Trócaire has worked in Ethiopia for many years and I was there to visit communities that we are working with as part of the Lenten campaign. It was a privilege to be there and it was in a small community called Sebeya where I met Mahlet Ali, the 13-year-old girl featured on this year’s Trócaire Lenten box.
Like 80 per cent of Ethiopians, Mahlet’s family relies on growing their own crops to be able to eat. In Mahlet’s father’s younger days this was not a problem as the rains reliably came twice a year and crops could be planted and harvested. Not so any more. The rain has stopped. No rain: no food. So even though Mahlet’s family work really hard to make a living, hard work is no longer enough. Last year it rained for three days only in Tigray.
The people of Tigray have faced many challenges in the past including a violent conflict with neighbouring Eritrea. I saw tanks still in evidence dug-in on the Ethiopian side and soldiers patrolling the roads to check for mines.
The people face these challenges with a strength and resilience that is humbling. They are hardworking, friendly, spirited, generous and kind. But they are facing a challenge now that they are finding hard to overcome. So why are the rains failing in Ethiopia?
It is, of course, because of climate change. Greenhouse gas emissions from rich countries thousands of miles away have altered rainfall patterns irreversibly. And, sadly, the people suffering most from the impact of climate change have done the least to cause it. The average person in Northern Ireland emits eight tonnes of CO2 per year against the average Ethiopian figure of 0.1 tonnes. Yet poor people in the developing world suffer most. This is unjust and is why Trócarie will continue to fight for Climate Justice in the years ahead.
These days a typical family in Tigray gets to plant and harvest one crop per year making the dreaded ‘hungry season’ very long. The government of Ethiopia is working hard to help people and during these hungry months people survive by working on a government scheme that gives food for work. But survival is not living.
I visited a small village not far away from Sebeya, where we have supported people by constructing an irrigation scheme. On hills that have never produced food, and fields that only ever produced hops for brewing, I saw healthy trees producing oranges, limes, apples, avocados and bananas. Well-watered rows of the most delicious looking lettuce, cabbage, onions, tomatoes and coffee surrounded the houses. The people here are no longer dependant on the rain and can harvest three crops every year. Family incomes and diets have improved immeasurably.
Trócaire is planning to install the same type of irrigation system in Sebeya with the help of this year’s Lenten monies. As a result this time next year Mahlet’s family will be waiting to harvest a lush crop and not waiting on the rains to come.
This Lent the UK government has again agreed to match pound for pound any donations from the public in NI to Trócaire’s Lenten campaign.
FRENCH VERSION
Trócaire a travaillé en Éthiopie depuis de nombreuses années etj’étais là pour visiter les communautés que nous travaillons avec,dans le cadre de la campagne de Carême. Ce fut un privilèged’être là et elle était dans une petite communauté appeléeSebeya où j’ai rencontré Mahlet Ali, la fille de 13 ans en vedettesur la boîte de Carême Trócaire cette année.
Comme 80 pour cent des Ethiopiens, famille de Nicolas s’appuiesur leurs propres cultures pour pouvoir manger. Du père de Nicolas plus jeunes jours que ce n’était pas un problème tant queles pluies fiable est venu deux fois l’an et cultures pourraient êtreplantées et récoltées. Pas tellement plus. La pluie a cessé. Pas depluie : pas de nourriture. Donc même si la famille de Nicolastravailler vraiment dur pour faire une œuvre vivante et dure n’estplus suffisant. L’année dernière il a plu pendant trois joursseulement dans le Tigré.
Le peuple du Tigré ont été confrontés à nombreux défis dans lepassé dont un violent conflit avec l’Erythrée. J’ai vu des charstoujours en preuve dug-dans du côté éthiopienne et les soldatspatrouillant les routes pour vérifier les mines.
Les gens font face à ces défis avec une force et une résilience quiest une leçon d’humilité. Ils sont laborieux, amical, fougueux,généreux et aimable. Mais ils sont confrontés à un défimaintenant qu’ils trouvent difficiles de surmonter. Alors pourquoiles pluies sont défaillants en Éthiopie ?
C’est, bien sûr, à cause du changement climatique. Émissions degaz à effet de serre des pays riches, des milliers de milles loin ontmodifié des pluies irréversiblement. Et, malheureusement, lespersonnes souffrant le plus de l’impact des changementsclimatiques ont fait le moins pour la faire. La personne moyenneen Irlande du Nord émet huit tonnes de CO2 par an contre unemoyenne de chiffre éthiopien de 0,1 tonne. Encore despopulations pauvres des pays en développement souffrent leplus. C’est injuste et pourquoi Trócarie continuera de lutter pourla Justice climatique dans les années à venir.
De nos jours une famille typique dans le Tigré obtient de planteret de récolter une récolte par an, faisant de la terrible période desoudure”très long. Le gouvernement éthiopien s’efforce d’aiderles gens et au cours de ces mois de faim les gens survivent entravaillant sur un système de gouvernement qui donne des vivrescontre travail. Mais la survie n’est pas vivant.
Il ne doit pas être comme cela dans les collectivités commeSebeya et avec l’habitude généreuses aide du peuple deNewtownabbey et ailleurs, Trócaire peut et va aider à changercela.
Trócaire envisage de monter le même type de systèmed’irrigation en Sebeya à l’aide des deniers de Carême de cetteannée. Ainsi cette année prochaine famille de Nicolas vousattendra pour récolter une plante luxuriante et ne pas d’attentesur la saison des pluies à venir.
Encore une fois, cela a prêté le gouvernement britannique aaccepté correspondre à tous les dons du public ni à la campagnede Carême de Trócaire livre pour livre.