After more than a year of trying to help find the more than 270 Nigerian girls that were taken by the terrorist group Boko Haram, aid from the U.S. government is increasingly devoted to bringing political and anti-corruption reforms to Nigeria — a sign that the U.S. sees these internal reforms as critical to ensuring the girls can return home.
When the militants kidnapped more than 270 students from a Chibok boarding school in April of 2014, the White House embraced the Twitter push to #BringBackOurGirls,” culminating with First Lady Michelle Obama posting a picture of herself holding a sign with that slogan.
The U.S. is still working with Nigeria to combat Boko Haram, and is flying surveillance missions and providing other expertise to help directly track the group.
But on Monday, the White House made it clear that Nigeria’s internal reforms are also a big piece of the puzzle. When asked about the ongoing effort to find the girls, White House spokesman Josh Earnest stressed that Nigerian security forces need to be mindful of their behavior while carrying out raids against Boko Haram.
Obama himself acknowledged that the U.S. and Nigeria are talking about a broad range of issues aimed at reforming the country.
“[W]e very much look forward to talking about security issues, how we can cooperate on counterterrorism,” Obama said. “We’re looking forward to discussing how we can be helpful in addressing some of the corruption issues that have held Nigeria back.”
The White House suspended military training to Nigeria’s forces over human rights concerns during the administration of Buhari’s predecessor, Goodluck Jonathan, but is now resuming that training.
Earnest added that the U.S. “can play a role” in helping Nigerian forces by providing intelligence and supporting the government as it helps the communities terrorized by Boko Haram and making sure that they are “first protecting the basic human rights” of the Nigerian people.
Aside from these internal reforms, the U.S. is still giving direct aid to Nigeria as it tries to hunt down members of the group, and the missing girls.
“We dispatched a multidisciplinary team to our embassy in Abuja to advise the Nigerians on how to secure the safe recovery of these kidnapped young women,” Grant Harris, the National Security Council’s senior director for Africa, said on Friday.
The team “provided expertise in investigations and hostage negotiations, strategic communications, intelligence, victim assistance, and the like,” Harris said, adding that the group “is still active as a part of our embassy personnel in Abuja.” The U.S. also flies intelligence surveillance and reconnaissance flights to help find the girls, he said.
The Nigerian military has found and released some kidnapped women, to whom the U.S. has provided “psychosocial services” and facilitated “their reintegration into their communities.” And because the girls were targeted for seeking an education, the Obama administration launched the Let Girls Learn initiative, Harris said.
It’s “about raising awareness and an effort to connect people around the world with simple and specific opportunities to contribute and to volunteer and to raise their voices in support of girls’ education,” he said.
On the security front, the administration has gone beyond Nigeria to help the broader region fight Boko Haram, most recently by giving the “Lake Chad Basin member states” $34 million for “training and equipping … it’s multi-faceted — advice, information, logistic support,” Harris said. And the U.S. gave $5 million to the multi-national regional task force combatting the terrorist group.
FRENCH VERSION
Quand les militants kidnappé plus de 270 élèvesd’un pensionnat de Chibok en avril de 2014, lamaison blanche a embrassé le push Twitter à#BringBackOurGirls, » qui culmine avec la premièreDame Michelle Obama poster une photo d’elletenant une pancarte avec ce slogan.
Les Etats-Unis fonctionne toujours avec le Nigeriapour lutter contre Boko Haram, missions desurveillance et fournir les autres compétences poursuivre directement le groupe.
Mais lundi, la maison blanche a précisé les réformesinternes du Nigeria, ce sont aussi un gros morceaudu puzzle. Interrogé sur les efforts en cours pourtrouver les filles, porte-parole de la maison blancheJosh Earnest a souligné que les forces de sécuriténigérianes doivent être conscientes de leurcomportement tout en menant des raids contreBoko Haram.
« Aux Etats-Unis est engagé à travailler avec legouvernement nigérian pour les aider contre cesactivités terroristes », sérieusement, a déclaré peuaprès que le président Obama s’est entretenu avec le Président nigérian Muhammadu Buhari à la maisonblanche. « Il va aussi d’exiger que le gouvernementnigérian pour améliorer leur propre dossier de droitsde l’homme aussi bien, pour vous assurer que mêmesi ils sont effectuer des raids contre le terrorisme etd’autres opérations de sécurité, qu’ils sontconscients des droits fondamentaux de leur peuple », a-t-il ajouté.
Obama lui-même a reconnu que les Etats-Unis et leNigeria parlent d’un large éventail de questionsvisant à réformer le pays.
« [N] ous beaucoup j’ai hâte de parler de sécuritéémet, comment nous pouvons coopérer à la lutte contre le terrorisme, » Obama a dit. « Nous sommesimpatients de discuter comment nous pouvons êtreutiles pour résoudre certains des problèmes decorruption qui ont freiné le Nigeria ».
La maison blanche suspendue formation militaireaux forces du Nigeria sur les préoccupations desdroits de l’homme pendant l’administration duprédécesseur de m. Buhari, Goodluck Jonathan, maisreprend maintenant que la formation.
Sérieusement a ajouté que les Etats-Unis « peuventjouer un rôle » pour aider les forces nigérianes defournir des renseignements et à appuyer legouvernement car elle aide les communautésterrorisé par Boko Haram en s’assurant qu’ils sont « tout d’abord protéger les droits humainsfondamentaux » du peuple nigérian.
En dehors de ces réformes internes, aux États-Unisest encore donner des aides directes au Nigériacomme il essaie de traquer les membres du groupeet de jeunes filles disparues.
« Nous avons dépêché une équipe multidisciplinaireà notre ambassade à Abuja pour conseiller lesnigérians sur la façon de garantir la récupérationsécuritaire de ces jeunes femmes kidnappées, »Grant Harris, directeur principal du Conseil Nationalde sécurité pour l’Afrique, a déclaré vendredi.
L’équipe « fourni de l’expertise dans les enquêtes etles négociations en otage, communicationsstratégiques, renseignement, assistance aux victimeset similaires, » Harris, ajoutant que le groupe « esttoujours actif dans le cadre de notre personnel del’ambassade à Abuja ». Les Etats-Unis vole aussiintelligence vols de surveillance et de reconnaissancepour aider à trouver les filles, dit-il.
L’armée nigériane a trouvé et libéré certainesfemmes kidnappées, à qui les États-Unis a fourni «des services psychosociaux » et facilité « leurréintégration dans leurs communautés. » Et parce que les filles ont été ciblées pour obtenir uneéducation, l’administration Obama a lancé àl’initiative de laisser les filles apprennent, Harris a dit.
Il a “à propos de“conscientisation et un effort pourrelier des personnes dans le monde entier avec despossibilités simples et spécifiques à contribuer et àfaire du bénévolat et à faire entendre leur voix à l’appui de l’éducation des filles, dit-il.
Sur le front de la sécurité, l’administration a dépasséle Nigeria pour lutter contre la grande région BokoHaram, dernièrement en donnant les « États debassin du lac Tchad » $ 34 millions pour “formationet l’équipement… c’est aux multiples facettes,conseils, informations, soutien logistique,” Harris a dit. Et les Etats-Unis a donné $ 5 millions à la multinationale task force régionale lutte contre legroupe terroriste.
