Guinea Bissau is reviewing contracts signed by previous governments as the West African country seeks to ensure miners have sufficient means to kick-start its $2 billion economy, its prime minister told Reuters.
Domingos Simoes Pereira, elected at polls a year ago that sealed a transition back to democracy after a 2012 coup, said the review was also aimed at diversifying investment in services such as maritime transport and telecoms, dominated by former colonial power Portugal.
Today, we want to bring clarity to all contracts that risk posing problems
Fishing and timber contracts would also be analysed to ensure sustainability for resources, he said.
Most of Guinea-Bissau’s roughly $250 million in exports come from fish and cashew nuts, though the government aims to develop its bauxite and phosphate sectors.
The government wants to encourage investment as the country of 1.7 million people seeks to shed its image as a cocaine transit point between South America and Europe.
“Today, we want to bring clarity to all contracts that risk posing problems,” the prime minister said in an interview.
“For some, there will be audits, for others an inspection by the finance ministry will be enough,” he added.
The prime minister wants to ensure that contracts ensure a fair return for the country and that the companies awarded them have the means to invest properly.
Political tensions
Russian miner Poto has suspended its extraction of heavy mineral sands from Varela on the north coast of Bissau amid a dispute over tax payments and environmental damage.
Canada’s GB Minerals operates the fledgling Farim phosphate mine in the north, while miner Bauxite Angola has a bauxite project in the southeast at Boe.
Guinea-Bissau’s main port is operated by Portugal’s Tertir Group and its main telecoms company is controlled by Portugal Telecom.
The main port in the capital Bissau is small and some cargoes can only be delivered at high tide.
“I had a meeting with Portugal’s prime minister and I explained simply that we need to open these sectors to competition,” Pereira said.
Economic growth this year is expected to nearly double from 2014 to 4.7 percent, according to the International Monetary Fund.
Donors pledged more than 1 billion euros at a conference in Brussels in March to support a 10-year development programme aimed at giving Guinea Bissau a fresh start.
Pereira said the government will prioritise improving infrastructure in the south, reviving a deep sea port project at Buba and a railway linking it to a bauxite mine in Boe.
Since Guinea-Bissau won independence in 1974, no elected government or president has completed a mandate, sapping economic development.
While confidence in institutions is growing, diplomatic and political sources express concerns about tensions between Simoes Pereira and President Jose Mario Vaz, former rivals for the PAIGC party leadership in 2014.
Unlike many African countries where the president is supreme, the semi-presidential Portuguese system leaves considerable overlap in their duties.
“Certain officials have expressed their concern about the coordination difficulties that exist between us. Yes, discussions are happening,” said Pereira, seated beneath a framed photograph of Vaz in his office.
He said that the PAIGC, which fought for independence against Portugal between 1960-1974, planned a party convention this year to address tensions.
FRENCH VERSION
Domingos Simoes Pereira, élus lors de sondages il y a un an qui ascellé une transition vers la démocratie après un coup de 2012, a déclaré que l’examen visait également à diversifier lesinvestissements dans les services tels que le transport maritime etdes télécommunications, dominées par l’ancienne puissancecoloniale Portugal.
Aujourd’hui, nous voulons faire la lumière à tous les contrats quele risque qui posent des problèmes
Contrats de bois et de la pêche devaient également être analysésafin d’assurer la durabilité des ressources, dit-il.
Plus d’environ $ 250 millions la Guinée-Bissau en exportationsviennent de poisson et noix de cajou, bien que le gouvernementvise à développer ses secteurs bauxite et de phosphate.
Le gouvernement veut encourager les investissements comme lepays de 1,7 millions de personnes cherche à débarrassée de sonimage comme une cocaïne transit point entre l’Europe etl’Amérique du Sud.
« Aujourd’hui, nous voulons apporter clarté à tous les contratsqui risquent de poser des problèmes, » le premier ministre a déclaré dans une interview.
« Pour certains, il y aura des vérifications, pour d’autres uneinspection par le ministère des finances sera suffisant, » a-t-ilajouté.
Le premier ministre veut s’assurer que les contrats s’assurer unrendement équitable pour le pays et que les compagnies leur a accordé ont les moyens d’investir correctement.
Tensions politiques
Mineur russe Poto a suspendu son extraction de sables minérauxlourds de Varela sur la côte nord de Bissau, au milieu d’undifférend sur les paiements d’impôts et de dommages àl’environnement.
Minéraux GB du Canada exploite le phosphate de Farimnaissante mine dans le Nord, tandis que le mineur BauxiteAngola a un projet de mine de bauxite dans le sud-est à la Boe.
Le port principal de la Guinée-Bissau est exploité par le groupeTertir du Portugal et sa société de télécommunications principaleest contrôlée par Portugal Telecom.
Le principal port de la capitale Bissau est petit et certainescargaisons ne peuvent être livrés qu’à marée haute.
« J’ai eu une réunion avec le premier ministre portugais et je lui aiexpliqué simplement que nous devons ouvrir ces secteurs à laconcurrence », a déclaré Pereira.
Croissance économique cette année devrait presque doubler àpartir de 2014 à 4,7 %, selon le Fonds monétaire International.
Les donateurs ont promis plus de 1 milliard d’euros lors d’uneconférence à Bruxelles en mars pour soutenir un programme dedéveloppement décennal visant à donner aux Guinéens unnouveau départ.
Pereira, a déclaré que le gouvernement privilégiera l’améliorationdes infrastructures dans le sud, renouant avec un projet de portde mer profonde à Buba et un chemin de fer reliant à unebauxite mine à Boe.
Depuis la Guinée-Bissau a gagné l’indépendance en 1974, aucungouvernement élu ou le Président n’a terminé un mandat, sape ledéveloppement économique.
Alors que la confiance dans les institutions est de plus en plus,des sources diplomatiques et politiques expriment desinquiétudes sur les tensions entre Simoes Pereira et le PrésidentJose Mario Vaz, anciens rivaux pour la direction du parti PAIGCen 2014.
Contrairement à nombreux pays africains où le Président estsuprême, le système semi-présidentiel portugais laisse unchevauchement considérable dans leurs fonctions.
“Certains responsables ont exprimé leur préoccupation quant auxdifficultés de coordination qui existe entre nous. Oui, desdiscussions sont passent,”a déclaré Pereira, assis sous une photoencadrée de Vaz dans son bureau.
Il dit que le PAIGC, qui a combattu pour l’indépendance contre lePortugal entre 1960 et 1974, envisage à un congrès du parti cetteannée aux tensions de l’adresse
