Mercenaries from South Africa and Ukraine have joined U.S.-trained forces from other African countries to combat the continued expansion of control by Islamic militant group Boko Haram in northeastern Nigeria.
The Nigerian government, with elections approaching on March 28, decided to spend money to halt the spread of Boko Haram, in the embarrassing absence of military success by its own forces. It bought armored personnel carriers and helicopter gunships from South Africa. It hired hundreds of mercenaries, white and African, paying them a reported $400 a day. Its troops participated recently with forces from neighboring African countries Cameroon, Chad and Niger in three weeks of training exercises in neighboring Chad.
Boko Haram has committed countless human rights abuses, including large-scale kidnappings, beheadings and displacement of thousands of refugees. It has been active mostly in Nigeria, although it has operated in nearby countries. Boko Haram has also declared its allegiance to the Islamic State group, based in Iraq and Syria.
The U.S. role in the African conflict has remained limited but is growing. U.S. Special Forces participated in the recent training exercise, described as war games, in nearby Chad. Some $40 million in Defense Department funds has been set aside for such activities in Africa.
South Africa is pleased at the arms sales but is opposed to its citizens fighting as mercenaries in Nigeria or anywhere else. Such activity has been illegal for South Africans since 1998. At least one of its mercenaries has been killed already in Nigeria by friendly fire.
The responsibility for bringing Boko Haram under control lies clearly with Nigeria, a rich country with a large army. Assistance from neighboring African countries also makes sense, given Boko Haram’s reach and cross-border tactics.
But an American-run training exercise stretches the bounds of appropriate U.S. involvement. U.S. advisers should not accompany the troops they have trained. That is the road to Nigeria’s war becoming America’s war.
FRENCH VERSION
Le gouvernement nigérian, avec élections approchant le 28 mars,a décidé de dépenser de l’argent pour enrayer la propagation deBoko Haram, en l’absence gênante de succès militaires par sespropres forces. Il a acheté blindés et hélicoptères hélicoptères decombat de l’Afrique du Sud. Elle a embauché des centaines demercenaires, blanche et africaine, en leur payant un signalés de400 $ par jour. Ses troupes ont participé récemment avec lesforces des voisins des pays africains, Cameroun, Tchad et Nigeren trois semaines d’exercices d’entraînement dans le pays voisinle Tchad.
Boko Haram a commis d’innombrables violations des droits del’homme, y compris les enlèvements à grande échelle, desdécapitations et des déplacements de milliers de réfugiés. Il a étéactif principalement au Nigeria, bien qu’elle ait exploité dans lespays voisins. Boko Haram a déclaré son allégeance au groupeÉtat islamique, basé en Irak et en Syrie.
Le rôle des Etats-Unis dans le conflit africain est restée limitémais est de plus en plus. Les Forces spéciales américaines ont participé à l’exercice de formation récente, décrit comme desjeux de guerre, au Tchad voisin. Certains $ 40 millions dans leFonds du département de la défense a été mis de côté pour detelles activités en Afrique.
Afrique du Sud se félicite les ventes d’armes mais est opposé àses citoyens de combat comme mercenaires au Nigeria oupartout ailleurs. Cette activité est illégale pour les sud-africainsdepuis 1998. Au moins l’un de ses mercenaires a été tué déjà auNigeria par des tirs.
La responsabilité de maîtriser de Boko Haram se trouveclairement avec le Nigeria, un pays riche avec une grande armée.Assistance de pays africains voisins également judicieux, compte tenu de Boko Haram portée et tactiques de fusions-acquisitions internationales.
Mais un exercice d’entraînement d’Amérique-run s’étend leslimites de la participation américaine appropriée. Conseillersaméricains ne devraient pas accompagner les troupes qu’ils ontformés. C’est la voie de la guerre du Nigéria devient la guerre de l’Amérique.
