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November 7, 2024
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GUINEA REFUSED MEDICAL CARE FOR MALARIA FEARING EBOLA QUARANTINE // LA GUINÉE A REFUSÉ DES SOINS MÉDICAUX POUR LE PALUDISME CRAIGNANT DE QUARANTAINE DE VIRUS EBOLA

A new study has found that, in addition to causing thousands of deaths and continuing nearly unabated in parts of West Africa, the Ebola virus has resulted in at least 74,000 cases of malaria going untreated, with those infected too fearful of being quarantined for Ebola to seek medical care.

According to a new study published in The Lancet, the number of people dying of malaria in Guinea may exceed the 2,444 Ebola deaths in that nation soon, should the disease continue to spread without treatment. An accurate estimate of the number of people who died of malaria in 2014 has yet to be released, largely due to lack of treatment and resources rerouted to fight Ebola. The 74,000 people who did not seek treatment for malaria largely avoided it, the study argues, because malaria symptoms appear similar to those of Ebola, particularly the high fever, and infected persons feared being quarantined for Ebola without being tested.

The number of cases of malaria treated by medical professionals in Guinea dropped 69% in the past year. The number of people seeking treatment at clinics dropped up to 42%.

The fear of being sent to an Ebola treatment center represents compounded fears of various potential negative consequences, from being quarantined with a disease the patient does not have to contracting the disease while in quarantine with actual Ebola patients. “Since the start of the Ebola epidemic people with fevers have avoided clinics for fear of contracting Ebola or being sent to an Ebola treatment centre,” said Dr. Mateusz Plucinski, the study’s lead author.

Being misdiagnosed with Ebola could not only result in contracting Ebola from others in quarantine, but in going without treatment for another deadly disease, resulting in the same worst case scenario as not receiving treatment at all. It is believed that a number of people in Guinea, Sierra Leone, and Liberia died of unrelated diseases while being quarantined for Ebola at the height of panic regarding the outbreak. Ebola, as the researchers warn, is easy to misdiagnose, as it produces flu-like symptoms. The first American to die during the Ebola outbreak, 24-year-old Nathaniel Dennis, fell into a fatal coma after suffering a seizure, but rather than receiving neurological treatment, he died quarantined at an Ebola center.

The World Health Organization is recommending all Ebola treatment facilities also equip themselves with medical technology to combat Ebola and treat the diseases simultaneously to avoid misdiagnoses and potential malaria outbreaks. This coincides with recommendations in The Lancet study, which reads, “Efforts to reinforce malaria care delivery in Guinea should be focused on reconnecting healthcare workers and health facilities with the communities they serve and whose trust they need to regain.”

The news of malaria presenting a significant danger to Guinea does not mean doctors are no longer expected to focus on Ebola or that the Ebola outbreak has concluded. Guinea is experiencing a rise in Ebola cases after a drop that made many medical professionals optimistic. Officials are citing a combination of free travel within the country and disregard for safe burial practices as contributing factors to the resurgence of the disease. “People who have come into contact with Ebola but have not been identified, they go to another village and only then develop the symptoms of Ebola and then contaminate others,” Guinea Ebola response worker, Dr. Amadou Talibe, told the Associated Press.

Sierra Leone’s capital, Freetown, diagnosed three cases of Ebola on June 17, after nearing the 21-day deadline to be declared Ebola-free. Six individuals not exhibiting Ebola symptoms, but who came in contact with the new patients, have been quarantined.

FRENCH VERSION

Une nouvelle étude a constaté que, en plus de causer des milliersde décès et en continuant avec presque la même intensité danscertaines régions d’Afrique de l’Ouest, le virus Ebola a donné lieuau moins 74 000 cas de paludisme va non traitées, avec despersonnes infectées trop peur d’être mis en quarantaine pourEbola à obtenir des soins médicaux.

