An international medical aid agency evacuated staff from a town in South Sudan on Saturday as fighting escalated once again in the country’s 16-month long civil war.
Doctors Without Borders said it was forced to pull its foreign staff out of Leer and halt all medical services amid fears the rebel-held town, in oil-rich Unity State, was about to come under “imminent attack” from government forces.
“Today, we withdraw again with a heavy heart, because we know how civilians will suffer when they are cut off from critical, lifesaving medical care,” Paul Critchley, South Sudan chief for Doctors Without Borders, known by its French initials MSF, was quoted as saying in a statement.
MSF was previously forced to abandon Leer in January last year when fighting over the town made it too dangerous to stay. When aid workers were able to return four months later they found the hospital burned and looted and vehicles stolen.
“We hope that we do not see a repeat of what happened in January 2014 when fighting forced thousands of people — including our local staff who took along dozens of critically ill patients — to hide in the swamps with their families,” said Critchley.
The International Committee of the Red Cross on Saturday also warned in a statement that escalating fighting between forces loyal to President Salva Kiir and rebel leader Riek Machar was forcing thousands of civilians to flee for their lives yet again.
“We remind all parties, in the strongest possible terms, of their obligations under International Humanitarian Law,” said Franz Rauchenstein, the head of ICRC in South Sudan.
“At all times, those who do not take part in the hostilities must be spared and the distinction needs to be made between civilian objectives and military objectives,” he said.
South Sudan’s civil war began in December 2013 and has been characterised by ethnic massacres, rape and attacks on civilians and medical facilities.
Peace talks in neighbouring Ethiopia have so far failed to reach any lasting agreement, or even an effective ceasefire.
On Friday the United Nations said that up to 100,000 people had been uprooted in the first week of May alone, following a marked spike in hostilities.
The civil war in South Sudan has killed tens of thousands of people and forced over a million from their homes.
FRENCH VERSION
Médecins sans frontières a dit il a été obligé de retirer sonpersonnel étranger de Leer et arrêter des services médicaux toutau milieu de craintes la ville des rebelles, dans l’état de l’unitériche en pétrole, s’apprêtait à venir sous “attaque imminente” desforces gouvernementales.
« Aujourd’hui, nous retirons à nouveau avec un coeur lourd,parce que nous savons comment les civils vont souffrir lorsqu’ilssont coupés de soins médicaux intensifs, sauvetage, » PaulCritchley, chef du Sud-Soudan pour médecins sans frontières,connue par son sigle Français de MSF, a été cité comme disantdans un communiqué.
MSF a été précédemment contraints d’abandonner Leer enjanvier l’année dernière quand disputent la ville rendit tropdangereux de rester. Lorsque les travailleurs humanitaires ont puretourner quatre mois plus tard, ils ont trouvé l’hôpital brûlé etpillé et les véhicules volés.
“Nous espérons que nous ne voyons pas une répétition de ce quis’est passé en janvier 2014 quand combat contraint des milliersde personnes — dont notre personnel local qui a pris le long des dizaines de patients gravement malades — se cacher dans lesmarais avec leurs familles,” a déclaré Critchley.
Le Comité International de la Croix-Rouge samedi a égalementmis en garde dans une déclaration que l’escalade des combatsentre les forces loyal au Président Salva Kiir et le chef rebelle que Riek Machar a forcé des milliers de civils à fuir pour sauver leurvie, encore une fois.
« Nous rappelons toutes les parties, dans les termes les plus forts, de leurs obligations en vertu du droit Internationalhumanitaire, » a déclaré Franz Rauchenstein, le chef du CICR auSud-Soudan.
« À toutes les fois, ceux qui ne participent pas aux hostilitésdoivent être épargnés et la distinction doit être faite entre lesobjectifs civils et objectifs militaires », dit-il.
Guerre civile du Sud–Soudan a commencé en décembre 2013 etse caractérise par des massacres ethniques, des viols et desattaques contre des civils et des installations médicales.
Les pourparlers de paix en Ethiopie ont jusqu’ici échoué àparvenir à un accord durable, ou même un cessez-le-feu effectif.
Vendredi l’Organisation des Nations Unies a déclaré que jusqu’à100 000 personnes ont été déracinés dans la première semainede mai, après un pic marqué dans les hostilités.
La guerre civile au Sud-Soudan a tué des dizaines de milliers depersonnes et forcé plus de 1 million de chez eux.
