Nigeria Denies Leaking Schoolgirls‏’ Rescue Plan // Nigeria Rejette La Fuite De Plan De Sauvetage Des Ecolières

A senior Nigerian army official on Monday denied reports that the U.S. military had abandoned plans to help search for dozens of abducted Nigerian schoolgirls because local commanders were leaking the plans to the Boko Haram militant group.

“There was never a planned rescue operation to be carried out along with the U.S.,” a Nigerian Defense Ministry official told the Anadolu Agency on condition of anonymity.

“The terms of the cooperation or assistance never included any kinetic operation,” he insisted.

In April of last year, Boko Haram militants abducted 276 girls from their school dormitories in northeastern Borno State’s town of Chibok, according to official accounts.

Boko Haram kingpin Abubakar Shekau later claimed responsibility for the abductions, offering to trade the kidnapped girls for detained militants held by the Nigerian authorities.

At least 57 of the girls subsequently managed to escape their captors. The fate of the remaining girls, however, remains unknown.

At the time, the incident made global headlines, and several countries – including the U.S. – had offered to help Nigeria find the schoolgirls.

Local media reports, however, have quoted unnamed U.S. generals as saying that Washington had now abandoned these efforts because top local military commanders were colluding with Boko Haram.

The Nigerian Defense Ministry official, who asked not to be named due to the issue’s sensitivity, denied the claim.

“All… actionable intelligence from committed partners has always been well utilized in counterterrorism operations,” he told AA.

At no time, he asserted, did the Americans visit the restive region.

“Despite the unfettered access granted them, they never visited the northeast even once,” he said.

He went on to accuse Washington of working behind the scenes to discredit and frustrate Nigerian rescue efforts.

“This claim characterizes the behind-the-scenes efforts of some foreign officials bent on capitalizing on the security situation here to find a means of discrediting the Nigerian military after failing to be of any meaningful assistance,” said the official.

“At best, this claim is just another alibi by some quarters involved in carrying out a destructive campaign against the reputation of the Nigerian military,” he suggested.

In a recent interview, Nigerian President Goodluck Jonathan promised to rescue the girls alive.

Relations between Nigeria and the U.S. appear to have hit at an all-time low amid repeated differences on a host of issues, including ongoing counterterrorism operations.

Since 2009, Nigeria has battled a fierce Boko Haram insurgency that has ravaged the country’s volatile northeast and left thousands dead.

The insurgency, said to have claimed over 13,000 lives to date, is considered Nigeria’s worst security crisis since its three-year civil war from 1967 to 1970.

A seemingly emboldened Boko Haram recently stepped up its militant activity, seizing several areas of Adamawa, Borno and Yobe states, where it has declared a self-styled “Islamic caliphate.”

Last month, Nigeria postponed its general election from Feb. 14 to March 28, citing security concerns arising from the Boko Haram insurgency.

The Nigerian army has since announced that it had successfully dislodged militants from a number of Boko Haram-held towns.

FRENCH VERSION

 

“Il n’a jamais été une opération de sauvetage prévu à effectuerainsi qu’aux Etats-Unis,” un responsable du ministère nigérian de la défense a déclaré à l’Agence Anadolu sous couvertd’anonymat.

« Les modalités de la coopération ou l’aide jamais inclus touteopération cinétique », insistait-il.

En avril de l’année dernière, des militants de Boko Haram ont enlevé 276 filles de leurs dortoirs dans les écoles dans la ville deChibok de l’état de Borno nord-est, selon les comptes officiels.

Boko Haram kingpin Abubakar Shekau plus tard a revendiqué lesenlèvements, proposant d’échanger les filles kidnappées pourdes militants détenus détenus par les autorités nigérianes.

Au moins 57 des filles a par la suite réussi à échapper à leursravisseurs. Le sort des filles restants, toutefois, demeure inconnu.

À l’époque, l’incident a fait les manchettes globales, et plusieurspays, dont les Etats-Unis, avaient offert d’aider le Nigeria trouverles écolières.

Les médias locaux, toutefois, ont cité des généraux américainssans nom comme disant que Washington avait abandonnémaintenant ces efforts parce que les hauts responsables militairesles ont été de connivence avec Boko Haram.

Le fonctionnaire du ministère nigérian de la défense, qui ademandé de ne pas être nommé en raison de la sensibilité de laquestion, ont rejeté la demande.

« Tous… actionable intelligence de partenaires engagés atoujours été bien utilisé dans les opérations de lutte contre leterrorisme, “il a dit AA.

À aucun moment, il a affirmé, a fait les américains visite la régionrétive.

« Malgré l’accès sans entrave leur a accordé, ils ont jamais visitéle nord-est encore une fois, » dit-il.

Il a ensuite pour accuser Washington de travailler dans lescoulisses pour discréditer et faire échouer les efforts desauvetage nigérian.

« Cette revendication caractérise les efforts dans les coulisses decertains responsables étrangers décidés à capitaliser sur lasituation sécuritaire ici de trouver un moyen de discréditerl’armée nigériane après avoir échoué à être d’aucune utilitésignificative, » a déclaré le responsable.

Dans une récente interview, le Président nigérian GoodluckJonathan a promis de sauver les filles vivantes.

Les relations entre le Nigeria et les Etats-Unis semblent avoirfrappé au plus bas au milieu des différences répétées sur unefoule de questions, y compris les opérations de lutte contre leterrorisme en cours.

Depuis 2009, le Nigéria a lutté contre une insurrection de BokoHaram féroce qui a ravagé les volatiles du pays au nord-est etcausé la mort de milliers.

L’insurrection, a déclaré avoir revendiqué plus 13 000 vit à cejour, est considéré comme plus grave crise de sécurité du Nigeriadepuis ses trois ans de guerre civile de 1967 à 1970.

Un apparemment enhardi Boko Haram récemment intensifié sonactivité militante, s’emparant de plusieurs régions del’Adamaoua, Borno et Yobe États, où il a proclamé un « Califatislamique » autoproclamé.

Le mois dernier, Nigéria reporté son élection générale du 14février au 28 mars, invoquant des problèmes de sécuritédécoulant de l’insurrection de Boko Haram.

L’armée nigériane a depuis annoncé qu’il s’était détaché avec succès de militants de plusieurs villes tenues Boko Haram.