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More Than 350 Child Soldiers Released By Central Africa Armed Groups: UNICEF // Plus De 350 Enfants Soldats Libérés En Afrique Centrale Des Groupes Armés : l’UNICEF

More Than 350 Child Soldiers Released by Central Africa Armed Groups: UNICEF

The UN agency estimates that between 6,000 and 10,000 children are held by armed factions. (United Nations Logo)

 Armed groups in strife-torn Central African Republic released 350 child soldiers Thursday, honouring a deal signed with UNICEF, the United Nations children’s agency said.
“After two years of heavy fighting, the release of children by these groups … is a real step towards peace,” said UNICEF’s representative in Bangui, Mohamed Malick Fall.

“This was the start of a process that we hope will result in the release of thousands of children associated with armed groups in the Central African Republic,” said Fall.
The children have already received medical screenings and efforts have begun to provide psychosocial support and to reunite the children with their families, UNICEF said.

Some will be placed in foster care until their families are found.

“Each of them will require extensive support and protection so that they can rebuild their lives and resume their childhood,” Fall added.

The agreement to release them was signed this week during a reconciliation forum in the capital Bangui, backed by UNICEF and its partners with the aim of restoring peace to the country.

The UN agency estimates that between 6,000 and 10,000 children are held by armed factions in the impoverished country long riven by coups, army mutinies and insurgency.

The children involved in the armed groups include those serving as combatants, those used for sexual purposes as well as those working in roles such as cooks and messengers.

The country’s latest coup was launched by the largely Muslim Seleka rebel alliance in 2013, ousting president Francois Bozize.

But some of the Seleka rebels went rogue, and embarked on a killing, raping and looting spree.

In response, Christian communities formed “anti-balaka” – or anti-machete – vigilante forces who hunted down Muslims in revenge attacks.

Many regions remain affected by lawlessness, with around 50,000 people forced to flee to neighbouring countries and another 20,000 displaced inside the country since last December.

Since December 2013, nearly 900,000 people have been displaced.

Lack of funds

About half the population of 4.6 million people lives in severe poverty and needs humanitarian aid, according to the UN, which warned in late April that it had received only a fraction of the funds needed to address the crisis.

It said Central African Republic must be prevented from becoming “a forgotten crisis”.

The transitional government is almost entirely dependent on foreign funds as it faces the difficult task of rebuilding a ruined administration in a country where the economy is in tatters.

The reconciliation forum this week called for upcoming presidential and legislative elections, slated for July and August, to be postponed over “the poor mobilisation of donors to finance the electoral process”.

But several hundred people, some in military uniforms, demonstrated in the capital Tuesday against the recommendations.

The country has also been rocked recently by allegations that French soldiers sent to keep the peace sexually abused hungry children in exchange for food.

France’s state prosecutor said last week that 14 soldiers had been placed under investigation accused of carrying out the abuse between December 2013 and June 2014.

FRENCH VERSION
Plus de 350 enfants soldats libérés en Afrique centrale desgroupes armés : l’UNICEF
L’Agence de l’ONU estime qu’entre 6 000 et 10 000 enfants sontdétenus par des factions armées. (Logo de l’Organisation des Nations Unies)
Des groupes armés en République centrafricaine déchiré a libéré350 enfants soldats jeudi, honorer un accord signé avec l’UNICEF,l’Agence des Nations Unies pour l’enfance a déclaré.
« Après deux ans de combats acharnés, la libération des enfantspar ces groupes est une réelle avancée vers la paix, “a déclaré lereprésentant de l’UNICEF à Bangui, Mohamed Malick Fall.
« Ce fut le début d’un processus qui nous l’espérons aboutira à lalibération de milliers d’enfants associés aux groupes armés enRépublique centrafricaine, » a déclaré automne.
Les enfants ont déjà reçu des projections médicales et efforts ontcommencé à apporter un soutien psychosocial et pour réunir lesenfants avec leurs familles, a déclaré l’UNICEF.
Certains seront placé en famille d’accueil jusqu’à ce que leursfamilles sont retrouvent.
« Chacun d’eux nécessitera un support étendu et la protectionafin qu’ils puissent reconstruire leur vie et reprendre leur enfance, » automne ajouté.
L’accord de les libérer a été signé cette semaine lors d’un forumde réconciliation dans la capitale Bangui, soutenu par l’UNICEF etses partenaires dans le but de rétablir la paix dans le pays.
L’Agence de l’ONU estime qu’entre 6 000 et 10 000 enfants sontdétenus par les factions armées dans ce pays longtemps déchirépar les coups, les mutineries de l’armée et les insurgés.
Les enfants impliqués dans les groupes armés comprennent ceuxqui servent comme combattants, ceux qui servent à des finssexuelles ainsi que ceux qui travaillent dans des rôles tels que lescuisiniers et les messagers.
Coup de dernière du pays a été lancé par l’en grande partiemusulmane Nath alliance rebelle en 2013, évinçant le PrésidentFrancois Bozize.
Mais certains des rebelles Nath est allé rogue et s’est lancé dansun meurtre, viol et pillage spree.
En réponse, les communautés chrétiennes forment « anti-balaka » ou anti-machette forces de justicier qui a traqué lesmusulmans à se venger des attaques.
Nombreuses régions restent affectées par l’anarchie, avecenviron 50.000 personnes obligées de fuir vers les pays voisins etun autre 20 000 déplacés à l’intérieur du pays depuis décembredernier.
Depuis décembre 2013, près de 900 000 personnes ont étédéplacées.
Manque de fonds
Environ la moitié de la population de 4,6 millions de personnesvit dans la pauvreté extrême et a besoin de l’aide humanitaire,selon l’ONU, qui a mis en garde fin avril qu’elle avait reçu qu’unefraction des fonds nécessaires pour répondre à la crise.
Il a déclaré que République centrafricaine doit être empêchée dedevenir « une crise oubliée ».
Le gouvernement de transition est presque entièrementdépendant des fonds étrangers, tel qu’il est confronté à ladifficile tâche de reconstruire une ruine de l’administration dansun pays l’économie est en lambeaux.
Le forum de réconciliation cette semaine appelé pour lesprochaines élections présidentielles et législatives, prévues pourjuillet et août, à reporter sur « la mauvaise mobilisation desdonateurs pour financer le processus électoral ».
Mais plusieurs centaines de personnes, certaines en uniformesmilitaires, ont manifesté, dans la capitale, mardi contre lesrecommandations.
Le pays a également été secoué récemment par des allégationsselon lesquelles des soldats Français envoyés pour maintenir lapaix sexuellement abusé des enfants affamés en échange denourriture.
Procureur de l’Etat de la France, a déclaré la semaine dernièreque 14 soldats avaient été mis en examen, accusé de mener àbien l’abus entre décembre 2013 et juin 2014.

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