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November 21, 2024
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POLITICS

Protests After Arrest of Ugandan Presidential Aspirants // Protestations Après L’arrestation D’Aspirants Présidentiels Ougandais

Police in Uganda arrested two major challengers to President Yoweri Museveni in the upcoming elections planned for next year. The two are former Premier Amama Mbabazi, and Kizza Besigye, Museveni’s former physician.

Uganda Opposition Kizza Besigye

Amama Mbabazi was arrested in the town of Jinja, Central Uganda, while the popular opposition figure Kizza Besigye was arrested just outside his home in the outskirts of Kampala. According to police, the two had intentions of holding public rallies. Police also say that they did not have permission to hold public meetings.

Museveni has come under heavy criticism from rights groups both within and outside the country for his crackdown on the opposition.

Earlier this year Museveni who has been in power for close to three decades was endorsed by his party to be the sole candidate in the upcoming elections. But Mbabazi, a former close ally of the president, announced last month that he would challenge the 70-year-old incumbent for the nomination.

The move sparked criticism from the government, which pointed out that many of the failings of which Mbabazi accuses Museveni, happened when he was the party’s secretary general.

Police brutality

Many Ugandans believe that the police have become partisan and the heavy-handedness on the opposition is meant to ensure that Museveni remains unchallenged.

Angelo Izama, a political commentator in Uganda thinks that the arrest the duo is not entirely justified.

“The police in Uganda are a partisan institution and they make no pretence about it,” he told DW. They don’t even need a specific,” he said.

“This is just a display of strength. The actual legal case is just flimsy and I think Mbabazi’s lawyers have also made that point.”

Yoweri Museveni Museveni has kept the opposition in check and intends to stand again in 2016

Opposition protest

Following the arrest of Kizza Besigye, his supporters immediately held demonstrations and blocked traffic heading to and from Kampala city center. This led to a number of them being arrested.

Opposition leaders also held a press conference to denounce police’s actions of the arbitrary arrests. Asuman Basalirwa, the leader for the Democratic Alliance, an umbrella group of opposition parties, told DW’s correspondent in Kampala Alex Gitta, that such arrests would provoke the opposition to resort to violence.

“The people who are subjected to all the torture, the violations, are Ugandans. They belong to our respective political parties. If government chooses that path, we have the capacity to respond in the same way. But that’s not an option,” he explained. “We will continue to choose the path of dialogue. Not as a sign of weakness but because we love our country.”

It should be recalled that neither Kizza Besigye nor Amama Mbabazi have not yet been chosen as the flag bearers of their respective parties in the upcoming general elections scheduled for next year.

FRENCH VERSION

En Ouganda, la police a arrêté deux challengers majeurs auPrésident Yoweri Museveni dans les prochaines élections prévuespour l’année prochaine. Les deux sont l’ancien premier ministreAmama Mbabazi et Kizza Besigye, ancien médecin de Museveni.

L’Ouganda Opposition Kizza Besigye

Amama Mbabazi, a été arrêté dans la ville de Jinja, centre del’Ouganda, tandis que la figure de l’opposition populaire que Kizza Besigye a été arrêté juste devant son domicile dans labanlieue de Kampala. Selon la police, les deux ont l’intention detenir des rassemblements publics. Policeaussi dire qu’ilsn’avaient pas la permission de tenir des réunions publiques.

Museveni a sévèrement critiqués proviennent des groupes de défense des droits tant au sein qu’à l’étranger pour sa répressionde l’opposition.

Plus tôt cette année, Museveni, qui a été au pouvoir pendantprès de trois décennies a été approuvée par son parti pour êtrele seul candidat aux prochaines élections. Mais Mbabazi, unancien proche allié du Président, a annoncé le mois dernier qu’ilcontesterait le titulaire âgé de 70 ans pour la nomination.

Le déménagement a suscité des critiques de la part dugouvernement, qui a souligné que beaucoup d’entre lesdéfaillances dont Mbabazi accuse Museveni, qui s’est passéquand il était Secrétaire général de la partie.

Brutalité policière

De nombreux ougandais pense que les policiers sont devenusdes partisans et la répression sur l’opposition vise à faire en sorteque Museveni demeure incontestée.

Angelo Izama, un commentateur politique en Ouganda estimeque l’arrestation, le duo n’est pas tout à fait justifiée.

« La police en Ouganda est une institution partisane et ils neprétendons à ce sujet, » a-t-il déclaré à DW. Ils n’avez même pasun spécifique,”dit-il.

 

“C’est juste une démonstration de force. L’affaire juridique réelleest juste fragile et je pense que les avocats de Mbabazi ontégalement fait remarquer. »

 

Yoweri Museveni
Museveni a gardé l’opposition en échec et a l’intention de se tenir à nouveau en 2016

 

Protestation de l’opposition

 

Suite à l’arrestation de Kizza Besigye, ses partisans aimmédiatement organisé des manifestations et bloqué positionde trafic vers et depuis le centre-ville de Kampala. Cela a conduità un certain nombre d’entre eux étant arrêté.

 

Dirigeants de l’opposition a également tenu une conférence depresse pour dénoncer les actions de la police des arrestationsarbitraires. Asuman Basalirwa, le leader de l’Alliancedémocratique, un groupe de coordination des partisd’opposition, a déclaré au correspondant de DW dans KampalaAlex Gitta, que ces arrestations provoquerait l’opposition àrecourir à la violence.

 

“Les gens qui sont soumis à toutes les tortures, les violations,sont ougandais. Ils appartiennent à notre parti politiquerespectif. Si le gouvernement choisit ce chemin, nous avons lacapacité de réagir de la même manière. « Mais ce n’est pas uneoption », explique-t-il. “Nous allons continuer à choisir la voie dudialogue. Non pas comme un signe de faiblesse, mais parce quenous aimons notre pays. »

 

Il convient de rappeler que Kizza Besigye ni Amama Mbabazin’ont pas encore été choisi comme les porte-drapeaux de leurspartis respectifs lors des élections générales à venir à la demande pour l’année prochaine

 

 

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