 

Selon une nouvelle étude publiée dans The Lancet, le nombre depersonnes meurent du paludisme en Guinée peut dépasser les 2444 morts d’Ebola dans ce pays bientôt, la maladie devraitcontinuer de se propager sans traitement. Une estimationprécise du nombre de personnes qui sont mortes du paludismeen 2014 n’a pas encore d’être libéré, en grande partie en raisonde l’absence de traitement et de ressources reroutés pour lutter contre le virus Ebola. Les 74 000 personnes qui ne cherchent pasde traitement contre le paludisme en grande partie évitaient,l’étude fait valoir, car le paludisme symptômes semblables à ceuxdu virus Ebola, notamment la forte fièvre, et personnes infectéescraint mis en quarantaine pour Ebola sans mis à l’essai.

Le nombre de cas de paludisme traitée par des professionnels de la santé en Guinée a chuté de 69 % l’an dernier. Le nombre depersonnes qui demandent un traitement cliniques a chuté de 42 %.

La crainte d’être renvoyés à l’Ebola, centre de traitementreprésente aggravé les craintes diverses conséquences négativespotentielles, de mis en quarantaine avec une maladie, que lepatient n’a pas à contracter la maladie alors que dans laquarantaine avec réelles patients Ebola. “Depuis le début del’Ebola épidémiques personnes avec fièvres ont évité cliniquespar crainte de contracter Ebola ou être envoyé à un centre detraitement de virus d’Ebola,” a déclaré le Dr Mateusz Plucinski,auteur principal de l’étude.

Être mal diagnostiqués avec le virus Ebola pas seulementpourrait contractantes Ebola d’autres personnes en quarantaine,mais en mer sans traitement pour une autre maladie mortelle, ce qui dans le pire des cas même comme ne pas soignés du tout.On croit qu’un certain nombre de personnes en Guinée, en SierraLeone et Libéria meurt de maladies indépendants tout en étantmis en quarantaine pour Ebola au plus fort de la panique au sujet de l’épidémie. Ebola, dès lors les chercheurs avertissent estfacile de mal diagnostiquer, car elle produit des symptômespseudo-grippaux. Le premier américain à mourir au cours del’épidémie d’Ebola, 24-year-old Nathaniel Dennis, est tombédans un coma fatal après avoir souffert d’une crise d’épilepsie,mais plutôt que de recevoir le traitement neurologique, il mouruten quarantaine dans un centre d’Ebola.

L’Organisation mondiale de la santé recommande que toutes lesinstallations de traitement d’Ebola aussi se doter d’unetechnologie médicale pour lutter contre les virus Ebola et traiterles maladies en même temps afin d’éviter des échogrammes etéventuelles flambées de paludisme. Cela coïncide avec lesrecommandations formulées dans l’étude de la revue The Lancet,qui se lit, « Efforts visant à renforcer la prestation de soins contre le paludisme en Guinée devrait se concentrer sur la reconnexiondes travailleurs de la santé et les établissements de santé avecles communautés qu’ils desservent et dont ils ont besoin pourretrouver la confiance. »

L’actualité du paludisme présentant un risque important pour laGuinée ne signifie pas les médecins sont censés n’est plus se concentrer sur l’Ebola ou que l’épidémie d’Ebola a conclu. LaGuinée connaît une hausse des cas d’Ebola après une chute qui afait de nombreux professionnels médicaux optimiste. Lesfonctionnaires sont citant une combinaison de voyagergratuitement dans le pays et à l’égard de pratiques funérairessécuritaires comme facteurs contribuant à la résurgence de lamaladie. “Ceux qui est venus en contact avec les virus d’Ebolamais n’ont pas été identifiés, ils vont dans un autre village etensuite développer les symptômes du virus Ebola et ensuitecontaminer d’autres personnes,” travailleur de réponse GuinéeEbola, Dr Amadou Talibe, dit l’Associated Press.

Capitale de la Sierra Leone, Freetown, diagnostiqué trois casd’Ebola le 17 juin, après le délai de 21 jours pour être déclarésindemnes de virus Ebola en voie. Six individus ne présentant pasles symptômes de l’Ebola, mais qui est venu en contact avec lesnouveaux patients, ont été mis en quarantaine.

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