Zimbabweans have taken to social media to mobilise for a “Black Friday” campaign following the deadly xenophobic attacks targeting foreign nationals in South Africa.
Zimbabweans intended to march on the South African embassy in Harare and were calling for a boycott of South African businesses and products on Friday.
Zimbabwe’s foreign minister Simbarashe Mumbengegwi was quoted in media reports this week as saying at least one Zimbabwean had died and a total of 800 had been displaced by the xenophobic attacks.
Zanu-PF youth league representative, Mpiehlabayo Malinga, said the march was aimed at sending a message to South Africa.
“It is important for us to march so that we get our voices heard. People are losing their lives on a daily basis and we feel that it is our duty as youth leaders of this country to make sure that the (SA) government understands the plight of our fellow Zimbabweans,” Malinga said.
The report said there had also been calls for a boycott of South African artists performing at the upcoming Harare International Festival of the Arts (Haifa).
This comes as South African artist Casper Nyovest insisted that he would perform in Zimbabwe next week despite xenophobic retaliation threats.
Meanwhile, The Herald reported on Friday that the African Union had condemned the xenophobia attacks and described them as “unacceptable”.
AU Commission chairperson Nkosazana Dlamini-Zuma said in a statement it was unfortunate that the attacks took place at a time when Africa Day celebrations were approaching.
Africa celebrates the founding of the Organisation of African Unity (OAU), now the African Union, on May 25.
“Whatever the challenge we may be facing, no circumstances justify attacks on people, whether foreigners or locals. It is unacceptable,” Dlamini-Zuma was quoted as saying.
Police on Friday described the mood in KwaZulu-Natal as “calm but tense”, adding that they will not scale down their deployment of hundreds of officers, despite a decrease in the number of xenophobic attacks.
FRENCH VERSION
Zimbabwéens destiné à marcher sur l’ambassade d’Afrique du Sud à Harare et ont appelé à un boycott des entreprises sud-africaines et produits vendredi.
Ministre des affaires étrangères du Zimbabwe que SimbarasheMumbengegwi a été cité dans les médias rapporte cette semaineque de dire au moins un zimbabwéen était mort, et un total de800 avait été déplacé par les attaques xénophobes.
Représentant de Ligue des jeunes de la ZANU-PF, MpiehlabayoMalinga, dit que la marche vise à envoyer un message à l’Afriquedu Sud.
“Il est important pour nous de mars afin que nous faire entendrenotre voix. Personnes perdent la vie sur une base quotidienne etnous pensons qu’il est de notre devoir comme responsables de lajeunesse de ce pays pour s’assurer que le gouvernement de (SA)considère que le sort de nos collègues zimbabwéens”, a ditMalinga.
Selon le rapport, il y avait également eu des appels au boycottdes artistes sud-africains qui se produisent au prochain HarareInternational Festival des Arts (Haïfa).
Cela vient comme artiste sud-africain Nyovest Casper a insistéqu’il effectuerait au Zimbabwe la semaine prochaine malgré lesmenaces de représailles xénophobe.
Pendant ce temps, The Herald a rapporté vendredi que l’Unionafricaine ont condamné les attaques xénophobes et eux a qualifiéde « inacceptable ».
Président de Commission de l’UA Nkosazana Dlamini-Zuma adéclaré dans un communiqué qu’il est regrettable que lesattaques ont eu lieu à un moment quand les célébrations de lajournée de l’Afrique sont rapprochaient.
L’Afrique célèbre la Fondation de l’Organisation de l’unitéafricaine, devenue l’Union africaine, le 25 mai.
“Quel que soit le défi, nous pouvons être confrontés, aucun casne justifieraient des attaques sur les personnes, si étrangers oulocaux. Il est inacceptable,”Dlamini-Zuma a été cité commedisant.
Police vendredi décrit l’humeur dans le KwaZulu-Natal comme « calme mais tendue », ajoutant qu’ils ne seront pas réduire leurdéploiement de centaines d’officiers, malgré une diminution dunombre des attaques xénophobes