* Al-Ghani attack latest on oil facility by militants
* Foreigners targeted by militant attacks this year
* UN negotiations ongoing to end Libya crisis (Adds more details, context throughout)
By Jan Lopatka and Feras Bosalum
Up to 10 foreign workers are missing after a militant attack on a Libyan oil field and there is a possibility they have been taken hostage, Czech and Libyan officials said on Saturday.
Foreigners have increasingly become targets in Libya’s turmoil, where two rival governments are battling for control and Islamist extremists have grown in the chaos that followed Muammar Gaddafi’s ouster four years ago.
Czech Foreign Minister Lubomir Zaoralek said the workers missing after the assault earlier this week on Al-Ghani field, included a Czech and an Austrian and others from Bangladesh and the Philippines.
“We are examining the possibility that a kidnapping has taken place,” Zaoralek told Reuters.
Libya’s oil security forces said on Friday they had retaken control of the oilfield after Islamist militants attacked the facility, killing 11 guards. Several of those were beheaded, one official said..
Zaoralek said there had been no contact with any group claiming responsibility, adding that his ministry was certain the Czech citizen had not been killed during the attack.
Libya’s state oil company said at least seven foreigners including an Austrian, a Czech, Filipinos and a national of an African country were missing after the al-Ghani attack.
“Foreigners from an Austrian oil services company, operating in the field, are still missing since the attack. We do not know their fate,” National Oil Corporation spokesman Mohamed El-Hariri said.
In Vienna, a foreign ministry spokesman said a 39-year-old Austrian working for an oilfield management company had gone missing after an attack in Libya. He declined to give the name of the missing Austrian or his company.
Both the Czech and Austrian governments have assembled crisis groups to tackle the situation. A Czech official is expected to travel to the region soon.
Western governments are backing United Nations negotiations to end the crisis in Libya, worried that the large North African state just across the Mediterranean from mainland Europe is becoming a haven for Islamist militants.
Libyan militants claiming loyalty to Islamic State in Iraq and Syria have been blamed for high-profile attacks this year involving foreigners, including an assault on a Tripoli hotel and the beheading of a group of Egyptian Christians.
Militants this month also stormed and damaged several Libyan oilfields around al-Ghani, forcing the government to declare force majeure, pull out workers and shut down production on 11 oilfields in the central Sirte basin.
U.N.-backed talks to form a unity government and a lasting ceasefire in Libya are continuing in Morocco. But both sides face internal splits over the negotiations and fighting between the two governments continues. (Reporting by , Shadia Nasralla, Feras Bosalum and Patrick Markey; editing by Andrew Roche and Gareth Jones)
FRENCH VERSION
* Les étrangers ciblés par des attaques de militants cette année
* Négociations de l’ONU en cours pour mettre fin à la Libye crise(ajoute plus de détails, cadre dans l’ensemble)
Par Jan Lopatka et Feras Bosalum
Jusqu’à 10 travailleurs étrangers sont portés disparus après unmilitant attaquer sur un champ de pétrole libyen et il y a unepossibilité qu’ils ont été pris en otage, tchèque et libyen ontindiqué des responsables samedi.
Étrangers sont devenus plus en plus les cibles dans la tourmentede la Libye, où les deux gouvernements rivaux sont battent pourle contrôle et les extrémistes islamistes ont grandi dans le chaosqui ont suivi la destitution de Muammar Gaddafi il y a quatre ans.
Ministre des affaires étrangères tchèque Lubomir Zaoralek dit lestravailleurs manquant après que l’assaut plus tôt cette semaine,le champ d’Al-Ghani, inclus un tchèque et un autrichien et autresdu Bangladesh et les Philippines.
« Nous examinons la possibilité qu’un enlèvement a eu lieu », a déclaré à Reuters Zaoralek.
Forces de sécurité du pétrole de la Libye, a déclaré vendrediqu’ils avaient repris le contrôle de l’exploitation pétrolière aprèsque les militants islamistes ont attaqué l’établissement, tuant 11gardes. Plusieurs de ceux qui ont été décapités, a déclaré unfonctionnaire…
Zaoralek a dit il y n’avait eu aucun contact avec n’importe quelgroupe revendiquant la responsabilité, ajoutant que sonministère était certain que le citoyen tchèque n’avait pas été tuélors de l’attaque.
Compagnie nationale du pétrole de la Libye, a déclaré au moinssept que étrangers dont un autrichien, un tchèque, Philippins etun ressortissant d’un pays africain étaient manquants aprèsl’attaque d’al-Ghani.
“Les étrangers auprès d’une compagnie de services de pétroleautrichienne, opérant dans le domaine, sont toujours portés disparus depuis l’attaque. Nous ne savons pas leur sort,”a déclaréle porte-parole National Oil Corporation Mohamed El-Hariri.
À Vienne, un porte-parole du ministère des affaires étrangères, a déclaré qu’un travail autrichien de 39 ans pour une société degestion du champ pétrolifère avait disparu après une attaque enLibye. Il a refusé de donner le nom des disparus autrichiens ouson entreprise.
Gouvernements le tchèque et autrichien ont réuni des groupesde la crise pour s’attaquer à la situation. Un fonctionnairetchèque devrait rendre prochainement dans la région.
Les gouvernements occidentaux sont des bandes desnégociations des Nations Unies pour mettre fin à la crise enLibye, inquiet que le grand état nord-africain juste en face de laMéditerranée depuis le continent européen est de plus un havrepour les militants islamistes.
Des militants libyens revendiquant la loyauté envers l’Etatislamique en Irak et la Syrie ont été blâmés pour des attaques degrande envergure cette année impliquant des étrangers, avec notamment l’assaut sur un hôtel de Tripoli et la décapitation d’ungroupe de chrétiens égyptiens.
Militants ce mois-ci a également pris d’assaut et endommagéplusieurs gisements de pétrole libyens vers al-Ghani, forçant legouvernement à déclarer les cas de force majeure, tirez sur lestravailleurs et arrêter la production sur 11 champs pétroliers dansle bassin de Syrte central.
Soutenu par l’ONU des pourparlers pour former ungouvernement d’unité et d’un cessez-le-feu durable en Libyesont poursuivent au Maroc. Mais les deux parties font face à desscissions internes sur les négociations et les combats entre lesdeux gouvernements continuent. (Rapports, Shadia Nasralla,Feras Bosalum et Patrick Markey ; modification par AndrewRoche et Gareth Jones)