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Why Foreign Investors Choose Morocco Over Algeria for Their Projects in Africa // Pourquoi Les Investisseurs Etrangers Choisissent Maroc Algérie Pour Leurs Projets En Afrique

    :   Born in Kenitra, Morocco and based in Washington, Hassan Masiky (Hassan.masiky@gmail.com) is a Blogger and freelance writer. Hassan is a former spokesman for Amnesty International USA and worked as a consultant for USAID funded democracy projects in Mexico, …
Why Foreign Investors Choose Morocco Over Algeria for Their Projects in Africa

Washington DC – French car maker Peugeot Citroen’s decision to build an assembly plant in Morocco came as a slap in the face for the Algerian authorities. Algeria unsuccessfully lobbied to host the factory in the city of Oran. As French, American and Chinese companies continue to invest in Morocco, Algerian officials have been intensifying their anti-Morocco rhetoric in an effort to distract domestic public opinion from the government’s failures to attract investors and create jobs.

Peugeot Citroen and Renault, another major French car maker, opened factories in Morocco and not Algeria because the Kingdom has a  state of the art port in Tangiers, highways and freight train systems that help in transferring  exportable goods and laws and regulations that protect investors. On the other hand, Algeria doesn’t have ports that will meet international exports demands, lack fitting transportation infrastructures and requires 51% national ownership in multinational ventures.

Morocco, with all its challenges, is an emerging market that will continue to show strong promises. King Mohamed VI personal involvement in outreach efforts made a difference in attracting big name companies and boosting the economic attractiveness of the Kingdom. Foreign-investor interests will likely remain static for the near future as long as the country delivers on the economic and infrastructure undertakings pledged by Rabat.

Peugeot’s decision highlights the Bouteflika government’s incapability to address the countries dire socio-economic situation.  Algeria’s inability to attract foreign investments is a result of years of economic mismanagement by successive incompetent governments and not a Moroccan “plot” as some Algerian officials claim.

As Morocco keep “rejuvenating” its government and boosting its business and entrepreneurship leadership with young, energetic and highly skilled Moroccans, Algeria continues to be governed by Soviet Union-educated politicians and oligarchs in their seventies. It is no surprise that investors from around the world prefer Morocco for their financial services, heavy industry and communication projects.

Algerian governments, past and present, view foreign direct investments in Morocco as “an attack” on them and an attempt by the Kingdom to weaken the Algerian economy. Seldom when Algerian officials self-assess the impact of their archaic financial and labor laws, Soviet era economic policy and endemic corruption on the decision of big companies to set up shop in the Kingdom rather than in Algeria.

The incompetence of the current government of Prime Minister Salal is the true obstacle behind Algiers powerlessness to attract investments. If the military backed government doesn’t address the political impasse facing the nation, including the presidency of an incapacitated President Bouteflika, the Algerian economy will remain a hostage of oil and gas prices. In fact, attracting substantial ventures will remain elusive as long as the politics is dominated by the old guard and the economy is run by the military establishment.

As big multinationals continue to boost their presence in Morocco, Algerian officials persist in their denials of the true reasons behind their neighbor’s success and their own failures. Business leaders make decisions based on sound financial analysis and not on political favors.

Foreign direct investments flow to Morocco because the Kingdom is more attractive than Algeria. Despite Algerian accusations, no amount of bribes or political favoritism will bring foreign direct investment into a country. Morocco lured International corporations by showcasing the country’s infrastructure and promising more liberalization of its economic policies.

Algeria’s economy will take off once the government addresses its s economic shortcomings. Turning Morocco’s diligent efforts to attract investors into a conspiracy doesn’t serve the interests of the Algerian people. In fact, this approach will plunge the country into further economic and political abyss.

FRENCH VERSION

Pourquoi les investisseurs étrangers choisissent Maroc Algériepour leurs projets en Afrique
Washington DC décision de Peugeot Citroen, constructeurautomobile Français de construire une usine d’assemblage auMaroc est venu comme une gifle pour les autorités algériennes.L’Algérie fait pression en vain pour héberger l’usine dans la villed’Oran. Comme Français, américains et chinois les entreprisescontinuent d’investir au Maroc, les responsables algériens ontintensifié leur rhétorique anti-Maroc dans le but de détournerl’opinion publique contre les défaillances du gouvernement pourattirer des investisseurs et créer des emplois.

