Officials of the Arusha based African Court on Human and Peoples’ Rights (AfCHPR) has embarked on a two-day sensitisation visit to the Kingdom of Lesotho to promote the Court.
The Mission is composed of three Judges and Registry Staff and will pay courtesy calls on Kingdom officials, including the Prime Minister, Ministries of Foreign Affairs, Justice and President of Senate, among others.
The officials will also hold a seminar on human rights in the Kingdom at the Sun Maseru Hotel this at a time when there are serious political tensions following the killing of the former Chief of Defence Forces Maparankoe Mahao last week by unknown assailants.
Since December 2010, the Court has carried out continent-wide promotion programmes which have so far seen it hold 22 sensitisation visits and 9 regional and continental seminars and conferences.
‘’The main objective of the sensitisation visits is to enhance the protection of human rights in Africa,’ reads a press release.
The press statement cites specific objectives of the Mission to include raising public awareness about the Court, encouraging the deposit of the Declaration under Article 34(6) of the Protocol of the Court that allows individuals and NGOs direct access to the Court, sensitising would-be applicants on how to access the Court and the procedures before the Court, encouraging the public to utilise the Court in settling human rights disputes and encouraging the utilisation of the Court to render advisory opinions.
The African Court on Human and Peoples’ Rights was established by virtue of Article 1 of the Protocol to the African Charter on Human and Peoples’ Rights on the Establishment of an African Court on Human and Peoples’ Rights, to complement the protective mandate of the African Commission on Human and Peoples’ Rights with a view to enhancing the protection of human rights on the continent.
Since the adoption of the Protocol in June 1998 (more than 16 years ago), twenty eight (28) of the fifty four (54) Member States of the African Union have ratified it, and seven (7) State Parties to the Protocol have made the Declaration under Article 34(6).
The success of the Court as a human rights protection mechanism requires much wider ratification of the Protocol by Member States, as well as their acceptance of the competence of the Court by making the Declaration under Article 34(6). This “universal” ratification will give the Court the legitimacy it needs to effectively discharge its mandate.
FRENCH VERSION
Fonctionnaires de l’Arusha base Cour africaine des droits del’homme et des peuples (CAfDHP) a entrepris une sensibilisation deux jours visitent le Royaume du Lesotho, pour promouvoir laCour.
La Mission est composée de trois juges et les fonctionnaires dugreffe et paiera la courtoisie sur les fonctionnaires du Royaume,dont le premier ministre, ministères des affaires étrangères,Justice et Président du Sénat, entre autres.
Les fonctionnaires aussi tiendra un séminaire sur les droits del’homme dans le Royaume à l’hôtel de Maseru Sun cela à la foisquand il ya de graves tensions politiques après l’assassinat del’ancien chef de la défense des Forces Maparankoe Mangalaza lasemaine dernière par des inconnus.
Depuis décembre 2010, la Cour a réalisé des programmes depromotion de l’ensemble du continent qui ont jusqu’à présent vuil cale 22 visites de sensibilisation et 9 conférences et séminairesrégionaux et continentaux.
” Le principal objectif de ces visites de sensibilisation est derenforcer la protection des droits de l’homme en Afrique, “indique un communiqué de presse.
Le communiqué cite les objectifs spécifiques de la Missiond’inclure la sensibilisation publique à la Cour, encourager ledépôt de la déclaration visée à l’Article 34 (6) du protocole de laCour qui permet aux individus et organisations non gouvernementales un accès directement à la Cour, sensibiliserles candidats potentiels sur la façon d’accéder à la Cour et lesprocédures devant la Cour, encourageant le public à utiliser laCour dans le règlement des litiges de droits de l’homme et enencourageant l’utilisation de la Cour de rendre un avis avis.
La Cour de l’Afrique sur l’homme et des peuples des droits a étéétablie en vertu de l’Article 1er du protocole à la Charte africainedes droits de l’homme et des peuples portant création d’uneCour africaine des droits de l’homme et des peuples, pourcompléter le mandat de protection de la Commission africainedes droits de l’homme et des peuples en vue de renforcer laprotection des droits de l’homme sur le continent.
Depuis l’adoption du protocole en juin 1998 (il y a plus de 16ans), vingt-huit 28 des 54 cinquante-quatre États membres del’Union africaine ont ratifié, et les 7 sept Etats Parties auProtocole ont fait la déclaration prévue à l’Article 34 (6).
Le succès de la Cour comme un mécanisme de protection desdroits de l’homme exige beaucoup plus large ratification duprotocole par les États membres, ainsi que leur acceptation de lacompétence de la Cour en faisant la déclaration prévue à l’Article34 (6). Cette ratification « universelle » donnera à la Cour lalégitimité qu’il a besoin pour bien s’acquitter de son mandat.