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Algeria Oil Corruption Trial Begins After 5-year Delay // Procès De Corruption Algérie Huile Commence Après Le Délai De 5 ans





Five years after it first came to light, the trial began Sunday for one of Algeria’s most notorious corruption scandals involving the state-run oil company that generates most of the country’s revenue.

In a packed courthouse that included the ambassadors of Italy, the U.S. and Germany, prosecutors read out the charges against former head of Sonatrach, Mohammed Meziane, his two sons, and 16 other company officials.

Charges include influence peddling, inflating contract prices, money laundering and generally skimming off millions of dollars in bribes.

Defense attorneys throughout the session made repeated requests to delay the trial which the judge declined until the end of the day when it was revealed that 38 of the 108 witnesses called weren’t present.

The judge then adjourned proceedings to an unspecified date in the next three months and said the missing witnesses could be compelled by police to attend.

The scandal was revealed in 2009 after an investigation by Algeria’s feared intelligence service, the Department of Intelligence and Security, and involved contracts with Italy’s Saipem and Germany’s Contel Funkwerk.

Founded soon after independence from France in 1962, Sonatrach has made much of the country’s wealth and has always had close ties with those in power.

The scandal was seen as part of a score-settling between the intelligence agency and President Abdelaziz Bouteflika, who had close ties to the accused.

The sensitivity of the case also explains the long delays in the charges going to trial. The scandal came to be known as Sonatrach 1 after investigators in 2010 revealed a second set of charges, this time targeting the then energy minister Chakib Khelil, also a close associate of the president.

That scandal has yet to come to trial in Algeria, but Italian prosecutors have already filed charges against Italian companies involved in the case, accused of paying out more than $200 million in bribes to Algerian officials.

Former officials with Sonatrach have said the company is used as a source of funds by those in power, and a former company executive has estimated that the country loses between $3 and $6 billion annually to corruption in the oil sector alone.

Algeria’s economy, which relies almost entirely on oil and gas exports, has been shaken by the low oil prices in recent months.

FRENCH VERSION

Cinq ans après le premier est à la lumière, le procès s’est ouvertdimanche pour l’un des plus fameux scandales de corruption de l’Algérie, mettant en cause la compagnie pétrolière étatique quigénère la majeure partie des revenus du pays.

Dans un palais de justice emballés qui inclus les ambassadeursd’Italie, les Etats-Unis et l’Allemagne, procureurs donne lecturedes accusations portées contre l’ancien chef de Sonatrach,Mohammed Meziane, ses deux fils et 16 autres responsablesd’entreprise.

Charges incluent le trafic d’influence, gonfler les prix de contrat,blanchiment d’argent et d’écrémage généralement hors des millions de dollars de pots-de-vin.

Avocats de la défense tout au long de la session fait desdemandes répétées de retarder le procès dont le juge a refuséjusqu’à la fin de la journée quand il a été révélé que 38 des 108témoins n’étaient pas présents.

Le juge a ensuite ajourné les procédures à une date non préciséedans les trois prochains mois et dit que les témoins manquantespourraient être contrainte par la police à assister à.

Le scandale a été révélé en 2009 après une enquête menée parredouté intelligence service de l’Algérie, le département durenseignement et sécurité et les contrats impliqués avec Saipemde l’Italie et Contel Funkwerk de l’Allemagne.

Fondée peu après l’indépendance de la France en 1962,Sonatrach a fait une grande partie de la richesse du pays et atoujours eu des liens étroits avec les dirigeants.

Le scandale a été observé dans le cadre d’un score de règlemententre l’Agence de renseignement et le président AbdelazizBouteflika, qui avait des liens étroits avec l’accusé.

La sensibilité de l’affaire explique également les longs délais dansles frais d’aller au procès. Le scandale est venu à être connucomme Sonatrach 1 après que les enquêteurs en 2010 a révéléune deuxième série d’accusations, cette fois visant le ministre del’énergie puis Chakib Khelil, également un proche collaborateurdu Président.

Que scandale doit encore venir à procès en Algérie, mais lesprocureurs italiens ont déjà déposé accusations contre desentreprises italiennes impliquées dans l’affaire, accusé de payerplus de $ 200 millions dans des pots de vin aux responsablesalgériens.

Anciens fonctionnaires avec Sonatrach ont dit la société estutilisée comme une source de fonds par les dirigeants, et undirigeant de l’ancienne société a estimé que le pays perd entre 3 $ et $ 6 milliards par an à la corruption dans le secteur de l’huileseule.

Économie de l’Algérie, qui repose presque entièrement sur lesexportations de pétrole et de gaz, a été secoué par le prix dupétrole bas ces derniers mois.



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