Peugeot Citroën et Renault, un autre grand Français constructeurautomobile, ouvrent des usines au Maroc et en Algérie pas parce que le Royaume dispose d’un port de pointe à Tanger, lesautoroutes et les systèmes de train de marchandises qui aident àtransférer les biens exportables, les lois et les règlements quiprotègent les investisseurs. En revanche, l’Algérie n’est pas lesports qui satisfera les exportations internationales demandes,manque de mise en place des infrastructures de transport etnécessite l’appropriation nationale de 51 % dans des entreprisesmultinationales.

Avec tous ses défis, le Maroc, est un marché émergent quicontinue d’afficher de fortes promesses. Implication personnelledu roi Mohamed VI dans les efforts de sensibilisation fait unedifférence pour attirer des entreprises de grands noms et dedoper l’attractivité économique du Royaume. Étrangères-investisseur intérêts demeurera probablement statiques pour leproche avenir tant que le pays offre aux entrepriseséconomiques et les infrastructures promises par Rabat.

Décision de Peugeot met en évidence l’incapacité du gouvernement Bouteflika pour répondre à la situation socio-économique désastreuse du pays. Incapacité de l’Algérie pourattirer les investissements étrangers est le résultat d’années demauvaise gestion économique par les gouvernements successifsincompétents et pas un « complot » marocain comme d’aucunsinvoquent des autorités algériennes.

Selon Maroc garder « rajeunissement » de son gouvernement etstimuler ses affaires et le leadership de l’entrepreneuriat avecjeune, énergique et hautement qualifiés marocains, l’Algériecontinue d’être régie par les politiciens formés à l’Unionsoviétique et les oligarques septuagénaires. C’est sans surpriseque les investisseurs du monde entier préfèrent Maroc pour leursservices financiers, de l’industrie lourde et de projets decommunication.

Les gouvernements algériens, passé et présent, voir étrangerdirectement investissements au Maroc comme « une attaque »sur eux et une tentative par le Royaume d’affaiblissement del’économie algérienne. Rarement quand responsables algériensauto évaluer l’impact de leur archaïque financière et la législationdu travail, politique économique de l’ère soviétique et la corruption endémique sur la décision des grandes entreprises demettre en place la boutique au Royaume plutôt qu’en Algérie.

L’incompétence du gouvernement actuel du premier ministreSalal est le véritable obstacle derrière l’impuissance d’Alger pourattirer les investissements. Si la junte soutenue ne traite pasl’impasse politique face à la nation, y compris la présidenced’une incapacité du Président Bouteflika, l’économie algériennerestera otage des prix du pétrole et de gaz. En fait, attirer lesentreprises importantes restera insaisissable tant que la politiqueest dominée par la vieille garde et que l’économie est gérée parl’establishment militaire.

Alors que les grandes multinationales continuent d’accroître leurprésence au Maroc, les responsables algériens persistent dansleur refus des véritables raisons derrière le succès de leur voisinet leurs propres échecs. Les chefs d’entreprise prennent desdécisions fondées sur une analyse financière pertinente et nonsur des faveurs politiques.

Les investissements étrangers directs coulent au Maroc parce que le Royaume est plus attractif que l’Algérie. Malgré lesaccusations algériennes, aucune quantité de pots de vin ou defavoritisme politique n’apportera des investissements étrangersdirects dans un pays. Maroc attirés sociétés internationales enprésentant l’infrastructure du pays et en promettant plus delibéralisation de ses politiques économiques.

L’économie de l’Algérie prendra son envol une fois que legouvernement traite ses faiblesses économiques de s. En tournant les efforts diligents du Maroc pour attirer lesinvestisseurs dans une conspiration ne sert pas les intérêts dupeuple algérien. En fait, cette approche vous plongera le paysdans les abîmes plus économiques et politiques.

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