Brent slid below $60 a barrel for the first time since April amid speculation Greece’s rejection of austerity measures will prompt its exit from the euro area.
Futures dropped as much as 1.6% in London, falling for a second day. Sixty-one percent of voters backed Prime Minister Alexis Tsipras’s rejection of further spending cuts and tax increases. US Secretary of State John Kerry tempered expectations that a nuclear deal with Iran is imminent as diplomats meeting in Vienna work toward a Tuesday deadline.
Oil last week slumped the most since March amid speculation the Greek crisis threatens Europe’s economic stability and growth, prompting investors to eschew riskier assets. Iran, the fourth-largest member of the Organisation of Petroleum Exporting Countries, has estimated it could double crude exports from about 1 million barrels a day within six months of sanctions being lifted.
“We’ve seen a bit of a capitulation in oil,” Ric Spooner, a chief analyst at CMC Markets in Sydney, said by phone. “The situation in Greece has a confidence impact on demand. A nuclear agreement with Iran represents a negative risk event for oil in terms of the possible significant increase in supply.”
Greek exit
Brent for August settlement declined as much as 97 cents to $59.35 a barrel on the London-based ICE Futures Europe exchange and was at $59.77 at 11:45 Singapore time. The contract lost 4.7% last week. The European benchmark traded at a premium of $4.75 to West Texas Intermediate, the US marker grade.
WTI for August delivery dropped as much as $2.49, or 4.4%, to $54.44 a barrel from the close on July 2 in electronic trading on the New York Mercantile Exchange. There was no floor trading on Friday because of the Fourth of July holiday and transactions will be booked on Monday for settlement purposes. Total volume was more than twice the 100-day average.
The Greek voting result reverberated quickly across Europe’s political establishment. Within hours of the first projections, German Chancellor Angela Merkel and French President Francois Hollande called for a summit of euro-area leaders on Tuesday, with banks including JPMorgan Chase & Co saying a Greek departure from the euro is now the most probable scenario.
Nuclear talks
In Vienna, Kerry told reporters on Sunday that while progress continues to be made on a nuclear agreement, “we are not yet where we need to be on several of the most difficult issues.” The talks may extend a day or two beyond Tuesday’s deadline, Iran’s Fars news agency reported, citing a senior diplomat.
Iran remains a long way off from selling more crude, according to Goldman Sachs Group, Bank of America and Societe Generale. Its goal of boosting exports by 50% would require an extra 500 000 barrels a day of production, which the banks predicted will take six to 12 months as the nation revives aging oil wells.
FRENCH VERSION
Contrats à terme a chuté autant que de 1,6 % à Londres,tombant pour une deuxième journée. Soixante pour cent desélecteurs soutenu le rejet du premier ministre Alexis Tsipras denouvelle dépense des coupes et des hausses d’impôts.Américain, Secrétaire d’État John Kerry tempéré les attentesqu’un accord nucléaire avec l’Iran est imminent commediplomates réunis à Vienne travaillent à une échéance de mardi.
Huile la semaine dernière s’est effondré le plus depuis mars au milieu de la crise grecque menace la stabilité économique et lacroissance, ce qui incite les investisseurs à éviter des actifs plus risqués de l’Europe de la spéculation. L’Iran, le quatrièmemembre de l’Organisation de pays exportateurs de pétrole, aestimé que son possible doubles exportations brutes d’environ 1million barils par jour dans les six mois de la levée des sanctions.
« Nous avons vu un peu d’une capitulation à l’huile, » RicSpooner, un analyste en chef au CMC Markets in Sydney, a déclaré par téléphone. “La situation en Grèce a un impact deconfiance sur demande. Un accord nucléaire avec l’Iranreprésente un événement à risque négatif pour l’huile en ce qui concerne la possible augmentation significative d’alimentation ».
Sortie grecque
Brent pour règlement août diminué autant que 97 cents à 59,35 $ le baril à la bourse londonienne ICE Futures Europe et setrouvait à 59,77 $ à 11:45 heure de Singapour. Le contrat a perdu4,7 % la semaine dernière. La référence européenne s’échangeaità une prime de 4,75 $ à West Texas Intermediate, le grade demarqueur américain.
WTI pour livraison août a chuté autant que 2,49 $, soit 4,4 %, à$54,44 baril depuis la fin le 2 juillet dans le commerceélectronique sur le New York Mercantile Exchange. Il n’y n’avaitaucun plancher commercial vendredi en raison de la fête de laquatrième de juillet et les transactions seront réservées lundipour fins de règlement. Volume total a été de plus de deux foisla moyenne de 100 jours.
Le grec vote résultat se répercutée rapidement à travers del’establishment politique de l’Europe. Dans les heures despremières projections, la chancelière allemande Angela Merkel etle Président Français Francois Hollande réclame un sommet desdirigeants de la zone euro mardi, avec les banques, dontJPMorgan Chase & Co dire qu’un départ grecque de l’euro estdésormais le scénario plus probable.
Pourparlers nucléaires
À Vienne, Kerry a déclaré aux journalistes dimanche que même siles progrès continuent d’être faits sur un accord nucléaire, « nousne sommes pas encore où nous devons être sur plusieurs desquestions plus difficiles. » Les pourparlers peuvent prolonger unjour ou deux après échéance de mardi, l’Agence de presseiranienne Fars a rapporté, citant un diplomate de haut rang.
L’Iran reste un long chemin hors de vendre plus grossière, selonGoldman Sachs Group, Bank of America et Societe Generale. Sonobjectif : stimuler les exportations de 50 % nécessiterait unappoint de 500 000 barils par jour de production, dont lesbanques prédits prendra 6 à 12 mois, comme la nation ravive lespuits de pétrole de vieillissement
