Wall Street took a cautious approach to mostly positive US economic data last week, bidding stocks lower on concerns about Greece and the prospects of tightening US monetary policy.
For the week, the Dow Jones Industrial Average dropped 161.22 points (0.90%) at 17 849.46.
The broad-based S&P 500 shed 14.56 (0.69%) to 2 092.83, while the tech-rich Nasdaq Composite Index slipped 1.57 (0.03%) to 5 068.46.
Analysts kept an eye on other markets that experienced greater volatility compared with to stocks. The 10-year US Treasury market finished last week at 2.41% late on Friday, up from 2.10% a week ago.
International leaders
A portfolio strategist at Ventura Wealth Management, Tom Cahill, said: “There’s been more volatility in the commodities, the currency, the bond markets than in the US stock market and there is the concern that volatility may come back in line by way of the US stock markets correcting more.”
Stocks were also shadowed by the seemingly endless talks between Greece and international lenders. The International Monetary Fund agreed to let Greece bundle a series of payments totalling €1.6bn until the end of the month, to buy time to complete negotiations.
However, Greek Prime Minister Alexis Tsipras late on Friday called on creditors to drop “absurd” demands on the debt-wracked country.
“The deadline is quickly approaching for Greece and that’s going to come to a head soon,” said Jack Ablin, chief investment officer at BMO Private Bank.
A torrent of economic news culminated in Friday’s jobs report, which showed the US economy added a surprisingly lofty 280 000 jobs in May amid solid wage growth.
Reports earlier in the week included a big drop in the US trade deficit in April, slower growth in the US services sector in May and a jump in consumer sentiment.
Tepid outlook
US auto sales surprised by increasing in May, and the Fed’s “Beige Book” reported better growth in April and May after the economy stalled in the first quarter of the year.
Ablin said the overall tone suggests the “first quarter pullback was temporary,” but that the good news does not necessarily bode well for stocks.
“The bottom line on US equities is we’ve got an expensive market that’s being fueled by Fed liquidity and so any prospects of having the Fed turn down the spigot is a threat to equity values,” Ablin said.
The week’s most downcast report came from the International Monetary Fund, which projected the US economy would grow only 2.5%, compared to the fund’s previous forecast of 3.1% growth.
The tepid outlook was accompanied by a plea from IMF chief Christine Lagarde that the Fed hold off on a rate hike, which has been anticipated for as early as July, saying growth conditions are not yet firm enough for it.
FRENCH VERSION
Pour la semaine, le Dow Jones Industrial Average a abandonné161,22 points (0,90 %) à 17 849.46.
La large assise S & P 500 hangar 14,56 (0,69 %) à 2 092.83, tandis que l’Indice Composite du Nasdaq tech-rich a glissé 1,57 (0,03 %)à 5 068.46.
Les analystes gardé un œil sur d’autres marchés qui ont connu laplus forte volatilité comparée aux stocks. Le marché de bons du Trésor américain de 10 ans fini tard le vendredi, la semainedernière à 2,41 % de 2,10 % il ya une semaine.
Chefs de file internationaux
Un stratège de portefeuille à Ventura, gestion du patrimoine,Tom Cahill, a déclaré: “il y a eu plus de volatilité dans les produits de base, la monnaie, les marchés obligataires que dans le marchéboursier américain et on le craint que la volatilité peut revenir enligne au moyen des corriger davantage les marchés boursiersaméricains”.
Les stocks ont été également assombri par les interminablesdiscussions entre la Grèce et les bailleurs de fondsinternationaux. Le Fonds monétaire International a accepté delaisser la Grèce regrouper une série de paiements d’un montant total de €1 milliards jusqu’à la fin du mois, pour gagner du tempsaux négociations complètes.
Cependant, premier ministre grec Alexis Tsipras tard le vendrediappelé les créanciers à déposer des demandes « absurdes » sur lepays ravagé à la dette.
« La date limite approche rapidement pour la Grèce et qui vavenir bientôt, à une tête » dit Jack Ablin, officier chef desplacements à BMO Private Bank.
Un torrent de nouvelles économiques ont abouti au rapport surl’emploi de vendredi, qui a montré que l’économie américaine aajouté un étonnamment nobles 280 000 d’emplois en mai au milieu de la croissance des salaires solide.
Rapports en début de semaine inclus une grosse chute dans ledéficit commercial américain en avril, ralentissement de lacroissance dans le secteur des services américains en mai et unsaut dans la confiance des consommateurs.
Outlook tiède
US auto ventes surpris en augmentant en mai, et de la Fed « livreBeige » ont entraîné une meilleure croissance en avril et en maiaprès que l’économie au point mort au premier trimestre del’année.
Ablin dit le ton général suggère au “premier trimestre recul étaittemporaire”, mais que les bonnes nouvelles nécessairementaugure mal pour les stocks.
« La ligne de fond sur les actions américaines est que nous avonsun marché cher qui est alimenté par des liquidités de la Fed etdonc toute perspective d’avoir la Fed baisser l’assise est unemenace pour les valeurs de l’équité », a déclaré Ablin.
Rapport plus baissé de la semaine est venu du Fonds monétaireInternational, qui a projeté l’économie américaine augmenteraitseulement 2,5 %, par rapport aux prévisions précédentes du Fonds de croissance de 3,1 %.
Les perspectives tiède était accompagné d’un plaidoyer de IMFchef Christine Lagarde que la Fed tenir au loin sur une hausse destaux, qui a été prévue pour, dès juillet, disant : les conditions decroissance ne sont pas encore assez pour qu’il ferme.
