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November 7, 2024
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POLITICS

Congo Opposition In Bid To Resist President’s Third-Term Push // Opposition Du Congo Dans Le But De Résister A Des Tiers-mandat Du Président Pousser

Congo Republic’s opposition parties have convened an Alternative National Forum in rejection of a government-sponsored conference that opens the door to President Denis Sassou Nguesso seeking a third term next year.

The government-backed talks this month, boycotted by the main opposition alliance Frocad, recommended changing the constitution to remove a two-term limit on the president and to scrap an age cap of 70 years, both of which would have disqualified 71-year-old Nguesso from running again.

The former military officer has ruled the oil-producing central African nation for a total of 31 years in two spells since 1979. “Altering the January 20, 2002 constitution would be a constitutional coup because it would violate the spirit, the principles and the respect of that constitution,” Guy Romain Kinfoussia, a senior member of Frocad, said in an opening address to the conference late on Sunday.

Congo is on track to leapfrog Equatorial Guinea to become sub-Saharan Africa’s third largest crude producer by 2017, yet half of its 4.5 million population live in poverty, according to the World Bank.

The opposition forum, grouping some 650 delegates and 15 opposition groups, is due to run until tomorrow in the capital Brazzaville. Nguesso has not spoken publicly about whether he intends to run next year but his ruling Congolese Labour Party has urged him to do so. Ahead of this month’s conference, he said he would put any constitutional changes to a referendum.

Opposition to veteran leaders extending their terms has triggered protests in several African countries in recent months.

Burkina Faso’s president, Blaise Compaore, was toppled by demonstrations in October, while Burundi’s Pierre Nkurunziza overcame popular resistance to win re-election to a third term as president last week, in polls Washington branded
“deeply flawed”.

“Congo is living a dangerous period,” said Jean Itadi, a member of the main opposition party, Pan-African Union for Social Democracy.

FRENCH VERSION

Partis de l’opposition de la République du Congo ont organiséun Forum National de l’Alternative dans le rejet d’une conférenceparrainée par le gouvernement qui ouvre la porte au présidentDenis Sassou Nguesso qui cherchent un troisième mandatl’année prochaine.

 

Les négociations soutenues par le gouvernement ce mois-ci,boycotté par l’alliance du principal parti d’opposition Frocad,recommandé à changer la constitution pour supprimer unelimite de deux mandats du Président et à mettre au rebut unplafond d’âge de 70 ans, qui auraient avoir disqualifié Nguessoâgé de 71 ans d’exécuter à nouveau.

 

L’ex-militaire a gouverné le pays d’Afrique centrale productricesde pétrole pour un total de 31 ans à deux reprises depuis 1979.“Modifier la constitution du 20 janvier 2002 serait un coup d’Étatconstitutionnel parce qu’il serait contraire à l’esprit, les principeset le respect de la constitution,” Guy Romain Kinfoussia, unmembre éminent du Frocad, a déclaré dans un discoursd’ouverture de la Conférence tard dimanche.

 

Le Congo est en voie de dépasser la Guinée équatoriale pourdevenir le troisième plus grand producteur de pétrole brut de l’Afrique subsaharienne d’ici 2017, mais la moitié de sapopulation de 4,5 millions vivent dans la pauvreté, selon laBanque mondiale.

 

Le forum de l’opposition, regroupant quelque 650 délégués et15 groupes de l’opposition, est due à exécuter jusqu’à demaindans la capitale Brazzaville. Nguesso n’a pas parlé publiquementtout si il a l’intention d’exécuter l’an prochain mais son particongolais du travail a demandé lui de le faire. Avant de laConférence de ce mois-ci, il a dit qu’il mettrait toute modificationconstitutionnelle à un référendum.

 

Opposition aux dirigeants vétérans prolongeant leur mandat adéclenché des protestations dans plusieurs pays africains aucours des derniers mois.

 

Président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, a été renversé pardes manifestations en octobre, tandis que Pierre Nkurunziza du Burundi a surmonté la résistance populaire pour gagner laréélection pour un troisième mandat en tant que président lasemaine dernière, dans les sondages que Washington marque
« profondément erronée ».

 

« Le Congo vit une période dangereuse, » a déclaré Jean Itadi,membre du principal parti d’opposition, Union panafricaine pourla démocratie sociale.

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