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AFRIKA HERALD

PRESIDENT BUHARI TO PROBE AMNESTY CLAIMS OF MASS STARVATION, TORTURE BY MILITARY

 Nigerian President Muhammadu Buhari has vowed his new government will investigate the military in response to an extensive Amnesty International Report claiming that thousands of Boko Haram suspects, some as young as nine years old, were tortured, starved, or extrajudicially executed in the past five years.

“I assure you that your report will be looked into,” Nigerian media quote Buhari as statingin response to the report. The remarks were relayed to the press from Senior Special Assistant (Media & Publicity), Garba Shehu, who is currently in Niger with Buhari on a diplomatic trip. “Respect for human rights and adherence to the rule of law are the life and soul of the democratic system,” Buhari reportedly said, adding, “We will not tolerate or condone impunity and reckless disregard for human rights.”

The Amnesty report, titled “Stars on Their Shoulders. Blood on Their Hands: War Crimes Committed by the Nigerian Military,” alleges that more than 7,000 “young men and boys” have been killed in military operations, mostly against the jihadist terror group Boko Haram, which has since renamed itself the Islamic State West Africa Province. In addition, the report claims that more than 8,000 people have been “murdered, starved, suffocated, and tortured to death.”

Amnesty alleges that the Nigerian military’s own statistics show that 20,000 men and boys have been arrested since 2009 for having ties to Boko Haram, most either rounded up in large raids in which hundreds were arrested, or arrested individually after being accused by one “secret informant.” They also claim a major human rights violation occurred on March 14, 2014, after 640 prisoners were killed at the Giwa barracks while attempting to escape. Boko Haram had attacked the barracks with the intention of liberating their members. Boko Haram attacked the barracks again two months later.

The International Criminal Court has announced it will investigate the claims.

While Amnesty has managed to estimate the death toll of alleged crimes by the Nigerian military, there are few reliable estimates of how many people have died at the hands of Boko Haram. In October 2014, The Washington Post estimated that 29,600 Nigerians had been killed in Boko Haram attacks since 1998. One month later, national news outlet News24 estimated that 100,000 had died since 2011, when Boko Haram began ravaging northeastern Nigeria. Both these estimates were published after Boko Haram’s largest massacre to date occurred in January 2015, where an estimated 2,000 people were killed in one day.

President Buhari, currently in Niger to discuss military coordination with the border nation and the repatriation of Nigerian refugees who have fled to Niger, vowed once againto eradicate the terrorist threat during his newly-minted tenure. “I renew my commitment to track Boko Haram into a corner, to destroy it. Five years of the presence of this evil sect is enough,” he said. He also stated that he believed many Nigerien troops would be ready to return home in the coming months, and Nigerian soldiers took their places in towns and villages reclaimed from Boko Haram.

FRENCH VERSION

Le Président nigérian Muhammadu Buhari a juré à que sonnouveau gouvernement étudiera les militaires en réponse à unvaste rapport d’Amnesty International affirmant que des milliersde personnes soupçonnées de Boko Haram, certains n’ont quecomme neuf ans, ont été torturés, affamés ou des exécutionsextrajudiciaires au cours des cinq dernières années.
« Je vous assure que votre rapport sera examinée, » les médiasnigérians cite Buhari comme statingin réponse au rapport. Lesremarques ont été transmises à la presse d’adjoint spécialprincipal (médias & publicité), Garba Shehu, qui est actuellementau Niger avec Buhari lors d’un voyage diplomatique. « Le respectdes droits de l’homme et de respect de la primauté du droit sontla vie et l’âme du système démocratique, » Buhari a censémentdit, ajoutant, « Nous ne seront pas tolérer ou tolérer l’impunité etle mépris délibéré des droits de l’homme ».

Le rapport d’Amnesty, intitulé “étoiles sur leurs épaules. Sang surleurs mains : Crimes de guerre commis par les militairesnigérians, “affirme que plus de 7 000“jeunes hommes et lesgarçons”ont été tués dans des opérations militaires, surtoutcontre le groupe terroriste djihadiste Boko Haram, qui s’estrebaptisé depuis la Province d’Afrique de l’Ouest État islamique.En outre, le rapport affirme que plus de 8.000 personnes ont été« assassinés, affamés, étouffés et torturés à mort. »

Amnesty affirme que les statistiques de l’armée nigérianemontrent que 20 000 hommes et garçons ont été arrêtés depuis2009 pour avoir des liens avec Boko Haram, la plupart soitarrondi vers le haut en grand RAID dans lequel des centaines ont été arrêtés ou arrêtés individuellement après avoir été accusé parun « informateur secret. » Ils prétendent également uneimportante violation des droits de l’homme a eu lieu le 14 mars2014, après 640 prisonniers ont été tués à la Giwa caserne alors qu’ils tentaient de s’échapper. Boko Haram avait attaqué lacaserne avec l’intention de libérer leurs membres. Boko Haramont attaqué la caserne située à nouveau deux mois plus tard.

La Cour pénale internationale a annoncé qu’il étudiera lesdemandes.

Alors que l’amnistie a réussi à estimer le nombre de victimes decrimes présumés de l’armée nigériane, il y a peu d’estimationsfiables de combien de personnes est mortes aux mains de BokoHaram. En octobre 2014, The Washington Post estime que 29600 nigérians avaient été tués dans des attaques de Boko Haramdepuis 1998. Un mois plus tard, prise de nouvelles nationalesNews24 estime que 100 000 étaient morts depuis 2011, lorsqueBoko Haram a commencé à ravager le nord-est du Nigeria. Les deux ces estimations ont été publiées après que le massacre deplus de Boko Haram à ce jour a eu lieu en janvier 2015, environ 2 000 personnes ont été tuées en une seule journée.

Le Président Buhari, actuellement au Niger pour discuter de lacoordination militaire avec le pays frontaliers et le rapatriementdes réfugiés Nigérians qui ont fui au Niger, s’est engagé une foisagainto éradiquer la menace terroriste au cours de son mandatnouvellement frappées. “Je renouvelle mon engagement à suivreles Boko Haram dans un coin, de le détruire. Cinq ans de laprésence de cette secte maléfique est suffisant,”dit-il. Il aégalement déclaré qu’il croyait beaucoup des soldats nigériensserait prêts à rentrer chez eux dans les prochains mois, et lessoldats nigérians prennent leur place dans les villes et villages deBoko Haram

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