Nigeria’s former Finance Minister Ngozi Okonjo-Iweala said her successor will face a “difficult” year because of plunging oil revenues and the economy needs expert management to weather the storm.
“We have a serious situation with a cash crunch,” she said in an interview in Cape Town at the World Economic Forum on Africa. “But fundamentally, the economy is strong. If we can get through the cash crunch, manage the way through, build on some of the assets we have, by next year, things will be better.”
Africa’s biggest oil producer is struggling in the face of a 40 percent slump in crude prices in the second half of last year, which forced authorities to scale back budgeted spending and devalue the currency as foreign-currency reserves fell. The government relies on oil for about 70 percent of its income.
The next finance minister needs to focus on “a strong policy, the fiscal consolidation path that we have and looking toward diversification of revenue resources,” Okonjo-Iweala said.
President Muhammadu Buhari, who was sworn into office last week, has yet to appoint his cabinet. Okonjo-Iweala, a former managing director of the World Bank, was finance minister under Goodluck Jonathan from 2011.
The economy is forecast by the International Monetary Fund to expand 4.8 percent this year, down from 6.3 percent in 2014.
Okonjo-Iweala, 60, said she plans to take a break until August and will then consider her career options.
“There are so many offers,” she said. “From international to the African Union and the private sector. But I want control over myself. I’m likely to do something that gives me freedom.”
FRENCH VERSION
« Nous avons une situation grave avec une crise de liquidités »,dit-elle dans une interview au Cap lors du Forum économiquemondial sur l’Afrique. “Mais fondamentalement, l’économie estforte. Si nous pouvons traverser la crise de trésorerie, gérer lechemin à travers, s’appuient sur certains des biens que nousavons, dès l’année prochaine, les choses seront mieux.”
Plus grand producteur de pétrole de l’Afrique est mal face à unebaisse de 40 pour cent dans les prix du pétrole brut dans laseconde moitié de l’année dernière, qui a contraint les autorités àescamoter budget dépenses et dévaluer la monnaie commeréserves de change est tombé. Le gouvernement s’appuie surl’huile pour environ 70 pour cent de son revenu.
Le prochain ministre des Finances doit se concentrer sur “unepolitique forte, la voie de l’assainissement des finances publiquesque nous avons et regardant vers la diversification des ressourcesde revenus”, a déclaré Okonjo-Iweala.
Le Président Muhammadu Buhari, qui avait prêté serment lasemaine dernière, doit encore désigner son cabinet. Okonjo-Iweala, ancien directeur général de la Banque mondiale, a étéministre des Finances sous Goodluck Jonathan de 2011.
L’économie est prévu par le Fonds monétaire Internationald’élargir à 4,8 pour cent cette année, vers le bas de 6,3 % en2014.
Okonjo-Iweala, 60, a déclaré qu’elle envisage de prendre unepause jusqu’en août et envisagera alors son choix de carrière.
« Il y a tant d’offres », dit-elle. “De l’internationale de l’Unionafricaine et le secteur privé. Mais je veux contrôle sur moi-même.Je suis susceptible de faire quelque chose qui me donne la liberté. »