Iran’s President Hassan Rouhani said Saturday differences remain but all issues can be resolved in talks with the West to secure a long-sought deal on his country’s disputed nuclear programme.
“I believe an agreement is possible. There is nothing that cannot be resolved and the other party must make its final decision for this,” the official IRNA news agency quoted him as saying.
Rouhani’s comments came a day after the latest round of talks between Iran and the P5+1 group of world powers — Britain, China, France, Russia and the United States plus Germany — ended without a breakthrough.
The long-running talks are aimed at putting an Iranian nuclear bomb out of reach in exchange for easing sanctions on its economy.
“In this round of negotiations (in Lausanne, Switzerland) there were differences on some issues,” Rouhani said, but noting that “common views emerged that can be the basis of a final agreement.”
However he added: “Some points of disagreement persist.”
The negotiations are to resume on Wednesday, leaving the two sides with just one week to meet a March 31 deadline for agreeing the outlines of a nuclear deal they hope will end a 12-year deadlock.
US Secretary of State John Kerry was to leave Switzerland on Saturday for talks in London with his British, French and German counterparts, the State Department said.
On Friday Kerry spoke by telephone with the foreign ministers of Russia and China, the other two powers involved in talks that officially resumed after the 2013 election of Rouhani.
Iran’s Foreign Minister Mohammad Javad Zarif, who faced Kerry in talks all week, said Saturday his team had been willing to work through the weekend, but the P5+1 needed time to “coordinate,” hinting at a split between the world powers.
“In some cases, their diversity of interests, political views or personal issues or personalities became more sensitive than the actual negotiations,” he wrote on his Facebook page, without naming any of the P5+1 countries.
The highly complex mooted agreement, due to be finalised by the end of June, is aimed at assuring the world Iran will not build nuclear weapons under the guise of a civilian energy programme.
It would likely involve Iran reducing in scope its nuclear activities, allowing ultra-tight inspections, exporting atomic material and limiting development of new nuclear machinery.
In exchange, Iran — which denies wanting nuclear weapons — would get staggered relief from the mountain of painful sanctions that have strangled its oil exports and hammered its economy
FRENCH VERSION
“Je crois qu’un accord est possible. Il n’y a rien qui ne peut pasêtre résolu et l’autre partie doit rendre sa décision finale pourcela,”l’Agence de presse officielle IRNA a cité comme disant.
Commentaires de Rouhani vint un jour après la dernière série depourparlers entre l’Iran et le groupe 5 + 1 groupe de puissancesmondiales — Grande-Bretagne, Chine, France, Russie et les États-Unis plus l’Allemagne, s’est terminée sans une percée.
Les longues discussions visent à mettre une bombe nucléaireiranienne hors de la portée en échange de l’assouplissement dessanctions sur son économie.
« Dans ce cycle de négociations (à Lausanne, en Suisse) il y avaitdes différences sur certaines questions, » Rouhani a dit, tout ennotant que “vues communes ont émergé qui peut être la based’un accord définitif. »
Toutefois, il a ajouté: « quelques points de désaccord persistent. »
Les négociations doivent reprendre mercredi, laissant les deuxcôtés avec une semaine de rencontrer un 31 mars délai d’avoir accepté les grandes lignes d’un accord sur le nucléaire qu’ilsespèrent se terminera un blocage de 12 ans.
États-Unis Secrétaire d’État John Kerry devait quitter la Suissesamedi pour des entretiens à Londres avec ses homologuesbritanniques, Français et allemands, a déclaré le départementd’Etat.
Kerry a parlé vendredi par téléphone avec les ministres desaffaires étrangères de la Russie et la Chine, les deux autrespuissances impliquées dans les pourparlers qui avaient reprisofficiellement après l’élection de 2013 de Rouhani.
Ministre des affaires étrangères Mohammad Javad Zarif du Iran,qui fait face à Kerry en pourparlers toute la semaine, a déclarésamedi que son équipe avait été disposé à travailler par le biaisde la fin de la semaine, mais le P5 + 1 temps nécessaire pour « coordonner », faisant allusion à une scission entre les puissancesmondiales.
« Dans certains cas, la diversité des intérêts, des opinionspolitiques ou des questions personnelles ou des personnalités est devenu plus sensible que des négociations réelles, » écrit-il sur sapage Facebook, sans les nommer une de la P5 + 1 pays.
La grande complexité évoquée accord, qui doit être finalisé avantla fin de juin, vise à assurer le monde Iran ne va pas construiredes armes nucléaires sous le couvert d’un programme civild’énergie.
Il s’agirait probablement réduire dans la portée de ses activitésnucléaires, ce qui permet des inspections ultra serrées, exporterdes matériels atomique et limitant le développement denouvelles machines nucléaires de l’Iran.
En échange, l’Iran — qui nie vouloir armes nucléaires — pourraitobtenir un soulagement décalé de la montagne des sanctionsdouloureuses qui ont étranglé ses exportations de pétrole et a martelé son économie