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December 21, 2024
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Union Power Play Must Not Stymie Gold-sector Pay Deal // Syndicat Power Play Doit Bloquer Pas Pay Or-Secteur Deal

Wage talks in the gold-mining sector this week between the Chamber of Mines and unions could not be more important, both for the industry and the broader economy.

Although violence has been notably absent in the gold sector, there are some parallels with events on the platinum belt more than 18 months ago, when negotiations broke down, leading to a crippling five-month strike that shaved billions of rands from our GDP.

Intense rivalry between major unions the National Union of Mineworkers (NUM) and the upstart Association of Mineworkers and Construction Union (Amcu) complicated wage negotiations in the platinum sector and the same is happening now in the gold-mining industry.

As in the platinum talks, in which Amcu, the dominant union in the sector, demanded a monthly wage of R12 500, rivalry between it and the NUM on the goldfields has led to salary-hike demands ranging from 80% to more than 100%.

A proposal by the Chamber of Mines for a social compact with gold miners, including a profit-sharing scheme that would benefit workers when the gold price went up – but would entail them ”sharing the pain” when it dropped – has been given short shrift by the two unions.

But the reality is that the unions’ demands are simply not affordable. Gold mining here has been in the doldrums for decades. The country now produces only about 6% of the world’s gold, from 64% in 1983, because of the increasingly prohibitive costs of deep-level mining, high labour and electricity costs, and intense competition from abroad.

Though gold’s contribution to our GDP has declined to only 2%, the sector remains critical to the broader economy, secondary industries and local mining communities.

It is to be hoped that the unions adopt a more pragmatic attitude during the talks – if only for the sake of the 130 000 workers who continue to make a living from the gold mines.

FRENCH VERSION

Négociations salariales dans le secteur de l’extraction de l’orcette semaine entre la Chambre des Mines et syndicats n’a paspeuvent être plus importantes, à la fois pour l’industrie etl’économie en général.

Bien que la violence ait été absente notamment dans le secteuraurifère, il y a certaines similitudes avec les événements sur lacourroie platine plus de 18 mois, lorsque les négociations ont étérompues, conduisant à une grève de cinq mois paralysante quirasé milliards de rands de notre PIB.

Rivalité entre grands syndicats l’Union nationale des mineurs(NUM) arriviste Association des mineurs et la Construction Union(serrer) complique les négociations salariales dans le secteur de la platine et la même chose qui se passe actuellement dansl’industrie de l’extraction de l’or.

Comme dans les pourparlers de platine, dans laquelle le serrer,l’union dominante dans le secteur, a exigé un salaire mensuel de500 R12, rivalité entre elle et le NUM sur les champs aurifères aconduit aux exigences salariales-randonnée entre 80 % et plusde 100 %.

Une proposition de la Chambre des Mines pour un pacte socialavec les chercheurs d’or, y compris un régime de participation aux bénéfices qui bénéficierait aux travailleurs lorsque le prix del’or a augmenté mais entraînerait leur ” partage la douleur ”quand il a chuté a été pris en défaut par les deux syndicats.

Mais la réalité est que les revendications des syndicats ne sonttout simplement pas abordables. Gold mining ici a été dans lemarasme depuis des décennies. Le pays maintenant produitqu’environ 6 % de l’or du monde, passant de 64 % en 1983, à cause de plus en plus prohibitifs des niveaux profonds minières,des coûts élevés du travail et de l’électricité, les frais intenseconcurrence de l’étranger.

Bien que la contribution de l’or à notre PIB a diminué deseulement 2 %, le secteur demeure essentiel à l’économie engénéral, les industries secondaires et les communautés minièreslocales.

Il est à espérer que les syndicats adoptent une attitude pluspragmatique au cours des pourparlers si seulement pour lebien de la 130 000 travailleurs qui continuent à gagnent leur viedepuis les mines d’or.

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