An Eritrean diplomat from the Red Sea state’s mission to the African Union is seeking asylum in Ethiopia, state-run media said, citing rights abuses at home.
Mohammed Idris, a member of the ruling People’s Front for Democracy and Justice (PFDJ), had served with Eritrea’s diplomatic mission in Addis Ababa for the past five years, the Ethiopian Broadcasting Corporation (EBC) said in a report.
“A people that for a long time fought for justice and freedom are now being subjected to injustice,” Mohammed told the outlet on Tuesday. “This forced me to take this decision.”
Rights groups and critics accuse Eritrea of rights abuses, including imposing indefinite military service with poor pay. Many of those fleeing the country, which won independence from Ethiopia in 1993 after a 30-year war, say they are escaping conscription.
In February, an interim report of a UN inquiry said Eritrea was ignoring human rights laws and exerting pervasive state control and ruthless repression on its population.
Humanitarian groups say Eritreans make up the second-largest group of migrants to reach Italy by boat after Syrians, often braving the perilous crossing of the Mediterranean on rickety, overcrowded boats that claimed around 3 000 lives last year.
The war between Ethiopia and Eritrea from 1998 to 2000 killed more than 70 000, analysts say.
Eritrea wants Ethiopia to pull its troops out from disputed territory before normalising ties, citing a decision by a Hague-based boundary commission which awarded the village of Badme to Eritrea in 2002. Ethiopia says the row over border demarcation can only be resolved through a negotiated settlement.
FRENCH VERSION
Mohammed Idris, membre du parti au pouvoir les gens Frontpour la démocratie et la Justice (FPDJ), avait servi avec la missiondiplomatique de l’Érythrée à Addis-Abeba depuis cinq ans,l’éthiopien Broadcasting Corporation (EBC) selon un rapport.
« Un peuple qui a longtemps lutté pour la justice et la libertésont maintenant soumis à l’injustice, » Mohammed dit la prisemardi. « Cela m’a forcé à prendre cette décision. »
Les critiques et les groupes de droits accusent l’Érythréed’atteintes aux droits, y compris imposer indéfinie servicemilitaire payé pauvres. Beaucoup de ceux qui fuient le pays, qui a gagné l’indépendance de l’Ethiopie en 1993 après une guerre de30 ans, disent qu’ils échappent à la conscription.
Responsables Érythréens n’était pas immédiatement accessiblepour commenter le cas de Idris. Mais le gouvernement d’Asmararégulièrement nie les accusations d’atteintes aux droits humainset a dans le service militaire long blâmé antérieur sur undifférend frontalier non résolu avec l’Éthiopie.
Groupes humanitaires dire que érythréens forment le deuxièmegroupe de migrants pour atteindre l’Italie par bateau aprèssyriens, souvent bravant la périlleuse traversée de laMéditerranée sur des bateaux rachitiques, surpeuplés qui a coûtéenviron 3 000 vie l’an dernier.
La guerre entre l’Ethiopie et l’Erythrée de 1998 à 2000, a tué plusde 70 000, estiment les analystes.
L’Erythrée veut Ethiopie à retirer ses troupes du territoirecontesté avant les normaliser les liens, citant une décision parune commission de délimitation axée sur la Haye qui a attribué levillage de Badme à l’Erythrée en 2002. Éthiopie dit que la lignesur la démarcation de la frontière ne peut être résolue grâce àune solution négociée