London-based BP said March 6 that it plans to work at the West Nile Delta (WND) field with hopes of extracting 5 trillion cubic feet of gas resources and 55 million barrels of condensates, the equivalent of about one-fourth of Egypt’s total output, and that further offshore exploration could double production.
In addition, it said, constructing the rigs to extract the energy would mean thousands of jobs, most of them for Egyptians.
This appears to be a new day in gas production for Egypt. At one time several European energy companies such as Eni of Italy, BG Group of Britain and Gas Natural Fenosa of Spain had built large liquefied natural gas export facilities in Egypt, turning it into one of Africa’s leading gas producers.
But the plants haven’t been used since Hosni Mubarak was ousted in 2011 in a popular uprising. The European companies reduced their investments in Egypt amid the political unrest, leading to a decline in production. Making matters worse, as production stagnated, domestic demand rose, limiting exports and their attendant revenue.
Now, though, BP has decided to invest in Egypt, beginning modestly with its domestic market, not export terminals, at least for now.
That means a lot for Egypt’s economic development after years of uncertainty, according to BP. “The project underlines BP’s commitment to the Egyptian market and is a vote of confidence in Egypt’s investment climate and economic potential,” the company said in a statement.
Hunter’s view is parallel with that of BP CEO Bob Dudley. “The WND project investment is the largest foreign direct investment in Egypt,” he said in a statement. “WND production is key to Egypt’s energy security.”
BP will own 65 percent of the project, with the rest under the control of Dea, once the oil and gas unit of the huge German energy utility RWE. L1 Energy, also known as Letter 1, the investment firm of Russian oligarch Mikhail Fridman, bought Dea a year ago.
BP said it would produce gas from two of the company’s offshore concession blocks, North Alexandria and West Mediterranean Deepwater. And it appears it will team up with rival BG Group, using its pipeline to move gas from two other nearby fields, Taurus and Libra, to the Egyptian mainland.
FRENCH VERSION
BP basé à Londres, a déclaré le 6 mars qu’il envisage de travaillersur le terrain de West Nile Delta (WND) dans l’espoir d’extorquer5 billions de pieds cubes de ressources en gaz et 55 millions debarils de condensats, l’équivalent d’environ un quart de laproduction totale de l’Égypte, et cette poursuite de l’explorationoffshore pourrait doubler la production.
En outre, il a dit, construire les plates-formes pour extrairel’énergie signifierait des milliers d’emplois, la plupart d’entre euxpour les Egyptiens.
Cela semble être une nouvelle journée dans la production de gazpour l’Égypte. À la fois que énergétique européenne plusieursentreprises comme Eni d’Italie, BG Group of Britain et Gas NaturalFenosa d’Espagne avait construit grand gaz naturel liquéfiéexport installations en Egypte, transformant en un des principauxproducteurs de gaz de l’Afrique.
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Mais les plantes n’ont pas été utilisées depuis Hosni Mubarak a été évincé en 2011 à un soulèvement populaire. Les entrepriseseuropéennes réduit leurs investissements en Egypte, au milieu del’agitation politique, conduisant à une baisse de production. Faireempirer les choses, comme la production a stagné, la demandeintérieure rose, limitant les exportations et son accompagnateur.
Maintenant, cependant, BP a décidé d’investir en Egypte, encommençant modestement par son marché intérieur, pasl’exportation de terminaux, au moins pour l’instant.
Cela signifie beaucoup pour le développement économique de l’Egypte après des années d’incertitude selon BP. “le projetmarque l’engagement de BP pour le marché égyptien et est unvote de confiance dans le climat d’investissement et le potentieléconomique de l’Egypte”, a indiqué la compagnie dans uncommuniqué.
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Vue du chasseur est parallèle à celui de directeur général de BPBob Dudley. « L’investissement WND est le plus importantinvestissement étranger direct en Égypte », dit-il dans uncommuniqué. « Production WND est touche à la sécuritéénergétique de l’Égypte. »
BP détiendra 65 % du projet, avec le reste sous le contrôle de laDea, une fois l’unité de pétrole et de gaz de l’utilitaire énormeénergétique allemand RWE. L1 énergie, également connu sous le nom de lettre 1, l’entreprise d’investissement de l’oligarque russeMikhail Fridman, acheté Dea il ya un an.
BP dit qu’il produirait des gaz provenant de deux des blocs deconcession au large de la société, Alexandrie Nord et ouestMéditerranée en eaux profondes. Et il semble qu’il fera équipeavec son rival BG Group, à l’aide de son pipeline pour déplacer legaz de deux autres champs avoisinants, taureau et balance, aucontinent égyptien.
