjointement avec la CommissionUnion africaine (CUA), ainsi que des organismes comme laCommission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA),la Banque africaine de développement (BAfD), les Nations Uniespour le développement industriel (ONUDI) et le département del’Information publique (DPI).
L’événement, qui ressemblait à l’agenda du développementaprès 2015 et l’Union africaine « 2063 du jour », explorecomment améliorer la gestion des industries extractives de l’Afrique afin d’exploiter pleinement leur potentiel comme desfacteurs importants pour le développement durable, latransformation économique structurelle et la croissancepartagée.
Selon le conseiller, l’Afrique a un fonds de dotation ressourcenaturelle abondante, bénéficiant de 12 pour cent du pétrole du monde se réserve, 40 pour cent de son or et environ 60 p. 100 deses terres arables non cultivées. Avec l’augmentation de lademande mondiale de ressources primaires, en particulier dans lacroissance rapide des économies émergentes, le continent a pourobjectif de continuer à exploiter son avantage comparatif, avecles efforts déployés jusqu’à présent voir commerce passera de $251 milliards, en 1996, à $ 1,151 billions en 2011.
Malgré une solide performance dans le secteur, pays africainsn’ont pas encore pleinement exploité tout le potentiel de leursdotations de riches ressources naturelles ou employé leursavantages de ressources naturelles comme un moteur d’unecroissance économique inclusive.
Sous l’ordre du jour après 2015 et le African Union 2063 del’ordre du jour, les recettes provenant des ressources naturelles, y compris les industries extractives, sera des principales sources definancement du développement. Tous deux visent à atteindre leplein emploi productif, avec l’UA Agenda 2063, en particulier,soulignant le rôle crucial de l’industrialisation, notamment par lavalorisation des ressources naturelles et la croissanceéconomique à long terme.
Sir Paul Collier, codirecteur du Centre pour le Study of AfricanEconomies, Université d’Oxford et auteur du livre, The BottomBillion, était le conférencier principal à l’événement, tandis queles participants étaient Ibrahim Assane Mayaki, le directeurgénéral du nouveau partenariat pour le développement (NEPADde l’Afrique), Agence de développement de l’Union africaine etFatima Haram Acyl, le commissaire de l’Union africaine pour lecommerce et l’industrie.